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[Pakira]

Soludo: We'll Make Nigeria China of Africa, South Africa Can Be Japan

July 18, 2005
Posted to the web July 18, 2005

Samuel Famakinwa
Lagos

Governor of the Central Bank of Nigeria (CBN), Prof. Charles Soludo, has said the current economic reform programme of the Obasanjo administration if allowed to run its full course, will make Nigeria become the China of Africa in the next two decades.

Speaking to THISDAY Board of Editors in his office last week in Abuja, Soludo said that South Africa, which currently enjoys Western patronage, may be the Japan of Africa, but Nigeria would lead the continent in all areas including technological development.

That is why this political reform thing has to be completed. Because once we succeed with it and the economy continues to be on track, give Nigeria 15 to 20 years, my view is that Nigeria will be the China of Africa and South Africa may be the Japan, he said.

He warned that it will require consistency, focus, unwavering commitment and doing it for the next decades non-stop and a critical mass of people who will continue to support this. That is why I say to people that everybody must join the vanguard, it's a vanguard for our future.

He said that the successes recorded in some sectors of the economy are encouraging Nigerians abroad to develop interest in the economy.

Many of them (Nigerians abroad) who are now dealing in this market really like it. One I met recently said he wants to invest in the stock market because, what deterred them in the past was that they didn't know whether it will depreciate and by what percentage. Now, he is sure and the brokers tell them they can make up to 20-30 per cent, so he chases it. He knows that at most, he can only lose 3 per cent. Even if he makes 20 per cent less three per cent that is still 17 per cent in dollar term, which no stock market in the world can give him. So he brings it here. This is systematically the kind of things you need to do and sustain over a period of time, he added.

He promised that the CBN will be made to become a central bank that pursues the role of Nigeria in Africa. He added that the overriding vision is that it is Nigeria's place to lead the black race.

It is Nigeria's place to lead Africa, and the Central Bank must play a pivotal role in not only chauffeuring and managing the macro-economy, but also in helping to move forward and orchestrate a financial system that will make Nigeria Africa's financial centre, Soludo said.

As a result of the goal, he disclosed that the CBN is geared towards becoming a policy institution, especially with the establishment of a new Economic Policy Department, with a crack team of professionals with the best concentration of economists in Africa.

That is why you require the best and nothing but the best in the place. We signal that we've integrated combined banking supervision and banking exams and structuring them towards the new supervision that is suited to the emerging new banking system.

Strengthening also the research department which is now research and statistics, because we realised that statistics component was quite large. We are going to do that in collaboration with the Federal Office of Statistics (FOS). Now we are moving to collecting quarterly GDP. We will be going to the fields in the next 2 weeks to collect quarterly GDP and quarterly survey of the economy and this will be completely new, he added.

Soludo said the future is bright for the country especially within the context of the recent debt relief granted Nigeria in principle by members of the Paris Club.

According to him, the Policy Support Instrument (PSI) requested by the Paris Club as a condition for the final approval for the debt relief should not be difficult for Nigeria to meet since it will be a focused policy set of macro-economic and structural reforms which is currently happening informally under our NEEDS agenda.

http://allafrica.com/stories/200507181550.html
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"tout nèg a nèg

ki nèg nwè ki nèg klè
ki nèg klè ki nèg nwè
tout nèg a nèg

nèg klè pè nèg nwè
nèg nwè pa lè wè nèg klè
nèg nwè ké wéy klè
senti i sa roune nèg klè
mè nèg klè ké wéy klè a toujou nèg

sa ki fèt pou nèg vin' blang?
blang té gen chivé pli long?
pou senblé yé nou trapé chivé plat kon fil mang!!!
mandé to fanm...!
mè pou kisa blang lé vin' nwè?
ha... savé ki avan vin' blan yé té ja nèg!

a nou mèm ké nou mèm dépi nânni nânnan...
chinwa soti, kouli soti, indyen soti, blang soti
mèm koté nèg soti

avan yé sotil koté y fika
AFRIKA!!!"

[africanpenguin]

Le combat Nigeria vs South Africa !!
C'est vrai que ce sont les 2 pays challengers au titre de locomotive de l'Afrique.

Article en tout cas très intéressant.

Par contre j'aurai bien aimé qu'il développe un peu plus sa comparaison.
Si l'on suit son raisonnement cela signifierait que c'est l'Afrique du sud qui sera la locomotive africaine, tout comme l'a été le Japon, d'abord avec les pays d'Asie du sud-est qui à leur tour ont été, avec le Japon, un catalyseur pour l'économie chinoise

Ahh je reste sur ma faim

[Rocs]

moi je cmpte aussi sur le Benin, ils sont chauds eux aussi

[sonni]

Toujours la mm chose, rien ke des mots, c bien facile de se presenter aujourdhui kom des superpuissances de demain alors kon arrive a peine a nourrir sa population, on passe son temps a mendier pour de l'aide.
Avant de tirer les autres pays de l'avant ces pays la devront d'abord ameliorer les conditions de vie de leurs habitants et en cela, les pays africains ont tjrs echoue. Ils veulent tous etre consideres kom des leaders, mm si le contenu n'y est pas, tt kom leur leaders.

[kiwi1]

Le Nigeria, 1er fournisseur de pétrole des USA, est l’un des pays le plus corrompu…
Quant on aura chasser EXXON, TOTAL, SHELL et qu’on les aura remplacé par une compagnie pétrolière NATIONALE ensuite on pourra parler de l’avenir du pays !
Mais je crains que d’ici là il n’y aura plus de pétrole à moins que l’AFRIQUE S’EQUIPE rapidement de L’ARME NUCCLEAIRE pour défendre ses intérêts face aux system capitaliste occidental basé sur le vol légalisé!
Je ne vois pas d’autres moyens pour combler l’avidité et la férocité des occidentaux !

[Nkossi]

Voici quelques news sur l'Afrique du Sud
La nation “arc-en-ciel” voit la vie en rose

Les indicateurs économiques de l’Afrique du Sud sont au beau fixe. Et les capitaux étrangers affluent. L’ex-pays de l’apartheid ne fait manifestement plus peur aux investisseurs.

La plus grande ville d’Afrique du Sud, Johannesburg, compte aujourd’hui plus de 3 millions d’habitants. A l’origine, ce n’était qu’un camp de mineurs perché sur le filon aurifère le plus riche du monde. Située à des centaines de kilomètres de la mer ou de tout autre grand pôle commercial, Johannesburg a toujours connu les hauts et les bas qui caractérisent l’industrie minière. Incontestablement, ce secteur a laissé sa marque sur la mentalité nationale. Les Sud-Africains ont tendance à osciller entre des périodes d’optimisme à tous crins et des périodes de désespoir inconsolable.
Aujourd’hui, la prospérité est revenue, et ils affichent leur bonne humeur sans retenue. Ce nouvel état d’esprit témoigne de la bonne santé de la nouvelle Afrique du Sud, née il y a onze ans. L’immobilier flambe, l’inflation n’a jamais été aussi basse depuis plusieurs décennies, et l’économie a enregistré – pour la première fois – 23 trimestres consécutifs de croissance. La banque britannique Barclays, au début du mois, a confirmé son intention d’investir 33 milliards de rands [4 milliards d’euros] dans la banque Absa pour en devenir l’actionnaire majoritaire. Ce sera l’investissement étranger direct le plus important qu’ait jamais connu l’Afrique du Sud. John Varley, directeur général de Barclays, a défini l’Afrique du Sud comme “une économie dynamique au grand potentiel de croissance”. Récemment, General Motors vient de décider de fabriquer à Port Elizabeth ses véhicules destinés à l’exportation. Le président Thabo Mbeki voit dans ces deux marchés “un vote de confiance encourageant et sans équivoque pour l’Afrique du Sud démocratique”. De tels propos peuvent paraître exagérés ou intéressés, mais ils ont tous les accents de la vérité. C’est en effet la première fois qu’une société étrangère investit des milliards de dollars en Afrique du Sud, dans un secteur autre que celui de l’extraction minière ou du pétrole. Des services comme la banque sont également porteurs d’avenir pour l’Afrique du Sud, au-delà des richesses qu’elle tire traditionnellement du secteur minier.
Les banques spécialisées sur les marchés émergents sont extrêmement exposées à une mauvaise gestion macroéconomique et aux risques politiques. Barclays a donc dû conclure que l’Afrique du Sud était un pays fiable. Cet optimisme est partagé par d’autres hommes d’affaires, notamment dans le secteur de la vente au détail, qui bénéficie de la baisse des taux d’intérêt et du moral en hausse des ménages et des entreprises. La solide gestion macroéconomique de l’Afrique du Sud a permis de ramener l’inflation à 4 % et de faire passer les déficits fiscaux sous la barre des 3 %. Cette année, le budget de Trevor Manuel, ministre des Finances, comportait à la fois des réductions fiscales et une augmentation des dépenses sociales.

“Tout concourt à doper le moral des Sud-Africains”

Grâce à la baisse des taux d’intérêt, notamment pour les prêts immobiliers et les crédits automobiles, les Sud-Africains des classes moyennes ont plus d’argent dans leurs poches. Et, si une grande partie des pauvres sont toujours exclus de cette croissance, d’autres bénéficient du travail au noir et des programmes sociaux du gouvernement.
Stephen Ross, directeur de la chaîne de magasins Edcon, parle de “changements structurels dans l’économie”. Selon lui, les dégrèvements fiscaux, les investissements dans les infrastructures du pays et l’effet d’entraînement de la Coupe du monde de football, qui aura lieu en Afrique du Sud en 2010, “tout concourt à doper le moral des Sud-Africains et à soutenir la croissance”. Edcon, qui compte neuf chaînes de magasins traditionnels à prix cassés, voit les affaires repartir pour sa clientèle, qui est à la fois composée de Blancs des classes moyennes et de Noirs en phase d’ascension sociale.
Cette effervescence contraste fortement avec la chape de plomb qui pesait sur le pays il y a encore quatre ans. La monnaie s’échangeait alors à 12 rands pour 1 dollar et les investisseurs manifestaient une certaine inquiétude vis-à-vis de la stabilité du pays. L’économie du Zimbabwe voisin était en chute libre depuis le début de la politique d’expropriation du président Robert Mugabe. De nombreux Sud-Africains quittaient le pays pour l’Australie ou le Royaume-Uni, colportant partout des histoires sur un pays rongé par la criminalité et l’instabilité économique.
Il ne faudrait pas pour autant tomber dans un optimisme béat. L’Afrique du Sud doit faire attention à ne pas trop se reposer sur ses lauriers. Il existe de nombreux domaines où elle peut encore faire mieux : une croissance économique de plus de 4 % serait une très bonne performance pour un pays développé, mais n’est pas suffisante pour un pays qui a un taux de chômage supérieur à 30 %.

John Reed
Financial Times
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La véritable désaliénation du Noir implique une prise de conscience abrupte des réalités économiques et sociales. F. Fanon
L'ignorance est un danger que tout homme doit éviter. S. NKOUA

Visitez le blog de Théo http://kouamouo.ivoire-blog.com/

[Rocs]

De toute facon il faut continuer sans ce soucier d'eux, ils disent tous ceci pour nous decourager voir pour nous ralentir.
Le nigeria sera le nigeria et pas la chine, l'afrique du sud sera l'afrique du sud et sera valable pour les autres pys d'afrique on sera nos propres modéles

[Agnassa]

[Pakira]

^^J'ai l'impression que vous n'avez pas compris ce qui est écrit dans l'article
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"tout nèg a nèg

ki nèg nwè ki nèg klè
ki nèg klè ki nèg nwè
tout nèg a nèg

nèg klè pè nèg nwè
nèg nwè pa lè wè nèg klè
nèg nwè ké wéy klè
senti i sa roune nèg klè
mè nèg klè ké wéy klè a toujou nèg

sa ki fèt pou nèg vin' blang?
blang té gen chivé pli long?
pou senblé yé nou trapé chivé plat kon fil mang!!!
mandé to fanm...!
mè pou kisa blang lé vin' nwè?
ha... savé ki avan vin' blan yé té ja nèg!

a nou mèm ké nou mèm dépi nânni nânnan...
chinwa soti, kouli soti, indyen soti, blang soti
mèm koté nèg soti

avan yé sotil koté y fika
AFRIKA!!!"