grioo.com

[Chabine]

[Cathy]

[quote="cathy"]

[asher001]

[Chabine]

[Cathy]

[Chabine]

AWête ça tout de suite, ma fi, le boug a dit qu'il aime la discrétion...
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"Le colonialisme et ses dérivés ne constituent pas à vrai dire les ennemis actuels de l'Afrique. À brève échéance ce continent sera libéré. Pour ma part plus je pénètre les cultures et les cercles politiques plus la certitude s'impose à moi que LE PLUS GRAND DANGER QUI MENACE L'AFRIQUE EST L'ABSENCE D'IDÉOLOGIE."
Cette Afrique à venir, Journal de bord de mission en Afrique occidentale, été 1960, Frantz Fanon, Pour la Révolution Africaine
2011, annee Frantz Fanon

[Cathy]

Asher, ah Asher, revenons au personnage d'Asher; L'homme est comme un Nija, il vient il frappe et il disparaît. Effectivement, soucieux de sa discrétion, l’homme ne souhaite être mêlé aux histoires sans fin de Griooland.

[Chabine]

[Cathy]

[asher001]

ho.....mais vous ne comprendrez donc jamais ce Asher qui est comme un Ninja; il n'a jamais dis de l'enlever du scénario; allez Cathy, suis tjs là, suis pas pret de partir, je veux revenir.

[asher001]

[Cathy]

[Chabine]

[Soundjata Kéita]

[Soundjata Kéita]

Non sérieux Cathy, avec ton scénario pondu en si peu de temps, tu réussi l'exploi de nous faire complètement oublié la médiocrité du clone virtuel des roman-photos d'Amina.

Aussi, je ne puis que t'inviter à poursuivre, je sens le génie littéraire s'illuminer de milles feux.

Ta manière de t'assumer en temps que scénariste-personnage, ainsi que la façon de décrire les dessous des mondanités surranés de cet univers "impitoyaaaaaaaableu" n'est pas sans rappeler l'univers tout aussi fantasmagorique de Jack Exily, ce dernier se cachant derrière le personnage de (scénariste) Simon Soul pour coucher sur papier (dessin) ses délires (voir topic suivant : http://www.grioo.com/forum/viewtopic.php?t=4399)


Bref, on veut la suite et plus vite que ça, nous n'en sommes jamais qu'au amuse gueules.
J'ai faim !!!


Hotep, Soundjata
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La vérité rougit l'oeil, mais ne saurait le transpercer


Pour la Renaissance du Gondwana

[Chabine]

[Cathy]

D'une main furieuse Chab ouvrit le bureau , elle était décidée; elle lui dirait ce qu'elle avait sur le coeur; Comment, comment a t'il pû? Téléphoner Cathy et lui demander de supprimer le personnage d'Asher? Juste au moment où enfin elle approchait les monts du désir? Au moment où éperdu d'amour, elle allait atteindre les pentes vertigineuses de l'amour? Flappe, Asher avait disparut! L'eau rechauffée avec tant de passion, de tendresse, Flappe, engloutit par un coup de gomme! Etait-ce cela la vie pour Kainfri? D'un coup de billets de banque, hop, on élimine!

Elle était maintenant debout face à lui, majestueuse, les mains sur les hanches, ils s'affrontaient du regard; elle n'avait pas besoin de parler l'amertume se lisait sur ses traits. Elle aurait voulu s'agripper à lui, le griffer, lui hurler sa haine; Comment? Comment à t'il pû? Lui briser un moment aussi intense? Elle était sur le chemin; Enfin, son corps s'éveillaient sous la douceur, son corps se soulevaient sous les effleurements délicates des mains expertes d'Asher; elle n'y pouvait plus, elle suffoquait de désir, de plaisir; La source, elle approchait la source, elle sentait sa douce fraîcheur lui effleurer les pieds, l'herbe se danser sur son coup affamé ; Pourquoi? Pourquoi lui avoir ôté ce moment?

Kainfri regarda la jeune femme, il la devina; il ne pû réprimer un rictus de satisfaction, il contrôle tout, même le plaisir d'une femme.

Les deux s'affrontèrent quelques instants encore; Ils étaient seuls, debout, face à face. Chab tourna les talons aussi sec; il avait gagner sur ce coup mais elle n'avait pas dis son dernier mot. Il n'y que les montagnes qui ne se rencontrent pas; Kainfri ne perd rien pour attendre, elle frappera quand il s'y attendra le moins.

Kainfri resta seul, le parfum de Chab se diluait dans l'air.

[Chabine]

Bon, tou sa pa sa, mais puisque l'odieux Kainfri a viré Asher, tu me le rends QUAND, AU JUSTE, mon gigolo, Miss ? ChéWie pa ni passiance ! Sachant qu'il est tard, là, tu devrais rejoindre ton Doudou Grioonaute mystèWe pouW une nuit toWWide...
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"Le colonialisme et ses dérivés ne constituent pas à vrai dire les ennemis actuels de l'Afrique. À brève échéance ce continent sera libéré. Pour ma part plus je pénètre les cultures et les cercles politiques plus la certitude s'impose à moi que LE PLUS GRAND DANGER QUI MENACE L'AFRIQUE EST L'ABSENCE D'IDÉOLOGIE."
Cette Afrique à venir, Journal de bord de mission en Afrique occidentale, été 1960, Frantz Fanon, Pour la Révolution Africaine
2011, annee Frantz Fanon

[Cathy]

[Chabine]

[yovo]

-he! bien s est du propre tout ca
-des que le chat est pas la ,les SOURIS dansent
-bon serieux que vous a fait lottagane DEJA DIRE DE LUI QU IL EST HOMOS C EST PAS TOP ?MAIS EN PLUS AVEC UN BLANC VOUS VOULAIS LE TUER OU QUOI, .
-sur l autre topic (FRERE BEAU ) je faisait allusion a son amourette avec mon ex )pas avec lui
cassezzzzzzzzz, le yovo cassezzzzzzzzzzzzzz
putain sur grioo il te faut etre tjs present sinon s est pas un rateau ,mais une moissoneuse bateuse que tu prend dans la figure
-pour revenir au senario dites kainfri peut me payer des vacances, chez mon amour secret chabineeeeeeee pour profité de son bar et sa plage privé, de son yath qui est un repere de depraver,pour faire une cure de d ésintox au rhum ,et sexe
bon maintenant qu on et au 666 eme EPISODE QUAND JE CONCLUE??????????

[bounty]

[yovo]

CHER BOUNTY quand tu va chez CHABINE LA RICHE haut lieu de perdition,alcool sexe soleil mer ,ou meme le demons ni met plus sa queu fourchue ,ou une de ses cornes , le chiffre 666 n est pas la par hasard,n est-ce pas
dans le senario je precise au cas ou des malententionner ferai deja des rapport sur notre amazonne dépravé
et tu vois ou sa mene de faire le con toutes les nuits sur les plages de Hévé,

[Maryjane]

... Il n'aura pas fallu attendre plus longtemps avant le retour de la douce Maryjane Aliaxel Tikidanke pour que la horde de furets anorexiques se vengent du monceau de générosité qu'elle eut accordé toutes ces années durant à ces habitants de Griooland, si bien décrite comme étant la ville du pêché par excellence, jadis en guerre fratricide avec la réputation nauséabonde de ses villes voisines dont elle pouvait elle aussi à tout moment payer le prix, villes de sang si proches mais pourtant si différentes, parmi lesquelles la vile et tortueuse Amadootown, sœur ennemie qui pourtant enfanta quelques éminents personnages, rescapés à temps de l’imminente chute qui la brisa et qui, par ce déclin prévisible, offrit à Griooland et ses âmes la chance inespérée d’enfin s’élever face à tant d’attaques, d’injures, de jalousie, de mensonges, d’amour, de haine, parfois les deux, sans qu’on puisse vraiment (jamais ?) les dissocier un jour, car parfois si jumelles et donc si proches l’une de l’autre.

La jeune Maryjane n’était pas arrivée seule. Avec elle, deux hommes - deux belles personnes, peut-être trop pour qu’on accorde à Mary le bénéfice du doute au seul fait de bousculer l’ordre établi de la ville maudite et pourtant si belle, qui ne concevait pas qu’une femme seule puisse poser ses valises dans une petite nation aussi vertueuse et trouble que Griooland, escortée de deux hommes, aux allures et paroles impériales, et dont la nature de leurs relations indisposait plus d’un esprit et donc suscitait les réactions les plus violentes des environs, car qui s’interroge ne peut vivre sans savoir.

L’homme phare de cette ville, qui pourtant ne jouissait pas d’un titre plus glorieux qu’un autre, avait pourtant (à la force de sa seule volonté et cette indicible capacité à ne jamais se laisser transpercer par les railleries), finit par gagner en respect et faire de lui celui auquel il fallait de toute évidence s’adresser pour tout et presque rien ici à Griooland, tant et si bien que parfois de plus en plus d’âmes le suspectèrent de laisser cette notoriété troubler ses jugements, jusqu’à en faire – aux yeux de certains – un despote de l’esprit, un sans cœur, un puissant calculateur, à la dentition trop scintillante pour être authentique, et aux yeux grassement dissimulés par des verres si étincelants et énormes qu’ils pouvaient donner l’impression de cacher plus encore que sa myopie légendaire, comme sa propre âme, afin que personne, s’il en découvrait les profondeurs, ne parvienne enfin à s’emparer de ses faiblesses enfin dévoilée, pour le détrôner à la tête du pouvoir de cette Griooland.

… Griooland. Jeunesse aux philosophies alertes et aux rondeurs palpitantes qui demandaient encore à mûrir - jeunesse encore à ses tous premiers balbutiements, mais assurée d’un avenir si puissant, du fait de l’amour, la dévotion et le respect que lui vouaient chaque jour un peu plus tout un chacun de ses habitants, bien malgré les mauvais mots de ces hargneux visiteurs, qui ne voyaient en cette aigre-douce réplique d’une authentique petite Caroline du Sud, croupissant dans un décor de chair sous des ans pluvieux, mais pourtant tout aussi fière et belle qu’implacable, rien de plus qu’une insignifiante petite région de dangereux nostalgiques insupportables qui, un jour, finiraient bien par vouloir dépasser ses propres frontières et faire de son petit statut un pays, puis un jour un royaume. Un empire qui sait.

Cet homme, s’enorgueillissant de cette image de cynique et qui, pour faire un violent contraste avec la douceur de son vrai nom, exigeait de se faire appeler inexplicablement Kainfri, avait pourtant accueilli à bras ouverts la douce Maryjane et ces deux mystérieux bellâtres, dont on ignorait jusqu’au nom, la couleur de leur yeux ou la profondeur de leur cœur.

De ces hommes d’une beauté débordante au point qu’elle suscita la prétention aux yeux des esprits chagrins, il fallu ce jour de gala de décembre dans cette clinquante et insolemment vaste propriété de Kainfri, pour que Maryjane, invitée à s’exprimer au cours d’un toast, les présente enfin à l’audience à cet instant devenue Grioophage ; Nefersweetheart, qu’elle fit passer pour son époux, et cet énigmatique Lottagame, personnage au regard captivant et aux splendides et troublants traits de jeune Pharaon, qu’elle se contenta de ne présenter qu’à travers son nom. Ce qui vraisemblablement ne sembla pas convenir à certaines éminences telle que la dénommée Cathy, amante de Kainfri en attente d’un vain mariage que semblait lui avoir promis l’intéressé, qui s’il ne scellerait certainement pas un mariage d’amour, saupoudrerait pour plusieurs générations encore sa vénale existence de poussières d’or et d’argent. La notoriété pour Cathy était à ce prix-là. Qu’importe que Kainfri ne l’aima pas. Elle en éprouvait tout autant. Son regard portait sur cet impénétrable SK (dont on ne connaîtra jamais vraiment l’entière identité), l’une des personnalités les plus ambiguës de Griooland, dont les lèvres ne se desserraient que pour mettre toute cette horde d’individus aux paroles vaines au pied du mur de leurs propres lamentations, et dont le regard, s’il se laissait rarement interrompre par un battement de cils, observait sans mot dire et avec délectation toute cette populace, qu’il se plaisait à dévêtir une fois terré dans ce grand manoir sombre, dont l’entrée ne lui était offerte qu’à elle ; Cathy, qui, bien malgré elle, si elle aimait cet homme, ne pouvait se marier à une richesse qui n’était qu’intellectuelle. C’est ainsi que plusieurs nuits d’affilée, en compensation à ce vide affectif que personne d’autre ne semblait pouvoir combler, elle fut aperçue au pied de ce manoir, tremblante, troublée, offrante, dans l’attente de voir ce donjon s’ouvrir à elle, et qu’enfin elle puisse être célébrée à sa juste valeur de femme aimée.

Kainfri n’avait que faire de ses escapades. Il lui demandait seulement de ne pas lui faire affront à la lumière du jour. Il avait une ville à tenir. Une image à préserver. Des garanties à conserver. Et un informateur à payer.

Parmi tous ces gens, une femme une seule vint à Maryjane. Belle, aux rondeurs offrantes et aux mollets palpitants, soutenus par de délicieuses chevilles mariées aux teintes argentées d’une luxueuse paire de souliers, elle ne vit que son sourire, ses yeux gris, sa douce voix, son doux prénom. Elle se présenta à elle. « Je me prénomme Chabine. Mais tu peux m’appeler Sista. Qui sont ces deux hommes avec toi ? nous connaissons cet homme qui est ton époux, répondant au doux nom de Nefersweetheart, mais tu ne parles pas de ce mystérieux Lottagame. Qui est-il ? tu devrais me dire. Un jour, les Grioonautes, rigueur pourraient t’en tenir ».

Maryjane, malgré ce doux accueil, ne pouvait cependant se livrer aussi prestement. Comment lui dire qu’en vérité Nefersweetheart et Lottagame n’étaient que ses Frères ? Comment pourrait-elle faire constater à la foule que cette expression dans ces trois regards, cette intonation dans ces trois voix, ne pouvait venir que d’un seul et même père qui aurait mis au monde ces mêmes 3 enfants ? Comment pourrait-elle convaincre cette même foule soulevée par la colère de ne pas savoir, et qui ne concevrait pas qu’un Nefersweetheart fut avant chasseur d’Amadootites dans cette ancienne ville déchue ? comment pourrait-on faire confiance à un être issu d’un lieu aussi trouble ? ce bien malgré le fait que de précédents habitants en soient revenus pour se rebâtir une meilleure vie ici, à Griooland ? Comment faire entendre raison à une foule aveuglée par les préjugés, en leur disant qu’un homme portant des locks n’était pas un faux frère ? qu’il soit beau de surcroît et qu’il ait par le passé échappé à de furieuses et éconduites amantes Amadootites ne fait pas de lui un potentiel traître ? que Lottagame n’a jamais été et ne sera jamais l’amant de cet homme aux mœurs troubles Yovo, qui n’a pas supporté d’être refoulé par le frère et la sœur, mais continue d’être grassement payé par une anonyme éminence ?

Tant de questions, trouveraient-elles cependant des réponses ?

Mais la foule a semble-t-il préféré s’adonner à ses habituelles spéculations, menaçant Maryjane Aliaxel Tikidanke et ses frères au bûcher. D’ici à ce que Chabine, en guerre avec ladite Cathy qui ne souhaitait pas plus longtemps faire de cas avec cette histoire, les Grands Juges du Siège décidèrent de lâcher la meute des furets derrière eux, jusqu’à ce que Asher, Frère d’arme dans l’ombre, abatte ces ignobles serpents de poils sans laisse, et lui permette ainsi qu’à ses frères, de revenir sur les terres pourtant hostiles de Griooland, où ils se firent la promesse de ne plus jamais se laisser EMMERDER PAR UNE FURIE CALCULATRICE AUSSI VENALE QUE CATHY ép KAINFRI (car il avait finalement marié cette hystérique).

Ils ne devaient cependant pas oublier que Yovo veillait au grain. Surveillait les moindres faits et gestes du trio, qui avait convenu de faire paraître pour ce qui au final n’était pas, au moins dans un premier temps, jusqu’à ce que les autres finissent enfin par les accepter pour ce qu’ils étaient réellement, non pour ce qu’ils semblaient être. Chabine était donc libre de TRIPER avec Nefersweetheart, qui n’était nullement le mari de Maryjane Aliaxel Tikidanke, mais bien son frère de sang.

Restait désormais tout simplement à savoir si Nefersweetheart jetterait sur elle un dévolu équivalent, sachant que son entrejambe avait étrangement tendance à croître à la vue de cet énigmatique cabri, qui n’était définitivement pas cette plantureuse et humaine Chabine mais vraiment une connasse de chèvre improbable qui traînait dans les bois environnants aux alentours de 22 h toutes les pleines lunes, à guetter l’autre qui se gelait le fion aux portes d’un manoir sans chaudière qui mettaient 20 putain d’piges à s’ouvrir.

Lottagame, quant à lui, arrivera peut-être un jour à s’extirper du monde infernal dans lequel depuis l’adolescence il s’est jeté corps et âme, en cessant un jour, nous l’espérons, de répéter telle une incessante litanie ce nom étrange, belliqueux et certainement provocateur de Nasir Jones.



Cathy quant à elle voyait son ventre prendre des rondeurs. Les langues commencèrent à se délier. Avait-elle simplement fait une indigestion de colombo de poulet grippé mort avant l’abattoir le soir de ses noces ? S’était-elle rendu chez ce mystérieux SK durant trop de pleines lunes ? et qui était ce cabri qui la guettait à l’entrée de la forêt immobile ? troublant par ailleurs ce malheureux Nefersweetheart qui ne savait plus faire la différence entre un stylo et une table ? Et où était Kainfri ?

De ces trois personnages, SK, Kainfri, le Cabri, who was the father ?
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Les Toiles de Maryjane

[Chabine]

Maryjane, ou ba' nou'y, la !!! Poy poy poy, la fille était inspirée, Nèg !!!

Au début, j'ai eu du mal à entrer dans l'atmosphère un peu trop sirupeuse du début du récit, et puis au fur et à mesure qu'il avançait, le naturel de l'auteur revenant au galop, j'ai fini par être prise... d'une crise de fou rire incontrôlable !!!

Sinon, je n'ai ni le temps ni surtout le talent de nos 2 scénaristes, mais, toujours partante pour les mauvais coups, je propose une variante sur un des personnages les énigmatiques de la série :

Soundjata Keita : ombrageux guerrier mandingue, il aime se la jouer monstre au coeur froid, combattant sans relâche pour la Renaissance Africaine... Du moins, c'est le pipo éculé qu'il sortait à chaque cocktail mondain chez Kainfri, pour masquer sa timidité maladive... Cathy n'avait effectivement pas été insensible à ses charmes (voir précédent épisode), mais, surveillée de près par le maître du Griooland, n'avait pu parvenir à ses fins. Et c'est là que le drame se produisit : soudain, apparut un animal étrange, aux yeux dorés (et pas gris, mamzèl la !) aussi chabins que le poil, perchée sur de hauts talons argentés, et tenant des propos incohérents d'une voix quelque peu bêlante... SK parvint à dissimuler son trouble, mais la carapace du guerrier se fendillait, il le savait... Alors, préférant crever plutôt que de s'avouer vaincu, il attaqua bille en tête, traitant Chabine (puisque c'est bien d'elle qu'il s'agit) de tous les noms, avant de s'enfuir honteusement disserter de la Mâât avec Nefersweetheart et Marin R.Delany (autre ombrageux guerrier, de la même trempe que lui, venu d'Hispaniola). Chabine demeura interdite : "Mêêêêêêêêê c'est qui ce c.... ?", s'exclama-t-elle, courroucée ? Maryjane lui glissa un regard compatissant, et lui souffla à l'oreille : "mais non, dans le fond, il t'aime bien, mais il est un peu SOUBAROU, c'est sa façon à lui de te le dire; celà dit, tu peux crever avant qu'il ne s'excuse, ma fille, ou ja konnèt...". Chabine fulminait, laissant échapper quelques bêlements courroucés ("mêêêê oué mon masseur, hein ??? Ouééééé le !!! Asheeeeeeeeerrrr !! Vini la, le boug m'a contrariée tout bonnman !!!).
Cathy, dans un coin de la salle, descendait son 17è gwo-punch, les yeux dans le vague... Comment allait-elle pouvoir à la fois échapper à la surveillance de Kainfri, et conquérir le guerrier mandingue, avec cette pétasse bêlante dans les parages ? Hein ? Hein ? Comment ????
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"Le colonialisme et ses dérivés ne constituent pas à vrai dire les ennemis actuels de l'Afrique. À brève échéance ce continent sera libéré. Pour ma part plus je pénètre les cultures et les cercles politiques plus la certitude s'impose à moi que LE PLUS GRAND DANGER QUI MENACE L'AFRIQUE EST L'ABSENCE D'IDÉOLOGIE."
Cette Afrique à venir, Journal de bord de mission en Afrique occidentale, été 1960, Frantz Fanon, Pour la Révolution Africaine
2011, annee Frantz Fanon

[yovo]

MAIS MINCE quand il conclue le yovo ,et avec qui, cathy, maryjane ,chabinne , le vieux chauffeur blanc a bien le droit a son moment de bonheur apres ete avoir ete sacrifier ,poignarder dans le dos ,accuser d etre alcolos ,traitre, fouineur, ect...
meme JR AVAIT DES COMPASSATION DE JOUER LE MECHANT car dans un senario pour noir s est le blanc le bad boys,dealer, ganster, assasin, chef de gang,
Y A n a marre des clichés du mauvais blanc infrequantable :cry

[Maryjane]

[Cathy]

[Chabine]

[asher001]

[asher001]

[Cathy]

Cathy était à son massage hebdomadaire, Asher le masseur de ces dames avaient des mains en or; il maîtrisait si parfaitement son art! il connaissait les secrets ancestrals des ancêtres, et lorsqu'il vous parlait, sa voix empreint de sagesse était une mélodie; il était notre calmant à nous, dames de la haute; notre anti-dépresseur dans ce monde de phallocratie brutal; il était le seul à nous comprendre nous qui devions tant donné! Asher était notre cure de rajeunissement, tout en s'occupant de notre corps, il nous promulgait ses prétieux conseils pour préserver notre bien être intérieur. Cathy ferma les yeux, les mains d'Asher était si doux! elle était allongée sur le sofa; Confiante, elle s'adonna à ses bienfaits, Asher lui ne put s'empêcher d'admirer ce nyuu frêle ( ) Quelle beauté kamitique! ( ), une annuit si parfaite! il se voyait s'allonger sur la terre d'égypte, rechercher l'énergie salvatrice jusque dans les lieux les plus sacrées. S'acheminer lentement dans la grotte sacrée à la recherche de l'eau salvatrice alors lentement doucement, le serpent de feux pènètrera les profondeurs de la terre pour en faire vaillir une coulée de lave.......

Surgit la bonne : "Madame, madame, monsieur BIG vous demande"
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"- A quoi est due la chute d'Adam et Eve ?
- C'était une erreur de Genèse."
(Boris Vian / 1920-1959)

http://alliance-haiti.com/
http://lacuisinedumonde.free.fr/

[Chabine]

[asher001]

[Cathy]

[Chabine]

J'aime mieux ça ! Vade retro, guiablesse !!!

[asher001]

[Cathy]

[Chabine]

[asher001]