L'espoir fait vivre |
Kamatari (
02/11/2004 09:35 )
À Aarschot / Belgium
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Espérons que les Barundi ont fini par comprendre:
- qu'il vaut mieux un arrangement à l'amiable entre gens de la même maison qu'une lutte sans merci et sans issue, aboutissant à l'auto-destruction inéluctable e totale. Ceci est l'objectif des ennemis des habitants de la région
- qu'il vaut mieux trouver soi-même sa voie que suivre aveuglement les conseils des intrus surtout Franco-européens
- qu'il vaut mieux préserver tout ce qui touche à son pays, à sa nation, à son patimoine tant humain (surtout) que matériel pour satisfaire l'égo ou les préoccupations de certains groupes sectaires et religieux
- qu'il est plus difficile de construire que de détruire
La décision de l'actuel président, Domicien Ndayizeye, est légitime et compréhensible. Toutefois, le rôle qu'il a joué avec un peu plus de réussite que ses prédécesseurs, le voue à continuer dans un rôle de garde-fou et de garant des acquis actuels. Il faudrait que ses pairs le désavouent pour qu'il songe à déposer son bâton du Mushingantahe, à supposer et à espérer qu'il ait prêté serment en tant que tel.
Eeh oui! C'est ici où on voit et comprend le rôle dévolu au roi d'un pays. Dommage que certains Barundi l'ont supprimé sans saisir ce qu'il venaient de détruire: le protecteur et le garant de l'âme d.u peuple et de sa nation |
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Pour une fois qu'un president africain se la joue sobre |
wistiti (
02/11/2004 13:11 )
À / France
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bonjour,
encore une fois le burundi essaye de donner un exemple : un des premiers pays à avoir experimenté une transition démocratique, il donne ici l'occasion de se rendre compte qu'il regorge de personnes de valeur tel ce president mais que les extremistes de toute sorte ainsi que les incoscients l'ont conduit à la decheance actuel. quant à notre chère kamatari qui rêve encore d'un roi, qu'a-t-elle fait durant toutes ces années où elle amusait la galèrie occidentale pour notre pays? Pense-t-elle avoir une credibilité suffisante?
qui vivra verra. |
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Aveu d'echec |
Tony Dee Djema (
02/11/2004 13:11 )
À Genève / Switzerland
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Le Burundi n'a jamais été démocratique. Au régime féodal en vigueur avant les indépendances a succédé une longue période de dicature militaire exercée par la minorité tutsi. La seule fois où des élections réellement dénocratiques et transparentes ont été organisées à l'issue d'une transition similaire à celle en cours, l'expérience a tourné court car l'armée monoethnique tutsi n'a pu supporter le fait de voir la magistrature suprême revenir au terme d'un processus universellement admis à un hutu! Depuis 1993, les tutsi font tout pour contrecarrer la tenue des élections démocratiques, libres et transparentes! C'est cela que Kagamatari appelle la voie propre et originale des Burundais!
La présente transition, elle-même et ce compromis n'a été possible qu'avec de fortes pressions de la communauté internationale: pays de la Sous-Région, Afrique du Sud,... Qui ne se souvient pas de l'embargo que les pays de la sous-région avait imposé au regime issu du dernier coup d'état de Pierre Buyoya au regime issu des élections de 1993.
Trêves d'affabulation, Senior Kagamatari!
C'est depuis belle lurette que le monde a entamer son intégration: les différents peuples ont adopté bien de valeurs communes sur le plan économique, social, urbanistique, voire culturel que prétendre instaurer sa propre notion de démocratie reposant sur je ne sais quels critères tutsi relève tout simplement de la démagogie!
Ceci dit, la décision de Domitien Ndayizeye me semble être très sage. Le Burundi est peuplé d'environ 8 millions d'habitants. Le pays ne manque pas de compétences. Dès lors vouloir s'accfrocher au pouvoir rien que pour le pouvoir c'est rendre un mauvais service à son pays et à son peuple.
Ceci nous change d'un Buyoya qui n'a pas hésité à braver la réprobation du monde entier en commanditant l'assassinat de son successeur élu démocratiquement avant de revenir plus tard au pouvoir par un coup d'état!
Le même et les extrémistes de son ethnie ont encore tenté de revenir sur les accords sur le partage du pouvoir pendant la transition en cours après les 18 premiers mois de la transition.
La décision de Ndayizeye est donc une très belle leçon donnée aux extrémistes tutsi sur le respect des engagements et de la parole donnée! |
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ok (
02/11/2004 23:30 )
À / Reunion
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oui ceci dit ça reste un exemple et c'est rare.Faut penser futur!
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Who is who? la voie du juste milieu |
Kamatari (
03/11/2004 22:59 )
À Lommel / Belgium
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Kamatari est un nom masculin à ne pas confondre avec la dame, qu'importe sa vertue, qui l'mprunte, à cause de son acculturation occidentale, à son pater qui serait homonyme.
Par contre, l'idée de se retirer de la vie politique de l'honorable Ndayizeye (dont le nom sous-entend celui qui croit et espère en Imana, le Dieu des Barundi) est légitime mais signifie qu'il ne veut plus d'autre poste ou activité politique. Or, son expérience et sa notoriété pourrait encore servir son pays dans la phase post transition pour contrecarrer les mauvais conseillers.
Il est vrai que sa persistance à faire de la politique pourrait lui être fatale si les désordres revenaient.
C'est pour cela que j'ai évoqué le rôle d'un roi, qu'il soit murundi ou autre. Il ne peut se retirer car il a le rôle de garant de la bonne marche de la nation et personne ne doit lui contester sa place si ce n'est par une procédure normale.
Les Belges et le clergé catholique ont essayé et ont réussi malheureusement à démollir la royauté du pays avec les conséquences que nous voyons.
Certains continuent à confondre démocratie et élection ou votes dans des urnes avec un hurberlu de président sortant vainqueur du sufrage pseudo-universel.
Je peux affirmer sans bcp me tromper que le Burundi était démocratique du temps des rois plus qu'aujourd'hui et demain. Qu'il l'était bien plus que bcp de pays africains surtout et même européens. Qui peut prétendre connaître assez le bonhomme Chirac ou Mobutu pour le choisir lui ou un autre?
Prenez le Congo, le Kenya, le Caméroun ou le Gabon et même la France. Il n'y a que de la démagogie et peu de démocratie. les jeux politiques y sont déjà joués.
Dire que les Tutsi ont contrecarré les élections au Burundi est une aberration pure et simple. On confond une poignée de gens avec une entité humaine qui n'a ni idéologie ni vision préconçue. les Hutu ou les Tutsi ne represenent pas des partis politiques et encore moins des groupes ethniques comme clamés par les ennemis du pays.
Dans l'histoiire du Burundi, il n'y a jamais eu de guerre entre Hutu et Tutsi. Bien au contraire, puisqu'ils constituent les éléments d'une même nation solidaire et unie.
Les problèmes actuels du Burundi et du rwanda sont faits des lacunes dans le système de défense commune contre l'intrusion étrangère. Malheureusement, le Burundi n'est ni l'Inde ni la Chine ou l'Indonésie pour se suffire lui-même et bouter ces étrangers dehors.
Quant à la communauté internationale (sous entendu les Sud-Af et les fameux Franco-européens), elles n'est là que comme charognard qui attend que le pauvre petit Burundi soit foutu pour mettre le grapin dessus.
Entre parenthèses, l'embargo était mis pour empêcher Buyoya, l' aveugle, de continuer à décon.... par ses amitiés avec Sant Egidio, la façade de l'Opus Dei ...Il croyait qu'il avait des amis surs alors qu'ils sont pour les Hutu extrêmistes (il est possible qu'il soit lui-mêm Hutu!?).
Entretemps, ce qui est remarquable c'est la très haute résistence tant économique que politique du Burundi face à cette tourmente si on le compare à d'autre pays qui ont vécu ou vivent les mêmes problèmes.
Ceci montre que le Burundi est une grande nation, ayant des bases millénaires sociales et politiques. |
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Democratie à la Kagamatari |
Tony Dee Djema (
04/11/2004 09:27 )
À Genève / Switzerland
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Décidement, il n'a pas le sens du ridicule, le Senor Kagamatari.
La bêtise est hutue et la sagesse tutsie, tente-t-il de nous convaincre.
Ce sont peut-être les Franco-Européens qui portent les uniformes de l'Armée burundaise et tirent sur des paysans hutu. Peut-être que les images diffusées à la télé et qui ont fait le tour du monde, sur les massacres interethniques au Burundi ne sont que des grossiers montages!
Le système féodal qui condamnait tout enfant né des parents hutu à rester lui-même dans cette classe sociale et ce, quelque soit ses dispositions intellectuelles et autres aptitudes tandis que n'importe quel cancre né des parents tutsi (c'est-à-dire de la cuisse de Jupiter) lui était promu à un destin rose, c'est cela la démocratie à la Kagamatari!
Un système où l'avenir est scellé de par la naissance et, aujourd'hui de par la forme du nez!
Allons donc! |
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la destruction d'un pays par une minorite |
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04/11/2004 13:29 )
À / United Kingdom
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moi je crois que les peuples migrateurs doit savoir que les supporteur d'aoujourdhui ne sera pas les vaincu d'hier voila ce que l'on peu pense toutes sortes du desordre commis ne sera pas oublie dans toutes l'etendu du grand lacs pas seulement le burundi les vrai peuples habitant la region on connus tant de souffrance avec les nouveau venu de l'est de l;afrique dont il sont les adorateurs des blancs par example comme les tutsi d'origine somali et ethiopie sur les terre Bantou et trouve refugee sur un peuple civilise avant meme les occidentaux donc cette faible qui marque les type Bantou doit terminer et change leur attitude vis a vis des gens qui ont du sang des crimes c'est pas seulement le Burundi mais tous les pays du grand lacs doit change d'attitude et de comprenhension les Bantou n'adorant pas les europeans . |
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Les rois burundais!!!!!! |
rukundo (
30/11/2004 23:17 )
À Rotterdam / Netherlands
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Je pense que nous devons expliquer l'histoire du Burundi honetement. Ces rois dont tu parle etaient des veritables monarques absolus, qui n'avaient le seuls soucis de garder toutes les privileges politiques sociales et economiques dans les seules mains de Tutsis |
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