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Affaiblissons Chirac

 
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koko1289
Grioonaute


Inscrit le: 21 Avr 2005
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MessagePosté le: Jeu 12 Mai 2005 13:22    Sujet du message: Affaiblissons Chirac Répondre en citant

Voici les raisons pour un NON :

Pour ceux d'entre nous qui avons la nationalité française, vous pouvez contribuer à l'affaiblissement de Chirac en votant non au réferendum. Le contenu de ce texte de la constitution importe peu mais c'est une occasion de le sanctionner des méchancetés sur l'afrique : le bruit et les odeurs, démocratie luxe pour les africains, démocratie=droit de manger, ami personnel, comprendre l'âme de l'afrique de l'ouest pour un type comme Mbeki=message à Dakar,...C'est trop. Ce texte ne va rien changer sur les conditions de vie des noirs en France. Par contre, ce qui peut changer la vie des africains c'est que les soutiens des préfets de la françafrique tombent petit à petit. Evidemmment qu'il ne va pas démissionner mais son abandon de l'Elysée ne sera que proche. J'apprends à ceux qui ne le savent pas en novembre 2004, Chirac a sorti l'idée d'un poste de sénateur à vie pour ex-président qui a été totalement repoussée.
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Yazol
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MessagePosté le: Jeu 12 Mai 2005 16:15    Sujet du message: Répondre en citant

Je suis un Oui-tiste mais si quelqu'un peut me convaincre que la victoire du Non peut affaiblir le poids politique de la France dans l'UE alors je me mue en Non-tiste sachant que les pays de l'UE qui ne bénéficient pas directement des retombées de la vempirisation de l'Afrique pour imposer à la France d'être moins gourmant et moins raciste envers l'Afrique.

________________
L'Africain c'est celui qui défend l'Afrique (J-P Omotunde)
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Imab19
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Messages: 332

MessagePosté le: Jeu 12 Mai 2005 16:57    Sujet du message: Répondre en citant

ah, ah, ah!!! Pas mal l'idée!!! mè bon g ne crois pas kele non l'emportera. Les dirigeants français ne peuvent pas laisser le non l'emporter kitte à se salir les mains. regarder les derniers sondages!!!
En outre cè pas chirac kil faut affaiblir si on veut la mort de la françafrique(car avant lui, cè tè déja la et après lui, le nveau présidant prendra la releve). Continuons a chercher, on trouvera bien un moyen !!!!
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koko1289
Grioonaute


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Messages: 16

MessagePosté le: Jeu 12 Mai 2005 21:51    Sujet du message: suite affaiblissement de chirac Répondre en citant

Salut les gars,
A part Le Pen je ne connais aucun leader politique français qui a autant insulté les africains. Effectivement chacun vote à sa guise, j'ai toujours voté pour la gauche mais à partir de maintenant ça sera au cas par cas. Aujourd'hui un type comme Sarko développe des thèmes novateurs, la discrimination positive, les quotas d'immigration, coopération avec les Etats-Unis, critique le déroulement des élections au togo,... alors qu'avec l'alcoolique on peut rien attendre de bon. Que dit Hollande quand on lui pose des questions sur la côte d'ivoire, je vous laisse imaginer autrement ça sera trop long. Nous n'avons aucun pouvoir que ça soit en Afrique ou en France, utilisons judicieusement notre bulletin de vote ici. Depuis un moment Chirac a tjs été le bénéficiaire des rétombées positives. Jospin qui revient mais indirectement il travaille pour Chirac. J'ai bien peur comme le post ci-dessus que les élections soient ... La françafrique a tjs existé et continuera mais avec des dégrés moindres suivant les gens.
Si des gens croient que ce texte va changer quelque chose pour eux, c'est
leur vision que je respecte. Généralement, il faut un peu de temps aux africains pour se rendre compte que ce qui est écrit ne s'adresse pas à eux: les offres d'emploi, les offres de logement, les droits de l'homme... L'objectif que je défends ici c'est d'enlever à ce monsieur l'envie de se représenter, donc la continuité de ce que nous connaissons. Regarder un pays comme la Chine qui bouge, et bien que ça soit une dictature ce que je ne nie pas, a connu 4 ou 5 présidents depuis Mao alors que Bongo était déjà là et on sait ce que ça donne. Chaque président, parce que c'est une autre personne avec sa sensibilité, a su apporter les modifications nécessaires pour faire évoluer ce pays. Un autre exemple aux USA, pensez vous que Bush père ou fils c'est pareil que Bill?
Quant au texte de la constitution, en cas de vote négatif il sera renégocié comme l'a reconnu l'ancien président de la commission européenne, Jacques Delors. Je vous invite à faire confiance aux européens, ils ont toujours su ce qui est bon pour eux, ils sauront ce qu'il faut faire.
Un seul point fixe, l'avenir de l'afrique malgré quelques contradictions : Sarko vote oui alors que je l'apprécie pour le moment jusqu'à preuve du contraire, Fabuis, Emmanuelli votent non mais ils sont sans intérêt pour la suite.
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Yazol
Grioonaute 1


Inscrit le: 22 Fév 2005
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MessagePosté le: Ven 13 Mai 2005 00:04    Sujet du message: Répondre en citant

Le peu d'âmes que nous sommes en France peut être source de puissance pour nous Noirs de France. Le droit de vote est un levier politique que nous pouvons utiliser à notre profit car notre vote, s'il est collectif peut faire basculer un scrutin et de ce fait pourra être courtisé et nous faire obtenir des droits. Pensons donc à nous unir afin de ne parler que d'une seule voix.
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koko1289
Grioonaute


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MessagePosté le: Mer 18 Mai 2005 18:49    Sujet du message: suite Répondre en citant

Voilà le non qui remonte, ce sont des bonnes nouvelles pour nous. On doit reconnnaître que le non est très divers.
Le non souverainiste=Lepen, De Villiers, Chevenement
Le non antisocial=Besancenot, Arlette
Le non stratégique=Fabius
Pour nous c'est un non antifrançafrique.
On peut se demander quelles sont les valeurs en commun entre le Ps et l'UMP pour que leur Oui soit compatible ?
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MABIZ
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MessagePosté le: Jeu 19 Mai 2005 19:43    Sujet du message: ET UN POINT DE PLUS POUR LE NON Répondre en citant

Diaspora africaine et Caraïbes : Le Sens du Non au Référendum du 29 Mai 2005
17/05/2005

L’échéance référendaire française du 29 mai 2005 sera l’occasion pour la diaspora africaine et pour les Caribéens français de se prononcer sur l’adoption en l’état du projet de constitution européenne. A l’heure où les sondages vont bon train et ne se ressemblent pas, traduisant une grande indécision des électeurs, il est opportun de cerner les termes dans lesquels une diaspora, africaine en particulier, et l’expérience caribéenne pourraient appréhender les enjeux de ce vote. Chaque citoyen, chaque communauté de citoyens vote en fonction de l’horizon que lui offre directement un projet de société, un projet de régime politique et de libertés publiques.

Pour intuitif que cela puisse paraître, il n’est pas trivial pour une diaspora en construction de formuler ses stratégies de vote, ses objectifs, ses attentes dans une offre de contenus politiques qui l’ignore ou qui formule les problématiques sociétales indépendamment de son existence politique. L’émergence difficultueuse en France d’une visibilité, d’une expression diasporique et caribéenne irréversibles n’en est qu’à ses premiers jours. Ceci explique bien des tâtonnements, des fourvoiements, des atermoiements, et notamment un mimétisme électoral par rapport à la société globale et dominante.



Exemple tiré d’une récente rencontre parisienne. Un Français d’origine africaine affirmait récemment «Je vote Oui parce que je ne veux pas que Fabius soit le candidat du PS». Il s’agissait d’un citoyen acquis par ailleurs à la thèse de l’éminence de la mission de la diaspora africaine dans les enjeux de développement continentaux, assidu des cercles de réflexion autour de la Renaissance Africaine et du Panafricanisme. Pour le moins stupéfiant à certains égards, ce réflexe est fort compréhensible vu l’enchâssement de ce citoyen dans les bruits, le phares et les psychodrames récurrents, très scénarisés des joutes politico-politiciennes internes, intestines des partis, des courants... Ces concurrences politiciennes de la société dominante blanche se donnent pour le summum de l’art de la politique, présentées et commentées ainsi à longueur de chroniques journalistiques. Une oppression idéologique et mentale douce finit par retirer progressivement au citoyen son libre arbitre sur la pertinence des thématiques et des questionnements collectifs, il prend pour donnés les termes des choix politiques décidés par les appareils.

La surmédiatisation d’une médiocrité politicienne faite de petites phrases sans action, et le silence complice des actions réelles sans petites ni grandes phrases font de l’acte citoyen de ce jeune panafricain de la diaspora, un geste conditionné entièrement déconnecté de la sphère de ses objectifs exprimés. Déconnecté mais orienté, il évolue en captif somnambule comme sous l’hypnose du contexte local franco-français, dicté par la grille d’analyse d’un quarteron de hiérarques, énarques, X, IEP. Car en fait, rien dans les candidatures futures du parti socialiste français n’a à voir avec les solidarités africaines, caribéennes, les projets panafricains scandés dans des assises excentrées des lieux de décision, en apnée politique fugitive. Cela paraît évident mais la routine sociale, les habitus et les effets de groupe, de conformation prennent vite le dessus sur l’évidence formelle.



Sortir d’un mimétisme électoral forcené consisterait d’abord à s’assumer dans la complétude de sa citoyenneté. Etre membre d’une diaspora c’est avoir une patrie, celle où l’on vote entre autres droits civiques, et une patrie d’origine avec laquelle des liens plus ou moins intenses, matériels, affectifs, culturels ou mythiques sont entretenus. La terre natale ou d’origine est le pays des parents, grands-parents, ancêtres, celui de ses amis, de sa tradition, de sa culture [langue, religion, …], c’est une partie de soi. Par conséquent, et c’est le cas de toutes les diasporas, le pays d’origine est une variable insécable, inaliénable du choix électoral de la diaspora où qu’elle se trouve.



Chacun sait le rôle joué par les diasporas européennes ou asiatiques dans la défense des intérêts de leurs pays d’origine. Le génocide arménien a été porté à l’attention des institutions internationales et de nombreux pays européens et occidentaux par l’activisme de la diaspora arménienne essentiellement. Plus importante numériquement que la population arménienne domestique -5 millions contre 3 millions en Arménie-, elle s’est mobilisée jusqu’à obtenir de la France par exemple la reconnaissance du génocide arménien comme crime contre l’humanité perpétré par la Turquie.

La diaspora arménienne a réussi à mettre en ballottage les démarches de la Turquie pour intégrer l’Union européenne, pour sa responsabilité non admise dans le génocide arménien de 1915. Les Arméniens de l’extérieur continuent de faire pression pour obtenir une reconnaissance de ce génocide par les Etats-Unis, après la France, la Russie, la Pologne…

La diaspora juive est un appui précieux à la politique de l’Etat d’Israël dans chaque pays où elle s’établit, au point qu’il est difficile de faire condamner Israël dans quelque instance internationale que ce soit du fait de l’engagement, de la pression, du lobbying, de la mobilisation stratégique efficiente de ses communautés extérieures.

La diaspora chinoise en Europe ou aux USA contribue d’une part décisive à l’ouverture internationale de la Chine et à sa puissante économie internationale.



En somme et par définition une diaspora ne saurait concourir à des échéances électorales qu’en vue de facteurs exclusivement locaux, en considérations de styles politiques ou de tactiques d’acteurs sur l’échiquier du pays d’émigration. Son rôle historique est d’appréhender les avantages procurés par un vote, une issue politique, à sa communauté émigrée et à celle restée sur les terres d’origine. Elle devient alors naturellement une vraie colonne politique extérieure influençant son propre bien-être, c'est-à-dire aussi celui de sa patrie d’origine, de ces régions qu’elle fréquente, où elle voyage, où vivent ses parents, ses pairs, une partie d’elle.

Une échéance électorale, référendaire ou autre qui ne porterait pas amélioration ou au minimum statu quo des relations avec le continent ne saurait remporter l’adhésion d’une diaspora consciente de sa mission.

Il est dès lors question de repérer dans l’implicite, le non-dit, la virgule ou la parenthèse, dans quelle mesure les Antilles, l’Afrique sont concernées dans cette échéance. Les Accords ACP sont des accords commerciaux liant l’Europe avec l’Afrique, les Caraïbes et le Pacifique. Ils maintiennent une structure extrêmement appauvrissante des rapports entre l’Europe et l’Afrique et les Caraïbes, par le biais notamment du protectionnisme agricole, les quotas et les subventions européennes. A l’arrivée des filières africaines pourtant compétitives [Mali] sont déficitaires et des milliers de cultivateurs sont poussés dans l’indigence.

Ces mêmes accords poussent les Etats africains vers les guichets de la Banque mondiale et du FMI, ce qui vaut Ajustements structurels, corrupto-privatisations des secteurs stratégiques et lucratifs continentaux au profit des entreprises privées souvent… européennes, occidentales. Le dispositif ACP est donc un instrument de pointe de paupérisation et de prédation active des économies africaines, caribéennes et pacifiques, taillé sur mesure pour les besoins exclusif de l’opulence des puissants d’Europe.

Ces accords ne sont pas susceptibles d’une remise en cause dans le cadre du présent projet de constitution, ce qui justifie un rejet massif de leur validation implicite, un Non sans hésitation au référendum.

La question du franc CFA, arrimé de façon fixe à l’Euro, monnaie forte, apprécie artificiellement les monnaies africaines concernées et fait perdre de la compétitivité aux économies continentales. Cette structure de taux de change est irrationnelle, suicidaire pour des dizaines de millions d’Africains, pourtant l‘Union européenne s’en accommode. Un motif sérieux au Non à la constitution.



Dans les rapports de l’Europe avec l’Afrique la tentation coloniale est loin d’avoir disparu et les dispositifs communautaires semblent cosmétiques au regard des démolitions politiques en cours. Les cas du Togo, de la Côte d’Ivoire où le rôle déstabilisateur et parfois criminel de la Françafrique s’avère patent. Aucun contre-feu médiatique n’aura pu masquer les images d’une armée française ouvrant le feu sur des civils désarmés en novembre 2004 en Côte D’ivoire. Au Zimbabwe, en Guinée équatoriale, la volonté de puissance des colonisateurs attardés continue de fabriquer des factions, alimenter des conflits fratricides propices à l’exploitation sauvage des matières premières. L’appui de l’Union européenne à l’Apartheid en dit long sur l’éthique de ses rapports avec l’Afrique des Noirs.



Les ventes d’armes, les exportations européennes de produits impropres à la consommation communautaire [poulet à la dioxine et découpes,…], la vassalisation des pouvoirs des roitelets par les multinationales européennes -Elf, Bolloré, Bouygues, Nestlé…-, sont des pratiques afrocides que le projet constitutionnel laisse dans l’obscurité. Son orientation ultralibérale en fait un reproducteur des rapports Europe-Afrique contemporains, criminels et invivables. Le Non au référendum est la seule façon d’exprimer un refus net de voir reconduits tous ces programmes officiels et officieux qui détériorent les conditions d’existence sur le continent d’origine de la diaspora.



Le cadre des libertés fondamentales en Europe ne cesse de se dégrader pour les Noirs, originaires d’Afrique ou des Caraïbes. Agressions racistes en France, en Allemagne, en Russie…, discriminations professionnelles, sociales, stigmatisations ethniques etc. Un ancien pays négrier comme les Pays-Bas envisage sérieusement l’expulsion vers leurs îles natales d’Antillais accusés de délinquance. Une telle mesure n’aurait aucun fondement juridique que la simple existence du projet, le silence européen sur une question aussi ouvertement raciste demeureraient révélateurs de l’état des libertés publiques des Mélanodermes en Europe. Un état catastrophique sans appel, que rappelle bien le profil ethnique des victimes de bavures policières en France et en Europe, et l’impunité des coupables de ces actes.



La position de l’Europe dans son ensemble sur la traite négrière transatlantique et l’esclavage des colonies est floue. Or sans une reconnaissance européenne officielle et solennelle de sa responsabilité comme auteur, planificateur, concepteur et idéologue de la traite négrière esclavagiste, le statut décrypté des Mélanodermes ne sera pas débarrassé de la pierre angulaire des préjugés de supériorité raciale, du constant déni d’humanité dont sont victimes les Africains et Descendants d’Africains. Les Mélanodermes demeureront entretenus dans des rapports paternalistes, ou de relégation sèche, de servilité post-négrière dans les îles ou sur le continent. Leur liberté aura toutes les peines du monde à s’épanouir.



C’est le Sens du Non d’une Diaspora africaine ou d’une communauté caribéenne au référendum constitutionnel du 29 mai 2005.




Ze Belinga

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MABIZ

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koko1289
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MessagePosté le: Lun 23 Mai 2005 21:59    Sujet du message: suite Répondre en citant

Le non remonte, mais il faut se déplacer le 29.05.05 pour aller apporter le non. On voit bien l'agitation qui s'empare des partisans du oui. Cette semaine, on annonce Chirac et Jospin dans les médias pour matraquer encore. Imaginez que Chirac n'est pas comptabilisé dans le camp du oui. S'il ne jouait pas son propre avenir politique, il ne s'agiterait pas ainsi. En cas de oui, il sera le prochain président. C'est un animal politique redoutable. Si oui l'emporte, je dirai qu'il est encore plus fort que ce que je croyais!
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sidesma
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MessagePosté le: Mar 24 Mai 2005 17:24    Sujet du message: Répondre en citant

VOTONS ALORS TOUS NON POUR LIQUIDER CES VOYOUS qui veulent nous rendre esclaves à vie! Faisons ce qu'on peut pour déjouer leurs plans mafieux !
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koko1289
Grioonaute


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MessagePosté le: Dim 29 Mai 2005 13:55    Sujet du message: suite Répondre en citant

En cette jolie journée ensoleillée en France, j'exhorte tous les africains d'aller apporter leur non dans l'urne. Je sais qu'il y a de nombreuses fêtes aujourd'hui mais ne vous épargner pas de votre obligation antifrançafrique. J'ai dû rentrer ce dimanche chez moi après avoir parcouru des kilomètres cette semaine...
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koko1289
Grioonaute


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MessagePosté le: Ven 03 Juin 2005 14:42    Sujet du message: suite Répondre en citant

Ben voilà le non l'a emporté largement. Nous ne pouvons que nous rejouir de cette situation. Les gens sont assez méchants. Le pauvre Fabuis, c'est quelqu'un que je n'apprécie pas mais de là à le lyncher, il y a un pas à franchir. Hollande ce n'est pas demain qu'il deviendra président. C'est dommage qu'il soit incapable d'avancer avec l'opinion des gens. Ce qui aurait été bien est que ce type s'en aille mais il sait très bien ce qui l'attend. Pour le moment je ne vois personne à gauche qui peut faire bouger à la fois la France et notre afrique. Les quelques deux années qui nous restent permettront de se faire une idée plus élargie, à suivre. Sur ces questions je vous recommande un site d'actualité africaine par les caricatures : www.lecourrierafricain.com
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Jofrere
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MessagePosté le: Ven 03 Juin 2005 15:13    Sujet du message: Répondre en citant

@koko1289
ça me parait hallucinant que tu puisses raconter autant de conneries sans être contredit.

@MABIZ
quant au texte que tu publies, je ferais juste 1 remarque
Tout homme vit dans un contexte socio-économique dont il doit tenir compte dans ses choix. Ceci est valable pour les juifs, les chinois et évidemment pour les africains. quelqu'un peut il écrire un texte sur une élection sans à aucun moment en parler? Le chomage de masse n'est il pas le problème des noirs en France?
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koko1289
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MessagePosté le: Sam 18 Juin 2005 20:59    Sujet du message: suite Répondre en citant

Je remercie le sieur Untel qui a répondu dernièrement. Bon qu'il donne son avis sur ce sujet pourquoi pas, encore faudrait-il qu'il soit à même d'aligner quelques lignes. Parler de conneries au lieu de présenter les arguments voilà un comportement désolant.
Je pense que nous devons continuer notre oeuvre d'affaiblissement de notre président glouton et alcoolo. Que ça soit pour la France ou l'Afrique francophone, il a été une perte de temps, si c'était quelqu'un de sérieux(sympa et pas du tout sérieux d'après Aznar) il allait démissionner...
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Jofrere
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MessagePosté le: Lun 20 Juin 2005 14:00    Sujet du message: Répondre en citant

Tu as raison, mon intervention précédente était un peu courte
Tun avais écrit
Citation:
Ben voilà le non l'a emporté largement. Nous ne pouvons que nous rejouir de cette situation. Les gens sont assez méchants. Le pauvre Fabuis, c'est quelqu'un que je n'apprécie pas mais de là à le lyncher, il y a un pas à franchir. Hollande ce n'est pas demain qu'il deviendra président. C'est dommage qu'il soit incapable d'avancer avec l'opinion des gens. Ce qui aurait été bien est que ce type s'en aille mais il sait très bien ce qui l'attend. Pour le moment je ne vois personne à gauche qui peut faire bouger à la fois la France et notre afrique. Les quelques deux années qui nous restent permettront de se faire une idée plus élargie, à suivre


1)Si j'ai bien compris, ton raisonnement revenait à dire:
votons non, car ça va précipiter le dépar de Chirac, ce qui sera une bonne nouvelle pour l'Afrique.
Je ne souscris pas à ce raisonnement parceque la politique africaine de la France n'est pas née avec Chirac et n'a pas connu d'inflexions majeures que ce soit sous F. Mitterand ou L. jospin. C'est un système qui me semble aller au delà des partis et à plus forte raison au delà des hommes.
Chirac va partir, il sera remplacé demain par sarkozy, Hollande ou Fabius. Il serait bien naïf(à la limite même de la cvonnerie de penser que ce fait puisse à lui seul changer la donne dans les relations entre la France et l'Afrique.

2)Tu sembles sous-entendre que le salut viendrait de la gauche. Donc si je comprends bien, tu es un mes de gauche qui sous-couvert de défendre l'Afrique est tout simplement venu sa petite propagande pour non bel et bien franco-français. C'est cette petite propagande à 2 balles que je voulais dénoncer.

3)De façon plus générale, les gens qui ont voté l'on,t fait par rapport aux impacts des politiques européennes sur leur quotidien, par rapport à une crainte du libéralisme, mais surement pas pour autre chose.
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grab
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MessagePosté le: Lun 20 Juin 2005 20:10    Sujet du message: MANIFESTATION DE PROTESTATION AU SENAT CONTRE LE LIVRE DE PE Répondre en citant

Appel du 18 juin 2005

Pour les Droits humains, Pour Tous les Humains,

Contre la Négrophobie Institutionnelle, contre le Négationnisme et le Révisionnisme,

Toutes et tous,

Devant le Sénat le Samedi 25 juin 2005

15, rue Vaugirard Paris 75006,

à partir de 15 heures (métro : Luxembourg)

Le Sénat français qu’a présidé longtemps Gaston Monnerville foule aux pieds la dignité, l’humanité de tous et chacun des descendants de déportés faits esclaves, comme Gaston Monnerville.

Ce Sénat vient de décerner à l’historien négationniste, révisionniste, raciste, falsificateur de la traite négrière, Olivier Pétré-Grenouilleau, un prix récompensant ses supposés apports en matière de recherche historique sur la traite négrière. Paraphrasons Louis Sala-Molins pour reprendre en échos :

"Sénateurs, nos élus, honte à vous ! "

"Sénateurs, nos élus, prenez garde !

Les descendants d’esclaves sont légion. Et ils ne sont pas seuls".

Ne restons plus silencieux, l’heure est trop grave, nous devons passer à l’action !

Mobilisons-nous pour nous faire respecter, en nous rassemblant massivement devant le Sénat !

Tous devant le Sénat le Samedi 25 juin 2005 à partir de 15 heures pour exiger le retrait de ce prix scandaleux pour la mémoire de nos ancêtres, pour nous mêmes leurs descendants ainsi que pour toutes les femmes et tous les hommes de toutes origines réellement et sincèrement attachés à la défense inconditionnelle de Tous les Droits Humains, pour Tous les Humains !

Toutes et tous, Pour l’Honneur et le Respect !

Samedi 25 juin 2005, au Sénat

15, rue Vaugirard Paris 75006, à partir de 15 heures

Métro Luxembourg.

Pour le COFFAD / Joby VALENTE
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