Tout d'abord, une chose est de vouloir aider les pays pauvres afin qu'ils se sortent enfin de cette agonie dans laquelle ils sont plongés depuis la nuit des temps en parlant et agissant clairement. Une autre chose est de continuer à vouloir prendre les pays pauvres pour un ramassis de territoires 'indépendants' et de peuples incultes et de continuer à leur faire subir le mauvais côté du capitalisme sans coeur qui prend ses racines ici en occident et qui partout fauche tout espoir de lendemains qui chantent pour ces pays du Sud.
L'ONG OXFAM et plusieurs autres actifs dans le domaine de la lutte contre la pauvreté, depuis 1990, ont soumis à l'attention de la BM et du FMI des solutions efficaces dont il suffit d'avoir la BONNE VOLONTE et le COURAGE d'appliquer pour les voir faire éclore l'espoir d'un nouveau monde. Nouvelle situation (incroyable et paradoxale) qui profiterait autant à ces rapaces capitalistes qu'aux 'damnés' de ce monde.
Ensuite, il ne suffit pas que la BM et le FMI, au nom des bailleurs de Fonds du G7/G8 et autres club de Paris, etc... prennent enfin cette BONNE DECISION pour vraiment espérer voir la situation en Afrique (Principalement) CHANGER. Il est également nécessaire que la classe des dirigeants politques actuels fassent acceder à la tête de leurs pays respectifs( de manière démocratique et pour que l'histoire se souvienne d'eux) une nouvelle classe de technocrates habiles et à même de faire sortir ce riche continent de sa trop longue nuit de misère.
Vivement que les Africains eux-mêmes finissent par comprendre qu'il n' y a jamais qu'une seule manne dans l'histoire de l'humanité (celle de la légende Biblique envoyée aux Hébreux alors qu'ils quittaient l'Egypte)...Plus jamais, il n'y en aura. la seule et unique solution est de se battre becs et ongles afin que l'Afrique (ses intellectuels, ses enfants, hommes et femmes) sorte de cette soumission et de cette dépendance qui l'asservissent tant.
Ps: Petit correctif: La Grande-Bretagne ne va pas rembourser la part de la dette des pays les plus pauvres auprès de la Banque mondiale lui revenant, mais elle se propose plutôt de l'annuler.
Merci.
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