Posté le: Mer 21 Juin 2006 07:44 Sujet du message: LES NEGRES DE SERVICE DE LA FIFA
Le technicien français Guy Roux n’est pas Africain. Il n’a absolument rien à avoir avec l’Afrique. Mais c’est lui qui monte au créneau, ces derniers jours, pour dénoncer le néo apartheid arbitral que l’on constate à la Coupe du monde. Les commentateurs africains ou d’origine africaine sur la place médiatique mondiale, sont rentrés en brousse. Ils se cachent. Il ne faut pas qu’on les prenne pour des dangereux révolutionnaires. Ils sont bien sages, «les bons Nègres à leurs bons maîtres» et ne veulent pas se fâcher avec les bonnes âmes qui les invitent périodiquement à leur table.
On aimerait entendre, sur les scandales arbitraux du Mondial, des voix africaines autorisées comme celle de Basile Boli, de Joseph-Antoine Bell, de Roger Milla. Au fait, où est passé Issa Hayatou, le président de la CAF ? Son rôle ne serait-il pas de répertorier, par exemple, les innombrables fautes d’arbitrage qui ont privé les équipes africaines de victoires méritées et de monter au créneau ?
Drôle d’Afrique qui a peur de son ombre, soumise jusqu’à la caricature, et toujours humiliée – car on ne respecte que ceux qui se dressent pour réclamer leur place au soleil et leur droit au respect.
On se tait. Les plus courageux d’entre nos voix de référence vont aller féliciter Guy Roux en catimini. Le Bon Blanc. Qui parle pour nous. Pitoyable !
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Posté le: Mer 21 Juin 2006 10:56 Sujet du message:
Guy Roux s'est exprimé. Il a donné son avis. mais ce n'est pas le bon dieu, on a le droit de ne pas partager son opinion. Les polémiques d'arbitrage sont permanentes en CM, permettez nous de pas y voir le moindre complôt sans ressortir ces qualificatifs éculés de "nègres de maison" etc ...
C'est précisément ce travers qui montre le degré d'aliénation de certaines personnes. _________________ Un ennemi intelligent est préférable
à un sot ami
agir en penseur, penser en homme d'action
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Posté le: Mer 21 Juin 2006 15:09 Sujet du message: Re: LES NEGRES DE SERVICE DE LA FIFA
arak atack a écrit:
Le technicien français Guy Roux n’est pas Africain. Il n’a absolument rien à avoir avec l’Afrique. Mais c’est lui qui monte au créneau, ces derniers jours, pour dénoncer le néo apartheid arbitral que l’on constate à la Coupe du monde. Les commentateurs africains ou d’origine africaine sur la place médiatique mondiale, sont rentrés en brousse. Ils se cachent. Il ne faut pas qu’on les prenne pour des dangereux révolutionnaires. Ils sont bien sages, «les bons Nègres à leurs bons maîtres» et ne veulent pas se fâcher avec les bonnes âmes qui les invitent périodiquement à leur table.
On aimerait entendre, sur les scandales arbitraux du Mondial, des voix africaines autorisées comme celle de Basile Boli, de Joseph-Antoine Bell, de Roger Milla. Au fait, où est passé Issa Hayatou, le président de la CAF ? Son rôle ne serait-il pas de répertorier, par exemple, les innombrables fautes d’arbitrage qui ont privé les équipes africaines de victoires méritées et de monter au créneau ?
Drôle d’Afrique qui a peur de son ombre, soumise jusqu’à la caricature, et toujours humiliée – car on ne respecte que ceux qui se dressent pour réclamer leur place au soleil et leur droit au respect.
On se tait. Les plus courageux d’entre nos voix de référence vont aller féliciter Guy Roux en catimini. Le Bon Blanc. Qui parle pour nous. Pitoyable !
Arak Attack, Cites tes sources, c'est pas de toi çà !
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Posté le: Jeu 22 Juin 2006 09:07 Sujet du message: Re: LES NEGRES DE SERVICE DE LA FIFA
Martin.R.Delany a écrit:
A lire des differentes intervention Jofrere, je ne serai pas etonne que tu accuses les Afros de "pleunichard ou ingrat", tout comme les leucos d'ailleurs, des qu'ils reclament leur du.
Cher Martin, pleurnichard ou ingrat sont deux termes qui n'ont pas la même connotation à mon sens.
Lorqu'on parle des relations internationales sur un plan historique, je ne vois vraiment pas ce qu'un concept tel que l'ingratitude ou son contraire la reconnaissance viendraient faire dans le débat. Donc, je ne dirai jamais que les "afros" pour respecter ta terminologie sont des ingrats parceque ça n'a aucun sens pour moi.
Pour pleurnichard, la problématique n'est pas la même. On peut estimer avoir été floué par l'histoire et néanmoins considerer que ceux qui, se réclamant de la morale, à longueur de forum "réclament leur dû" comme tu dis ou "exigent réparation"( ) se trompent comlètement de discour et de stratégie si tenté qu'ils en aient une. J'évite néanmoins d'employer des termes tels que pleurnichard qui me semblent inappropriés.
Pour finir sur Henri Michel, j'estime par contre que l'état ivoirien et je ne doute pas qu'ils le fassent doit traiter convenablement cet homme qui a servi de façon honnête je le pense le football ivoirien. Le public a le droit d'être frustré et mécontent, un journaliste se doit par contre de prendre de la hauteur pour faire des analyses plus rationnelles. Donc quand je lis l'article publié l'autre jour sur Henri Michel, je trouve le contenu bête et méchant. _________________ Un ennemi intelligent est préférable
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Posté le: Ven 23 Juin 2006 11:10 Sujet du message: Re: LES NEGRES DE SERVICE DE LA FIFA
jofrere a écrit:
Martin.R.Delany a écrit:
A lire des differentes intervention Jofrere, je ne serai pas etonne que tu accuses les Afros de "pleunichard ou ingrat", tout comme les leucos d'ailleurs, des qu'ils reclament leur du.
Cher Martin, pleurnichard ou ingrat sont deux termes qui n'ont pas la même connotation à mon sens.
Lorqu'on parle des relations internationales sur un plan historique, je ne vois vraiment pas ce qu'un concept tel que l'ingratitude ou son contraire la reconnaissance viendraient faire dans le débat. Donc, je ne dirai jamais que les "afros" pour respecter ta terminologie sont des ingrats parceque ça n'a aucun sens pour moi.
Pour pleurnichard, la problématique n'est pas la même. On peut estimer avoir été floué par l'histoire et néanmoins considerer que ceux qui, se réclamant de la morale, à longueur de forum "réclament leur dû" comme tu dis ou "exigent réparation"( ) se trompent comlètement de discour et de stratégie si tenté qu'ils en aient une. J'évite néanmoins d'employer des termes tels que pleurnichard qui me semblent inappropriés.
Pour finir sur Henri Michel, j'estime par contre que l'état ivoirien et je ne doute pas qu'ils le fassent doit traiter convenablement cet homme qui a servi de façon honnête je le pense le football ivoirien. Le public a le droit d'être frustré et mécontent, un journaliste se doit par contre de prendre de la hauteur pour faire des analyses plus rationnelles. Donc quand je lis l'article publié l'autre jour sur Henri Michel, je trouve le contenu bête et méchant.
de 1 henri michel est un nul, et ce genre de language envers un entraîneur qui n'assure pas c'est partout même en france, tu verras quand la france sera elliminé ce qu'on dira sur domenech.en ce qui concerne l'arbitrage contre la CIV voici un article de ce que dit blatter lui même:
Le président de fédération internationale de football (Fifa), Sepp Blatter a réagi, face aux critiques françaises sur l’arbitrage. La France crie au scandale, a-t-il souligné (…) mais il existe un pays qui a pu être frustré et qui doit rentrer chez lui : la Côte d’Ivoire à qui on a volé un penalty”, a-t-il fait remarquer.
Posté le: Sam 24 Juin 2006 09:15 Sujet du message:
Vu sur I-Télé au soir de l'élimination de la CIV.
L'émission s'appelle "N'ayons pas peur du foot"
l'homme J. Rémy Ngono un journaliste sportif camerounais, est invité sur le plateau de I-Télé en tant que specialiste du football africain.
ça se passe samedi, juste après minuit. Le temps du Mondial, la chaîne info i-télé a maquillé son politique N'ayons pas peur des mots en un N'ayons pas peur du foot. Le principe reste le même : on s'assoit autour d'une table, on s'engueule, ça passe à la télé et on rentre chez soi avec sa petite notoriété.
Au zinc ce soir-là autour de Karl Olive, journaliste sportif maison, Didier Bariani, vice-président de l'UDF, Bruno Derrien, arbitre, Alexandre Jordanov et Rémy Ngono.
Sous Jordanov est écrit «journaliste» et sous Ngono «journaliste camerounais».
Car, oui, Rémy Ngono est noir.
Et il est noir jusqu'au bout de sa langue où les «r» roulent et s'enroulent.
Pour les commensaux, tant que Rémy Ngono reste coi dans son costume de bandit marseillais, tout va bien, on y va de son analyse de comptoir, on brille à peu de frais.
Et puis Ngono l'ouvre. Tout grand car il parle très fort.
«Je crois, clame-t-il à propos d'Argentine-Serbie-Monténégro, qu'on est en train de tisser des louanges très folkloriques à l'Argentine, parce que l'Argentine avait devant elle une formation d'une morosité cadavérique.»
En face, stupeur.
Ngono n'a pas fini : la défaite ivoirienne contre les Pays-Bas «est un naufrage apocalyptique pour l'Afrique, l'apothéose de l'humiliation».
En face, on tousse. Bariani s'étouffe : «Le temps de parole de notre ami explose.»
Ngono ne se démonte pas : cet arbitre qui n'a pas vu le penalty «était d'une hypermyopie proverbiale».
C'en est assez pour Derrien : «Je voudrais réagir aux propos de notre ami là.»
Mais Ngono le coupe : «Il faut être du côté de la victime et non du bourreau, dit l'Evangile», prêche-t-il.
Tronches de Derrien et Bariani.
Pour finir, c'est l'équipe de France qui passe à la moulinette Ngono.
Les Bleus sont «des wagonnets lubriques, des cargos anciens qui ne parviennent pas à satisfaire leur peuple».
Cameroun : 1-France : 0. _________________ La vie est un privilege, elle ne vous doit rien!
Vous lui devez tout, en l'occurence votre vie
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