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Acte I : La mondialisation peut profiter à l’Afrique |
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15
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c'est juste |
Luc (
27/12/2004 10:30 )
À / Lithuania
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Je partage votre analyse sur la mondialisation,je crois que nous pouvons gagner en integrant le systeme ,il nous faut juste de la volonté politique et là c'est un autre PB
Thanks |
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C'est vrai |
MODESTE C. NZ. (
28/12/2004 20:19 )
À Raleigh / United States
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J'ai lu votre article, il semble tres convaincant et vrai. Ce serait une tres bonne idee de voir les jeunes africains intellectuels rester et travailler en afrique au lieu de toujours se rendre a l'occident pour chercher une vie meilleure et de bonnes conditions sociales. Tout cela peut etre possible en Afrique avec la mondialisation dont vous faites montre, mais il faudrait bien que la mentalite politique des dirigeants ou leaders africains puisse changer; sinon, trente ans apres, on sera toujours en train de faire des discours dans le desert et rien ne se realisera. Pendant ce temps, l'Asie aurait encore pris trente ans d'avantage sur notre beau continent africain.
Thanks,
M.C. |
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axel (
28/12/2004 21:56 )
À Montreal / Canada
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je ne partage pas l idee de mondialisation pour l
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Oui mais ... |
formalhaut (
28/12/2004 22:08 )
À / France
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"
Mais cette recherche de main-d’œuvre de bas prix en Afrique doit pouvoir échapper aux discours moralisateurs de certains occidentaux sur le syndalisme et le temps de travail
"
C'est bien ce que j'augurais dès les premières lignes de ce texte.
Attention aux dérives : en Chine il y a des ouvrières qui bossent 16h/24 7j/7 et dorment sur leur lieu de travail. C'est beau l'esprit du sacrifice de sa vie, pour enrichir quelques gus. J'espère que les gens d'accord avec cela seront les premiers à "trimer comme des nègres", car on doit montrer l'exemple des idées qu'on prône.
C'est vrai que l'Afrique a la possibilité de sauter à pieds joints dans ce système tant porté aux nues, qui serait soit disant la panacée. A elle de prendre ses responsabilités, mais il est souhaitable qu'elle s'interroge sur d'autres mode de société que l'occidental, actuellement imposé à toute la planète. Elle a la chance d'avoir une grande marge de choix pour ses sources d'énergie, le soleil étant une source évidente après développement de nouveaux moyens de l'utiliser. Elle pourrait s'auto suffire dans ce domaine et dans celui des produits qui en découlent, et même exporter son savoir faire et ces produits.
Je suis conscient qu'il y a urgence, cependant la solution la plus rapide n'est pas forcément celle qu'on croît et encore une fois j'ai la triste impression que l'Afrique veut-et va- copier mot pour mot ce qui vient d'ailleurs, parceque ce serait "meilleur" à priori. Si tel est le cas ce sera encore une fois tant pis pour sa gueule, et tant mieux pour les autres. A trop baisser son pantalon ... |
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penda (
29/12/2004 00:28 )
À / Sweden
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je suis d'accords avec l'analyse qui a été faite sur les bénéfices de la mondialisation pour le continent africain. En effet, nous disposons de tout ce qu'il faut en Afrique pour être aussi compétitifs (voire plus) que las autres cotinents. Mais ce qui nous tue c'est cette sale mentalité de toujours vouloir écraser notre prochain lorsque ce lui-ci essaye de s'en sortir et donc contribue au développement du continent ! |
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leylâ (
29/12/2004 11:00 )
À / France
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ll y aurait trop de choses à dire. Je me limiterai à ceci :
Le problème avec l'Afrique ce sont ces intellectuels qui sortent des universités européennes et qui, de retour dans leurs pays, tentent d'appliquer tout ce qu'ils ont appris là-bas. Le plus souvent initiés à l'économie de domination, ils oublient ces valeurs élémentaires qui ont fait de l'Afrique le Pays des sages et de la sagesse. ils finissent par devenir des tyrans despotiques à la solde des occidentaux, des américains, bradent leur pays, vendent leur mères, croyant se blanchir et croyant que le modèle occidental est la panacée.
Quand comprendrez vous que vous n'avez aucune leçon à recevoir de l'occident et des puissances industrielles. Vous avez tout, vous contenez tout, les musées les plus riches du monde n'existent que par vos objets d'arts.
Les plus grands peintres francais doivent leur succès aux "nègreries" .
Vous avez déjà été assassinés une première fois par la traite négrière, vous vous faîtes piller aujourd'hui ce que vous avez de plus beau, votre culture, votre tradition. Jusqu'à quand allez vous vous laissez faire ?
N'oubliez pas ceci : toute la richesse des pays industrialisés viennent pour la plupart de l'exploitation des ressources, du savoir faire des pays pauvres (ressources minières, pharmacopée, etc...
Ce n'est pas un appel à la haine, ni à la violence, c'est juste une façon de vous dire, que vous avez beaucoup à apporter au monde, et surtout à l'occident, mais l'occident n'a rien à vous offrir si ce n'est les armes de destruction, les révolutions fomentées pour vous diviser, la désolution et une soi-disant aide humanitaire, qui n'est rien d'autre qu'une vaste hypocrisie servant les intérêts des politiciens pour redorer leur blason auprès des électeurs.
Lorsque vos politiciens seront des hommes intègres, vous pourrez commencer à reconstruire votre pays vous même, sans être obligés de céder au chantage des autres puissances mondiales.
Lorsque la communauté africaine sera capable d'être unie autour de la reconstruction de l'Afrique, c'est l'occident qui fera figuer de pays pauvre, malgré sa technologie développée.
Rééduquez vos enfants à la vraie tradition africaine, prenez ce qui est bon en occident, amis rejetez tout ce qui vous éloigne de ce que vous avez de plus précieux, votre AME AFRICAINE qui a été et sera toujours l'AME DE L'HUMANITE.
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c'est pas faux |
mangoua ysis gladys (
30/12/2004 10:10 )
À Libreville / Gabon
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d'accord c'est vrai mais ne rejetons pas la faute sur les autres si je peux le dire.Pour moi je dirais que le pb vient de nous mm arrétons de nous basses sur l'élite polite,moi comme solution je demanderai à tous les africains que vivent ou porsuivrent leur études hors de l'afrique que le plus important n'est pas de partir mais de revenir tranformer notre continent avec les outils acquis d'ailleurs si j'ai bonne mémoire c'est ce qui avait étè fait lors du commerce triangulaire? |
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c'est pas faux |
mangoua ysis gladys (
30/12/2004 10:10 )
À Libreville / Gabon
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d'accord c'est vrai mais ne rejetons pas la faute sur les autres si je peux le dire.Pour moi je dirais que le pb vient de nous mm arrétons de nous basses sur l'élite polite,moi comme solution je demanderai à tous les africains que vivent ou porsuivrent leur études hors de l'afrique que le plus important n'est pas de partir mais de revenir tranformer notre continent avec les outils acquis d'ailleurs si j'ai bonne mémoire c'est ce qui avait étè fait lors du commerce triangulaire? |
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lafrique doit tracer sa propre voie. |
axel (
30/12/2004 17:45 )
À Montreal / Canada
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la mondialisation est un beau mot plein et aux seuls avantages des nations qui savent que c est dans leur plus grand interet de mettre au pas toute les nations qui pourraient constituer une menace a son hegemonie. soyons intelligent et voyons les choses du point de vue pouvoir. les seuls a vouloir promouvoir la mondialisation ce sont les USA, parce quetant dans une position dominante; ce serait donc le moyen ideal d
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Folie générale |
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06/01/2005 09:31 )
À Bordeaux / France
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La mondialisation , escroquerie planétaire fera exploser la planète.
anne-Marie Kibongui |
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tout est clair et net |
Magassouba KOURAMOUDOU (
25/01/2005 11:42 )
À / Morocco
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je ne suis pas assez connecté au monde exterieur pour mieux le connaitre, mais cet article en ce qui concerne le dvpt de l'afrique " berceaux de mepri* * " est sans doute vraie et nul ne p dire le contraire à moins qu'il soit l'un des partisant du bloc des "elites politico-intellectuelles " elues non pour méner à bon terme leurs peuples mais plu---tot s'en servir pour s'enrichire avec l'appuit des "ex-colonisateur " dont elles ont suc-c-d je prefère m'arreter là pour ne pas m'en detter au cyber parce que je manque de capital or ma terre en regorge suffisament........ |
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le temps nest plus a pavoiser |
ENDENE JOSS B.L. (
30/01/2005 20:16 )
À / Italy
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lanalyse faite par daniel cohen est juste lAfrique est lasse detre le laisser pour compte de la mondialisation et doit se prendre en main redevelloper son marche interieur et exterieur favoriser lepargne et mettre en place des structures dinvestisements nationales regionales et continentales afin de se desenclaver investir dans leducation la sante les logements les routes les ponts lenergie leau se doter de reseaux routiers entre pays fin de faciliter lechange des produits invetir dans la recherche et la transformation des produits
lafrique est riche de ressources humaines et naturelles et doit se prendre en main que les dirigents la societe civile lopposition larmee les etudiants lyceens et ecoliers prennent en compte la lourde tache qui est de garntir soit meme son propre avenir |
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AFRIQUE ET MONDIALISATION |
ARMAND KAMBOU (
18/03/2005 09:00 )
À Los Gatos / United States
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J ai lu les differentes reactions par rapport a la mondialisation et jai pu remarquer que les different intervenant ou emis des idees tres brillantes pour contribuer au debat.
Depuis, l’effondrement du système communiste, ce processus est présenté comme triomphant, avec l’intégration progressive de la Chine et des pays issus de l’ancien bloc soviétique et l’essor des NTIC, nouvelles technologies de l’information et de la communication… la mondialisation n’est pas une invention de la fin du xx e siècle.
LA MONDIALISATION se definit comme un processus d’interdépendance de plus en plus prononcée des économies nationales découlant de la création d’un marché planétaire pour les marchandises, les services, les capitaux mais aussi l’information, les idées, les produits culturels et médiatiques.
En se prenant la definition aux sens litteral on se rend compte que cest un concept pouvant booster ou dynamiser une economie.
DES "ÉCHANGES" INJUSTES ET EN BAISSE
"Alors que les pays du Nord profitent des avancées technologiques dans les domaines de la communication, de la recherche et de la productivité économique, l'Afrique n'a pas accès aux technologies modernes. L'Afrique n'abrite par exemple que 0,8% des personnes ayant accès à Internet dans le monde (c'est à peine 0,1 % pour les 48 pays d'Afrique subsaharienne qui abritent pourtant 10% de la population mondiale). Parallèlement, alors que le couple Recherche et développement (R&D) constitue en cette fin de siècle un enjeu majeur, l'Afrique représente moins de 1% des dépenses mondiales en la matière. Le pire est que la situation scientifique du continent ne cesse de se détériorer : l'Afrique subsaharienne a ainsi perdu près de 20 % de son poids mondial (mesuré par le nombre de publications internationales) entre 1990 et 1995.
Ensuite, malgré l'ampleur quotidienne des mouvements de capitaux à travers le monde, le continent africain est privé d'argent. Ainsi, alors que, par exemple, un emploi français sur trois est créé par les Investissements directs à l'étrangers (IDE), l'Afrique se voit inlassablement boudée par les investissement internationaux : sur les 622 milliards de dollars d'IDE en 1998, seuls 8,3 milliards (soit 1,3% du total) ont eu pour destination l'Afrique. La situation est encore bien pire si on se focalise sur l'Afrique subsaharienne, qui ne représente que 1% des IDE parvenus aux pays en voie de développement. Une analyse encore plus nuancée montre que la quasi totalité de cette part infime n'est destinée qu'à quelques pays (l'Afrique du Sud et quelques pays producteurs de pétrole et de minéraux comme le Nigeria, l'Angola, le Gabon ou le Cameroun).
En outre, alors que les experts de l'OMC (Organisation mondiale du commerce) parlent du marché du commerce mondial unifié, la contribution africaine à ce marché n'est que de 2%. Le pire est que cette situation ne provient pas d'une politique africaine de repli sur soi : depuis les années 80, l'Afrique a largement ouvert ses marchés, suivant les conseils du FMI et appliquant les plans d'ajustement structurel. Or, cette ouverture des marchés africains a paradoxalement eu pour effet de diminuer sa contribution au commerce mondial, qui s'élevait à 4% en 1980 (soit le double d'aujourd'hui).
Le phénomène est encore plus criant si on se penche sur les seules exportations : alors que le FMI base son programme sur toujours plus d'exportations, plus il intervient dans l'économie africaine en la libéralisant et plus le continent exporte en volume, moins cela lui rapporte en valeur (la valeur des exportations africaines a ainsi chuté de moitié entre 1980 et 1998).
(...) La place qui lui [à l'Afrique] a été dévolue dans le panorama de la mondialisation est double : exporter vers le Nord quelques matières premières (cacao, café, caoutchouc, pétrole, minerais, coton, sucre, etc.) et importer du Nord les technologies, les produits manufacturés et une partie des céréales de base. Or, les termes de ces échanges entre Nord et Afrique sont de loin défavorables à cette dernière, puisque depuis les années 80 et hormis quelques rares exceptions (comme le boom passager du cacao et du café en 1995-96), les prix des matières premières (cotés essentiellement sur les marchés de Wall Street, Chicago et de Londres) n'ont cessé de baisser plus rapidement que les prix des produits manufacturés du Nord. Il en résulte que l'Afrique se voit condamnée par des fluctuations extérieures à vendre ses matières premières sans valeur ajoutée. Depuis 1980, la valeur du panier des produits exportés par l'Afrique a ainsi perdu la moitié de sa valeur face aux produits importés du Nord. Conséquence logique de cette réalité : la balance commerciale africaine connaît un déficit croissant. La situation est particulièrement dramatique pour les pays d'Afrique subsaharienne : leur déficit commercial, inexistant au début des années 80, passe de 600 millions de dollars en 1990 à 11,5 milliards en 1996, soit presque vingt fois plus en six ans !
(...)
Les Accords de Marrakech (instituant l'OMC en 1994) n'ont d'ailleurs pas été non plus à l'avantage de l'Afrique : alors que le FMI lui déconseille les subsides, jugés dépenses déraisonnables pour l'équilibre de la balance commerciales, les pays riches du Nord subventionnent quant à eux allégrement leurs produits d'exportation (essentiellement les produits agricoles). Sous l'effet de ce dumping, les productions subventionnées du Nord envahissent les marchés africains au détriment des productions locales. Parallèlement, le Nord fait preuve de protectionnisme à l'égard des produits du Sud. Par exemple, les tarifs moyens imposées par le Nord sur les produits manufacturés importés du Sud restent quatre fois plus élevés que ceux imposés sur les produits venant d'autres pays du Nord. Par conséquent, les produits africains n'ont pas accès aux marchés protectionnistes du Nord, tandis que la mondialisation se limite en grande partie à des échanges Nord-Nord.
En clair, selon les plans du FMI, l'Afrique donne la priorité à l'exportation (...). Une telle politique a évidemment pour but de récolter les devises utiles au paiement de la dette sans les dépenser dans des politiques publiques. Mais vu que les prix des matières premières ne cessent de chuter, que les capitaux internationaux boudent l'Afrique et que les pays riches du Nord ferment leurs marchés aux produits manufacturés du Sud, une telle politique a comme conséquence de plonger le contient africain dans une pauvreté toujours plus accrue.
A cette aune, c'est le modèle de développement imposé à l'Afrique qu'il convient de remettre en question. Depuis le milieu des années 80 et les plans d'ajustement du FMI, l'économie africaine a en effet été progressivement extravertie au fur et à mesure que la pauvreté grandissait. S'il est vrai qu'une modernisation des infrastructures et une démocratisation des appareils d'État étaient nécessaires, les bouleversements imposés par le FMI ont en réalité abouti à une situation dramatiquement absurde. Alors qu'en France, par exemple, 75% de la production nationale est destinée au marché intérieur (les 25% restants étant destinés au commerce international), c'est l'inverse qui se produit en Afrique : les trois quarts de la production sont exportés et il ne reste plus que les miettes pour les populations locales. Il faut donc réfléchir aujourd'hui à un modèle de développement différent, accordant la priorité aux marchés intérieurs africains et au financement par la mobilisation de l'épargne africaine. Un modèle de développement permettant à l'Afrique, comme cela a été possible pour les pays riches du Nord, de d'abord solidement ancrer son économie sur le plan intérieur avant de s'ouvrir sur le monde."
ARMAND KAMBOU
SAN FRANCISCO
CALIFORNIA
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Axel M'Bita (
19/03/2005 21:34 )
À Barrie / Canada
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bonjour
monsieur kambou, j'ai pu lire avec grand enthousiasme les idees que vous defendez a propos de la mondialisation; je n'ai qu'un mot a dire vous maitriser surement le contexte economico-historique du probleme. toutefois, la mondialisation n'est pas un processus inevitable de l'histoire, une espece d'etape necessaire vers le progres; mais cela est un etape voulu et orchestrer. je n'ai personnellement rien contre l'emergence d'un marche planetaire, on fait ce marche existe deja: les etats etant libres de commercer avec qui ils veulent, sauf que l'institutionnalisation de la mondialisatioin est une tentative suspecte de controler l'economie mondiale, c'est cela qui est a craindre parce que cache une reel imperialisme economique, qui ne serait pas bon pour l'afrique qui voudrait aspirer vers plus d'autonomie et d'independance; et peut etre bientot prendre sa place parmi les plus grandes nations de ce monde. '" un soldat qui n'aspire pas a devenir general n'est pas un bon soldat". ceci etant, l'afrique devrait se battre pour se depetrer de toute tutelle deguises que ce soit, cela me parait paradoxale mais il serait facile de sa part d'en devenir independant vu son potentiel. de tous temps, les etats ont toujours aspirer a la suprematie seul les moyens pour les atteindre changent, si nous africains refusant de jour le jeu alors nous devenons automatiquement une piece dans l'echiquier( ce qui est presentement le cas) et non un joueur. le temps dans cette lutte pour notre propre liberte, notre survie ne perdant jamais la vue de nos propres interets et il est temps de laisser tombes ceux qui ne sont pas les notres. on l'occurence , la mondialisation n'est pas d'une priorite strategique pour l'afrique, alors adherer a quelques institutions qui echappe de notre controle total est toujours inutile. |
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Et la connaissance historique?... |
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03/03/2006 01:03 )
À Queijas / Portugal
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La cathédrale de Notre Dame à Paris (et des centaines d'autres cathédralles un peu partout dans l'Europe) a été construite au Moyen Age européen, bien avant les "découvertes" maritimes et de la "exploitation" des ressources africaines.
C'est a dire qu'il y avait déja des centaines et des milliers d'ingénieurs et architectes et ouvriers spécialisés - un peut partout dans l'Europe, avec des centaines de monastères avec des milliers de gens de travails - bien avant les "découvertes".
C'était l'exploitation des travailleurs européens qui a permis - et même obligé le système à l'expansion. |
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