Posté le: Ven 11 Juin 2004 07:17 Sujet du message: Repeupler l'afrique avec des populations asiatiques à cause
Les toubabs tres coherents dans leur demarche.
Ils ont decide depuis la nuit des temps de decimer, detruire , faire disparaitre la race noire.
Et depuis lors ils ne perdent pas leur but de vue.
Toutes leurs actions les rapprochent un peu plus de ce but ultime.
La balle est de notre cote que faisons nous, que sommes nous pret a faire, nous laisserons nous exterminer ?
L'équipe de jeunes europeens qui se penche sur ces strategies
Le compte à rebours a commencé pour l'Afrique de Sud, le Botswana, le Lesotho, le Swaziland ou le Zimbabwe: faute d'une intervention efficace pour contrer le sida, leur démographie va sérieusement régresser ces prochaines années. Tandis que des millions de vies seront fauchées, des spécialistes s'interrogent sur l'incapacité chronique des organisations internationales à régler le "cas africain". On sait depuis plus de quinze ans que, face à la pandémie, l'Afrique subsaharienne court à la catastrophe. Que faire? des chercheurs occidentaux planchent sur un macabre "scénario d'avenir": remplacer la population noire décimée par une main-d'oeuvre asiatique. Invité à Paris l'an dernier pour une conférence à l'académie des sciences d'outre-mer, à un jet de pierre des Champs-Elysées, le président sénégalais Abdoulaye Wade s'est livré à un singulier exercice: établir le décompte hisorique des morts africaines. Il y eut d'abord la traite négrière et l'esclavage: on estime à cent quarante millions le nombre d'Africains déportés ou qui ont perdu la vie durant quatre siècles de ce commerce ignoble. Ensuite, la colonisation, avec son cortège de massacres, de répressions et de travaux forcés. Puis, dans les années cinquante, les guerres d'indépendance qui ont fait des millions de victimes. Sans compter les guerres dites "régionales" - en réalité, des guerres froides entre blocs communiste et capitaliste - qui ont "coûté à l'Afrique des dizaines de millions de ses enfants" jusqu'à la fin des années quatre-vingt. A ce point de son discours, le président Wade a présenté une nouvelle "faucheuse", tout aussi mortelle: la pandémie du sida. "Sur le sida, je me contenterai de l'information alarmante que j'ai lancée il y a bientôt quinze ans: le sida constitue le plus grave danger que l'afrique noire ait eu à affronter (...). Selon certaines estimations, dans les décennies à venir, il faut s'attendre à la disparition de quelque cent cinquante millions d'Africains, faisant de l'Afrique un continent vide. Une étude stratégique montre que les gouvernements de plusieurs pays, dont l'Afrique du Sud, les Etats-Unis, la Russie, la France et l'Inde, seraient en train d'étudier des scénarios de remplissage du vide africain que le sida va créer, et l'hypothèse du remplissage de l'Afrique australe par l'inde a été sérieusement étudiée." Utopie? Science-fiction? Non. "L'esprit d'entreprise des Asiatiques et des Sud-Africains, qui pourraient se répandre dans les pays limitrophes, pourrait donner une impulsion remarquable au développement", précisait encore Abdoulaye Wade. Si peu de scientifiques sont informés de ce macabre scénario, de nombreux spécialistes s'interrogent aujourd'hui sur l'incapacité chronique des organisations internationales à s'occuper du "cas africain". On sait depuis longtemps que, face à la pandémie, l'Afrique subsaharienne court droit à l'hécatombe. INDIFFERENCE "En juillet 1991, la Central Intelligence Agency (CIA) a produit le rapport 91-10005, intitulé "Le sida, un désastre global". L'Agence prédisait que le fléau se répendrait dans des proportions exceptionnelles en Afrique. Pendant dix ans, cet avertissement, comme bien d'autres, n'a pas été entendu par la communauté internationale. Beaucoup d'organisations estimaient qu'il y avait d'autres priorités à régler concernant la santé et la sécurité publiques, ou étaient embarassées par le coût excessif qu'aurait impliqué une réponse adéquate au problème du sida. Beaucoup sont restés indifférents au sort de l'Afrique", analyse Jim Vittitow, directeur d'un institut de recherche sur la population, en Virginie (USA). C'est peu dire que depuis quinze ans, le "cas africain" n'a pas suscité toute l'attention nécessaire. Certains, y compris dans les plus hautes sphères de l'administration américaine, ont même vu dans la nouvelle pandémie une aubaine permettant de "régler la question de la surpopulation" sur le continent noir - des déclarations qui ont été citées à l'époque par le Washington Post. Dans le camp africain, on cherche toujours des raisons à ce manque de réaction de la communauté internationale. Quitte à invoquer un crime de "non-assistance à population en danger". Plusieurs dirigeants africains en sont convaincus, dont le président de namibie, Sam Nujoma, volontiers partisan d'une théorie du complot. Celui-ci avait taxé il y a quatre ans, dans une intervention mémorable faite à genève lors d'une conférence annuelle de l'organisation internationale du travail (OIT) le sida de "guerre biologique provoquée par certains états". Pour Carol Ugochukwu, présidente d'United families of Africa (Nigeria), l'Occident a certainement une lourde part de responsabilité dans cette "extermination noire" à large échelle. Ce n'est pas un hasard si les puissances coloniales ont tant insisté, durant des décennies, sur les vertus du mariage, de la fidélité et de la monogamie auprès des populations africaines. Les organisations de coopération occidentale ont ensuite matraqué les populations noires à coups de planification familiale, d'avortement, de contraception et de campagne de stérilisation, rappelle la militante. MISSION IMPOSSIBLE Mis en place tardivement à la fin des années nonante, les programmes onusiens de lutte contre le sida en Afrique auraient simplement repris le même créneau castrateur, en insistant sur le port obligatoire du préservatif. Toujours dans l'optique plus ou moins avouée d'une limitation des naissances africaines, selon les détracteurs. Prévention oblige, l'Afrique a littéralement été arrosée de capotes. En revanche, obtenir des médicaments gratuits des firmes occidentales pour soigner des millions de séropositifs africains relève toujours de l'impossible. Là encore, les discours des responsables d'insitutions comme la Banque Mondiale (BM) ont de quoi alimenter les pires héories de l'extermination raciale. L'accès aux trithérapies? La prise des médicaments serait "trop complexe" pour le commun des mortels africains! Afin de ne pas gaspiller l'argent alloué à la lutte contre le sida en Afrique du Sud, une dernière recommandation de la BM préconisait de "concentrer les soins sur les populations aisées", seules capables de suivre un traitement régulier et de respecter les prescriptions à la lettre... une discrimination méconnue, mais qui a déjà effrayé plusieurs ONG européennes. "J'ai aussi entendu un directeur de la coopération américaine USAID avancer le même pretexte", témoigne, à Paris, Caroline Livio, responsable de communication à Médecins sans frontières (MSF) pour la campagne d'accès aux médicaments essentiels, "c'est ignoble de dire une chose pareille. Un de nos collègues revient du Malawi, l'un des pays les plus touchés par le sida, avec 30% de prévalence. Il vous le dira: un paysan que l'on soigne, même s'il ne sait ni lire ni écrire, sait très bien prendre correctement ses médicaments: c'est sa survie qui est en jeu".
Posté le: Ven 11 Juin 2004 17:46 Sujet du message:
j'avais deja entendu parler de cette hypothese, certes, ca parait invraisemblable, mais la nature a horreur du vide, si les africains n'arrivent pas à assumer leur responsabilité et etre maitre de leur destin.......durant un certain temps, et bien, nous nous retrouverons encore aux histoires du passé coloniales, à savoir "repeupler" un lieu par d'autres populations, ca c'est deja fait, ca se fait en ce moment meme ( palestine par exemple, mais pas seulement ) et donc, le peuplement par des asiatiques qui commencent à ettoufer dans leur asie surpeuplée mais o combien dynamique risque d'arriver s'il n'est deja bien en route !
je n'aime pas stigmatiser une population emigrée quelle quelle soit, mais force est de constater que l'afrique risque à son tour d'etre envahie d'abord par l'economie asiatique, et puis aprés la "nature" fera le reste ..........à moins qu'il y'ai complot ourdi contre l'afrique par occident interposé , cela ne changera de toute facon pas le fond du probleme !
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