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Retour à l'article: Patrick Lozes: les noirs en France
  Patrick Lozes: les noirs en France
[b Note de Grioo.com: Patrik Lozes] est le président du [a2 http://www.capdiv.org CAPDIV], le Cercle d'Action pour la Promotion de la Diversité en France, et a été [a2 info2055.html interviewé] par Grioo.com il y a plus d'un an, sous sa casquette de conseiller national UDF.
 
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Patrick Lozes: les noirs en France

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  Malaise et scandale
Aplogan ( 04/04/2005 12:35 )
À Drancy / France

Malaise et scandale

La pétition lancée vendredi à l'initiative du mouvement de jeunesse sioniste Hachomer Hatzaïr et de Radio Shalom et dénonçant des «ratonnades anti-Blancs» lors des récentes manifestations lycéennes crée un malaise. Dans la mesure où, aux côtés d'un millier de lycéens, sept personnalités du monde intellectuel et médiatique l’ont signée.

Ces sept personnalités bien connues ont sans doute une fin louable mais la fin ne peut justifier tous les moyens. On peut lutter contre certains excès et dérive sans tomber dans une surenchère de confusion. À coup sûr, la lépénisation des esprits gagne du terrain ; de l’humoriste Dieudonné au philosophe Alain Finkelkraut et ses cosignataires, cette triste réalité aborde la phase magique des incantations pseudo-intellectuelles sur fond de provocation décomplexée. Et la logique médiatique qui consiste à abuser des cautions par consensus frauduleux est inadmissible, d’un point de vue moral, pédagogique et épistémologique. En effet que des intellectuels ou personnalités politiques bien connus aient leurs mots à dire sur tel ou tel sujet de société est légitime ; mais que l’on fasse abus de notoriété dans une certaine confusion épistémologique pour prononcer des jugements douteux est indécent.

Le racisme fait l’objet d’une approche théorique plurielle. Il peut être appréhendé d’un point de vue sociologique, historique ou politique. Dans tous les cas, ce fléau ressortit d’une doctrine qui postule la corrélation entre les caractères biologiques de certains groupements humains et les qualités intellectuelles et morales qu’elle attribue à ces groupements. De plus c’est une doctrine qui affirme une inégalité des races et justifie en conséquence la domination de celles qu’elle prétend inférieures. Cette « valorisation généralisée et définitive de différences biologiques réelles ou imaginaires au profit de l’accusateur et au détriment de sa victime afin de justifier une agression », selon une formule de Memmi qui n’a pas perdu de sa pertinence, est une croyance au nom de laquelle certaines cultures ou groupes sociaux se trouvent soumis à l’exploitation économique, à la ségrégation, et même à la destruction physique. Le racisme est donc inséparable d’une situation de domination ou de rapport politique, national, économique ou idéologique. Derrière les actes de racisme en tant que tel, directement ou indirectement il y a une idéologie, des organisations, des intérêts structurés. Au risque de verser dans ce que Frantz Fanon dénonçait jadis comme manichéisme délirant, les comportements spontanés de haine fussent-il ciblés ne peuvent être assimilés automatiquement au racisme dans son acception théorique ou profane.

Mais en aucun cas, le racisme ne saurait rendre raison de tous les phénomènes sociaux. En vérité sociologique, les bastonnades lors des récentes manifestations de lycéens traduisent plutôt la prégnance dans l’esprit des jeunes de banlieue d’une culture de bande qui, confrontée à une certaine impasse sociale, se mue en raison d’être sociale. Cet imaginaire qui tourne en vase clos a tendance à percevoir la société dans son ensemble à travers le prisme déformant de la culture de bande, et la bande comme société à part entière. C’est une culture qui s’enracine dans l’incivilité et s’épanouit dans l’opposition agressive aux signes et représentants d’un ordre intériorisé à tort ou à raison comme dominant.
Or on ne peut pas trouver derrière les actes d’agression ciblée qui sont en cause des forces politiques ou idéologiques structurées encore moins des intérêts économiques à défendre ou à établir. Difficile d’imputer à un Etat noir, à une doctrine, une organisation ou à des intérêts noirs la bastonnade des lycéens dans les rues de Paris. Cette pétition est une mystification pseudo-intellectuelle d’inspiration politique qui ne fait que créer la confusion et envenimer un climat déjà tendu. Ses illustres signataires qui mettent en jeu sciemment leur notoriété dans une opération médiatique cousue de fil blanc pèchent par une confusion pour le moins intolérable. Une telle démarche qui procède par abus de caution est très regrettable dans la mesure où, partant d’un bon sentiment, elle se laisse obnubiler par des passions spécifiques, et procède par généralisation abusive en utilisant les armes funestes du mal qu’elle prétend combattre. En somme, il s’agit d’une pétition qui pêche par pétition de principe.
Nous sommes là sur la pente délirante d’une surdétermination du fait raciste. A l’instar des agresseurs de lycéens, les jeunes incendiaires de voitures, les petits revendeurs de drogues, les voleurs de super-marché, dans la mesure où ils sont stigmatisés peuvent être considérés comme inspirés par ce que nos pétitionnaires, avec une audace médiatique pour le moins troublante, qualifient de « racisme anti-Blancs. »
En cette matière, il est sain de raison garder. De revenir aux vraies valeurs de la République dont l’expérience à montré qu’on n’a jamais de bonnes raisons de s’en affranchir. Comme Ester Benbassa, nous pensons que cette démarche des pétitionnaires ne fait que renforcer la logique de compartimentation de la société française. Elle tend à faire du Juif, de l’Arabe, du Blanc et du Noir, autant de substances sociales parfaitement isolables et manipulables. Elle dissout le citoyen, l’arase, le nie. Cette invention insidieuse d’un dénominateur commun négatif par multiplication ethnique est dangereuse. Elle va à l’encontre de l’esprit d’unité citoyenne cher à la France, à son histoire, et à ses valeurs. Dans son inspiration comme dans ses moyens douteux, elle crée un malaise. Et là où le malaise fait scandale c’est qu’une telle démarche émane de gens qui jusque là étaient les porte-étendards de cet esprit cher à tous.

M Blaise APLOGAN est sociologue et écrivain
Auteur des Noces du Caméléon chez l’Harmattan
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Franck KOFFI ( 04/04/2005 17:27 )
À Dunkirk / France

J'aimerais rajouter ces quelques lignes à l'analyse de mr Aplogan. Elle est on ne peut plus pertinente et témoigne d'une approche méthodique et rigoureuse.
Je ne connais ni le mouvement de jeunesse ni la radio qui ont lancé la pétition en question mais je ne peux que relever l'idée qui y est sous-jacente. Je laisse les auteurs de cette fumisterie cerner les motivations qui sont les leurs dans l'escalade des appels à l'antiracisme qui sont pour beaucoup des manifestations sournoises du racisme. Il est de bon ton en ces moments d'antagonismes ethniques et identitaires réels ou supposés, mais néanmoins exacerbés par certains milieux intellectuels, reprenant la doctrine hutingtonienne du choc des civilisations, de sauter sur n'importe quel incident, quand bien même inacceptable, pour mieux enfoncer et battre en brèche l'idée qu'on se fait de la république et de ses valeurs. Ce qui est étonnant, c'est que ces pseudo-intellectuels n'attendent que ces malheureuses occasions pour se manifester, comme pour avoir du grain à moudre dans la purulence de motivations indéfinissables.
J'aimerais juste lever cette équivoque: mes problèmes à moi sont autres que l'appartenance ou non à une communauté. Ceci étant, c'est une lapalissade que de dire que dans cette France républicaine, on est avant tout catalogué par sa "couleur" ou ses origines "immigrées" ou non, et ceci, quelle que soit la place qu'on occupe dans la configuration sociale. Je voudrais rappeler que ces "sauvageons" dont on parle sont avant tout Français, ce qui veut dire que c'est d'abord la faillite de la république qui se voit là.
On a du mal à croire que les pétitionnaires n'aient pas idée de qui subit le racisme au quotidien. On nie les droits les plus élémentaires de tout un pan de la société tout en l'érigeant en épouvantail, en croquemitaine du vivre ensemble. C'est tout à fait commode, d'autant plus que l'exercice permet d'éviter les vrais problèmes et de détourner l'opinion des enjeux de société. Ces intellectuels prompts à s'émouvoir comme sur commande dans ce genre de situation ( peut-être d'ailleurs pour se faire voir et montrer qu'ils ont une certaine incidence sur le cours des événements), sont muets sur "le racisme ordinaire", banalisé, qui frappe ces populations dites commodément "d'origine immigrée".
A l'attention de nos jeunes frères de banlieue qui revendiquent ces actes inacceptables, manifestement crétins voire suicidaires, d'autant qu'ils répondent exactement au piège de la marginalité et de l'intolérance dans lequel ils se trouvent, et où on veut les mettre, on ne peut que leur souhaiter de réfléchir par deux fois quant aux conséquences de tels actes. D'où la nécessité de retrouver le chemin de l'éducation, seule issue possible permettant de s'affranchir aussi bien du ghetto que du mépris de certains intellectuels partisans.
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n ( 04/04/2005 20:12 )
À / Sweden

Bravo pour vos interventions qui me semblent pertinentes.
Quant à cet appel lancé par les mouvements "sionistes" sur un prétendu racisme généralisé des Noirs contre les Blancs, c'est du foutage de geule !!! même un enfant de six ans trouverait ces amalgames douteux. Il ne faut pas leur donner plus de crédit. ça va retomber comme un soufflé !!

Ils sont tellement médiocres. Inutile que l'on perde notre temps en s'y attardant.

J'ai dis à des amis Blancs, il paraît que les Noirs sont racistes envers les Blancs, il paraît qu'on vous déteste tous . Ils ont tout simplement ri. ça parait tellement gros. ça n'a aucun sens!

Stigmatiser toute une Population Noire à cause des actes d'invicilités de quelques ratés de banlieue , c'est faire preuve de mauvaise foi et de malhônneté intellectuelle.
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( 04/04/2005 22:26 )
À San Antonio / United States

"J'ai dis à des amis Blancs, il paraît que les Noirs sont racistes envers les Blancs, il paraît qu'on vous déteste tous . Ils ont tout simplement ri. ça parait tellement gros. ça n'a aucun sens! "

les noirs ne peuvent qu'aimer les blancs , ils sont gentils ses noirs

faut arreter ce genre de raccourci

pour toi ca doit pas exister des noirs qui n'aiment pas les blancs ni les arabes ni les juifs et qui preferent tout ca au noir.

pourkoi les noirs doivent toujours etre gentils avec les autres






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EGN ( 04/04/2005 23:03 )
À Bagnolet / France

Quelqu'un a dit, "ça retombera comme un souflé".

La tentative d'un mouvement sioniste pour constituer une sorte d'alliance "blanche" contre les Noirs
ne doit pas être considérée comme anecdotique car ces sionistes sont très intelligents même si cette intelligence est destinée à faire plus de mal que du bien. En effet, cette tentative vise uniquement à constituer en France, à l'opposé de la tradition assimilationniste de ce pays, tradition qui révulse d'ailleurs certains intervenants sur ce forum, un groupe paria constitué de Noirs français. Cela permettra en effet de détourner sur les Noirs, constitués ainsi en victime expiatoire, toute la colère de la population immigrée d'origine magrébine vis-à-vis des sionistes français, par rapport à la situation au proche-orient et à leur soutien inconditionnel à la politique israélienne. Cette tentative de constituer un groupe paria formés de Noirs français ne doit pas être prise à la légère, car il suffit qu'il y ait multiplication des actes identiques à ceux de ces voyous de banlieux pour braquer toutes les autres communautés ainsi entrainées par des esprits perfides dans le cloisonnement de la société farnçaise. C'est notre habituel optimisme, qui engendre souvent de la passivité, qui nous fait croire que ce genre de tentative est voué "naturellement" à l'échec.

En conclusion, il faut rester vigilants car les sionistes aimeraient détourner sur la population noire le ressentiment aussi bien des Magrébins que des Français mal dans leur peau par les temps qui courrent avec la crise et le chômage de masse.
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  Un pas en avant, deux pas en arrière ...
L.P. ( 05/04/2005 09:44 )
À Jouhe / France

Et à chaque fois ça recommence , l'histoire ne cesse de revenir et de se réécrire autant voir plus forte encore en déhumanisation ...
Et à chaque fois on manifeste en disant "plus jamais ça " mais finalement y en a toujours et y en aura toujours pour casser tout le travail et nous obliger à reprendre le flambeau encore chaud pour défendre les droits de chacun .
Je suis une femme de 42ans et blanche ...ça me gène presque de le dire car franchement je ne suis pas tous les jours fière de l'être .
Je n'ai aucun bagages intéllectuels mais je remercie mes parents de m'avoir inculqué l'essentiel de la vie et surtout le respect de toutes formes de vie sur terre.
A ma manière et avec mes moyens , je dénonce et aide les personnes qui sont victimes d'agressions racistes et toutes formes d'injustice .
C'est un vrai parcours du combattant mais la moindre petite satisfaction en retour vaut le coup.
Je continuerai à le faire car je constate tout comme vous tous que rien n'est jamais terminé bien au contraire qu' il faut se méfier du loup qui dort .
Merci à vous qui me lirez et cotinuons à nous parler pour avancer ensemble .
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  Prise de conscience
M'PKAMOU SAMO ( 05/04/2005 12:05 )
À / France

Pour que le noir soit reconnu en métropole et je dirai dans le monde, il faut qu'il apprenne à se sacrifier et surtout qu'il arrête de rêver. "Laisser le temps au temps" c'est la solution de facilité. Tout résultat égal fruit du sacrifice. L'homme noir est très individualiste, si on ne prend pas conscience on se paidra.
Le noir en occident doit se construire et ce n'est que comme ça qu'il arrivera à reconstruire l'Afrique noire.
Notre Afrique noire a besoin de la Diaspora, de ce fait la diaspora doit se réveiller en prenant conscience de sa responsabilité de constructeur et non de profiteur du système.
M'pkamou.
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  BLAISE APLOGAN
SHAKA ZULU ! ( 05/04/2005 13:53 )
À Boulogne-billancourt / France

M.,
Votre analyse est certes bonne, mais votre sociologie gardez la pour vous. Au nom de quoi-le parchemin certainement- associez-vous Dieudonné à Le Pen? Vous êtes tombé sur la tête. Se cacher derrière des mots savants pour expliquer une position n'est qu'une faiblesse. Où étiez-vous au moment des faits? Comme tous les autres, vous apparaissez comme si vous avez la panacée. Honte à vous pseudo-intellectuels Africains. Nous comprenons mieux les dictateurs qui se méfient de vous en Afrique. Vous n'êtez que des oiseaux de mauvais augures.

Cordialement !
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  Très texte de de M Blaise Aplogan
Kobatchegny ( 05/04/2005 18:09 )
À / Turkey

Je suis très touché par l'analyse de M APLOGAN. Il va falloir créer une association de veille ethnique. Cette association aura pour rôle de surveiller le faits et gestes des médias occidentaux, des politiques etc. Cette association ressemblera à une "VEILLE DU RACISME" dont nous sommes les victimes éternels, comme on le fait en veille technologique .
Car ne nous leurrons pas.
Il y a bel et bien une très grande hypocrisie parmi les intellectuels blancs français et occidentaux en général. On ne sait vraiment pas de quel coté ils sont.
N'est ce pas eux qui attisent les feux du racisme? N'est-ce pas eux qui tirent sur les ficelles de la haine raciale avec leurs sottes théories de la différenciation génotypique? N'est ce pas eux qui ont été et qui sont encore les théoriciens du racisme? de Gobineau à Voltaire, le soi disant esprit de lumière, Ah ce Voltaire hypocrite? Et aujourd'hui leurs descendants infâmes?
Si le dicton "Tel père tel fils" reste valable alors ne comptons pas sur les intellectuels blancs pour denouer nos problèmes.
Si l'intelligentsia blanche avait la bonne volonté de construire un monde sûr, elle l'aurait fait depuis longtemps. Mais a toujours pactiser avec le diable de la haine raciale.
Maintenant il faut que le Nègre soit un homme comme on le dit en Afrique. Qu'il ne fasse pas lui aussi cette langue de bois infame qui a toujours caractérisé les intellos blancs vis à vis du problème des Noirs.
Il faut arrêter de gémir de douleur comme si nous n'avions pas de couilles. Agissons. Et les jeunes suffoqués par le faix de la haine raciale ont voulu bien découdre avec cette société grangrénée le cancer du racisme.
Par le passé ceux des Noirs qui ont essayé d'agir ont tous été éliminés par les Blancs de Mratin Luther King à Malcom X en Amérique, à Patrice Lumumba, NKrumah, à Mandella qui seul échape belle à cette mort. C'est sur les conserils des inetellectuels blancs, les soi disant stratèges de l'horreur.
Alors communautarisme ou pas, notre communauté Noire se doit de prendre ses responsabilités les plus ultimes pour asseoir son autorité.
Si la communauté juive ou arabe avaient subi d'humiliation que la communauté des Nègres, je crois que le monde aurait déjà changé. Il y a par an plus de 350 films sur la shoa, mais rien sur les crimes de l'esclavage, puisque les Noirs sont toujours dans un état subalterne.
Quelques intellectuels Noirs, même de valeurs alimentent ça et là les chroniques des blancs-maîtres.
J'espère que M Blaise APLOGAN n'est pas des ceux de ces intellos Noirs de pacotilles qui préfèrent le Mc Do de leur oncle SAM, que de parler des problèmes de l'Afrique.
Le combat continue, frères Négros.
Votre cause n'est pas celle des Juifs, ni celle des Arabes. Ils pratiquent chez eux, au Maghreb et en Israel, le même style de racisme envers les Noirs que ceux qui pratiquent les Blancs occidentaux.
Soulignons qu'en Isreal les Falshas noirs éthiopiens sont toujours cantonnés dans de baraquements insalubres à l'abris de tout regard étranger.
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  SHAKA ZOULOU
( 06/04/2005 23:05 )
À Nantes / France

MONSIEUR LOZES EST TROP INTELLECTUEL POUR LA PLUPART D'ENTRE NOUS EPRIS D'INFORMATION ET DE CULTURE. EN CE QUI ME CONCERNE J'AI TROUVE SON INTERVENTION TRES REBARBATIVE. DE TOUTES LES FACONS IL MILITE DANS UN PARTI POLITIQUE QUI MEPRISE SON PEUPLE COMME LA GRANDE MAJORITE DES PARTIS POLITIQUE S FRANCAIS. DE CE FAIT IL N'INSPIRE PAS CONFIANCE. C'EST LE GENRE D'AFRICAIN "BOUNTY". QU'IL FASSE UN TOUR SUR LE SITE WWW.AFRICAMAAT.COM SUR LEQUEL DE GRANDS INTELLECTUELS AFRICAINS ET CARIBEENS VALORISENT NOTRE PEUPLE. SANS VOULOIR VOUS VEXER MONSIEUR LOZES VOTRE ANALYSE SUR LES AFRICAINS EN FRANCE MANQUE DE PROFONDEUR. MES SALUTATIONS.
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  je suis d'ak avec shaka!
Cmoi ( 07/04/2005 14:28 )
À / France


un homme qui a des interets personnels et qui les fait passer avant l'interet collectif comme bcp,d'autres ( sopo, kelman (+ou-), beyala, etc...) ne peut être objectif sur une réalité qui par malhonneté intellectuelle ou inconsciemment ( j'en doute) chercehe à tout prix à minimiser.
C'est le Cas de LOZES.

Ceci etant, les intêrets personnels ne sont pas forcement incompatibles avec l'intêret collectif si la somme des premiers vont dans le sens du second.
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  Il faut aussi faire notre Méa culpa!
Ctoi ( 07/04/2005 14:44 )
À / France


un noir ambitieux est une bonne chose. Mais qu'il n'oublie pas qui il est.
Je soutien tout ceux ( noirs) qui veulent reussir, peu importe le domaine, le secteur du moment que c'est en "positif " et qu'il ne renie pas sa 'race".

Encore faut t'il qu'on arrete d'être jaloux de la reussite de certains de nos frères . ( Ex. aller acheter chez les chinois ou les indous les produits exotique pour ne pas enrichir un noir comme nous).

(autre ex. acheter toujours à credit chez un frère par ce qu'on le connait , chose qu'on ne ferait pas ailleurs!).

Ayons plus de considération pour nous même et les autres en auront plus pour nous!
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  CE QUI DEPLAIT
MARIUSBEN ( 08/04/2005 14:13 )
À / France

Ce qui déplaît dans l'analyse de Blaise APLOGAN, intellectuel, c'est la facilité avec laquelle il met dans le même sac Dieudonné, Le Pen et Finkelkraut.
Si attaquer l'extremisme sionniste est un crime, alors Aplogan commet un crime en attaquant Le Pen, entre autres.
S'il estime qu'il en a le droit à cause des valeurs qu'il défend, alors pourquoi refuser à Dieudonné de s'en prendre à des extrémistes israeliens. Ou est son crime? Ou alors il y a des extremismes qui sont fréquentables et d'autres pas.
N'est-il pas normal de dire que l'humanité célèbre périodiquement le génocide des juifs mais que l'humanité n'en tire jamais les conséquences de cette atrocité. L'exemple pillule de génocides qui se perpétuent au quotidien depuis la fin de la deuxième mondiale; il y en a même qui sont perpétrés par ceux-là même dont les parents ont été les victimes de la barbarie de la deuxième guerre mondiale.... Ouvrons les yeux et voyons les choses en face.
Que ceux qui soutiennent ceux qui commettent des génocides des temps modernes comme au Proche Orient ou ailleurs s'en prennent à Dieudonné on peut comprendre; mais que des intellectuels africains ne fassent pas une analyse plus fine de la situation, en prenant du recul et de la hauteur, cela devient inquiétant. C'est vraiment extrèmement grave de mettre dans le même panier Dieudonné et Le Pen comme un soit disant philosophe l'a déjà fait.
Il n'y a aucune lépénisation de l'esprit avec Dieudonné. Ses déclarations ont un tel écho qu'on se demande pourquoi plainte n'est encore portée contre Finkelkraut qui se comporte comme un haineux et un véritable raciste.
Par ailleurs, il faut reconnaitre qu'aucun peuple dominé n'a retiré de privilèges au peuple dominant avec facilé. Il faut se battre et se battre... Nous n'avons pas à mener les mêmes combats avec ceux ont des privilèges et s'y accrochent en jetant à l'abattoir toutes les idées mettant en cause l'édifice (Babylone) et ses fondements.
Par ailleurs le reste de l'article présente un intérêt certain
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  Que de belles phrases et de belles paroles ...
L.P. ( 08/04/2005 17:21 )
À Jouhe / France

A vous lire , je me met à douter qu'un jour sera meilleur ...
On sent trop de réglements de comptes entre vous tous et ça me donne envie de fuir . Pourtant je suis sûre que nous avons les même préoccupation.
Alors cool ! ... cessez de vous donner des coups de pieds , vous n'êtes plus dans une court d'école .
TROP DE BLABLA RESSASSE ET TROP DE DISCOURS A REFAIRE LE MONDE NE FAIT PAS AVANCER CONCRETEMENT .
PAR-CONTRE DES ACTIONS MEME LES PLUS SIMPLES FONT PROGRESSER VERS UN MONDE MEILLEUR.

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  SHAKA ZULU
( 08/04/2005 18:03 )
À Nantes / France

POUR TON INFORMATION MON FRERE, LES NOIRS DE LA DIASPORA N'AIMENT PAS LES BLANCS. SAUF LES BOUNTY BIEN SUR. NOUS SOMMES ALLES A LEUR ECOLE. DEVANT EUX, ON JOUE LES HYPOCRITES. IL Y A DEPUIS UN MOMENT UN EVEIL DE LA CONSCIENCE NOIR. SI VOUS NE L'AVEZ PAS REMARQUE HE BIEN IL N'EST PAS TROP TARD POUR PRENDRE LE TRAIN EN MARCHE.
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  Shaka , mon frère noir !...
L.P. ( 09/04/2005 11:00 )
À Jouhe / France

Ta réflexion est petite et pleine de haine ...
Nous ne sommes pas là pour mesurer le quotient intélectuel de chacun mais essayer de vivre ensemble avec le savoir de chacun.
Ta soeur blanche te salue bien .
.
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  Chère L.P
Cmoi ( 09/04/2005 22:54 )
À Deuil-la-barre / France

Il faut de tout pour faire un monde
et SHAKA a aussi son role a jouer sur l'echiquier.
Dieudo et taubira n'ont pas les même statégie et pourtant les deux se complète.
Soeur blanche ne te sens pas obligée d'épouser notre cause pour faire "in" ou parce que ton copain est noir où tu as des copains noirs. Fais le parce que tu la touve juste , tu en as envi , sans arrière pensée et sans condescendance.

Tu sera la bienvenue.
Fais le parce que tu la trouve juste et tu as
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  Merci ! ...à toi ...
L.P. ( 09/04/2005 23:06 )
À Brugheas / France

Je ne savais pas qu'il fallait une autorisation pour entrer dans ce lieu .
Il n'y a qu'une seule chose qui me pousse à parler sur ce site , c'est la liberté de s'exprimer et rien d'autre .
sûrement pas , parce-que mon copain ou mes amis sont noirs .
La pitié n'a jamais aider quelqu'un ...........
Très bon we. à toi .....
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( 09/04/2005 23:10 )
À Créteil / France

on ne t'a jamais dit d'avoir pitié lol!
D'où tu viens perfide petite blanche.
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  Ce qui est évident aujourd'hui,c'est de se dire où l'éthique et l'humanité dans une situation si complexe et si trouble,dans cette tendance si salivant,si violant et si conflictuelle.
kopa ( 10/04/2005 01:36 )
À / Morocco

On écoutant le dicsour politique en france,on se croirait dans un compte de fée,mais cette douce FRANCE remet en cause les valeurs d'universalité,les valeurs humaines,éthiques et morales au profit d'une mesquinerie et d'un mensonge bat et caché,où est la réalité? il n'y a qu'à suivre les médias français et le discour caché de ses politiciens,et vous aurez la certitude que le vice et le racisme est le bien par excéllence de la douce FRANCE.
Le racisme fait l’objet d’une approche théorique plurielle. Il peut être appréhendé d’un point de vue sociologique, historique ou politique. Dans tous les cas, ce fléau ressortit d’une doctrine qui postule la corrélation entre les caractères biologiques de certains groupements humains et les qualités intellectuelles et morales qu’elle attribue à ces groupements. De plus c’est une doctrine qui affirme une inégalité des races et justifie en conséquence la domination de celles qu’elle prétend inférieures. Cette « valorisation généralisée et définitive de différences biologiques réelles ou imaginaires au profit de l’accusateur et au détriment de sa victime afin de justifier une agression », selon une formule de Memmi qui n’a pas perdu de sa pertinence, est une croyance au nom de laquelle certaines cultures ou groupes sociaux se trouvent soumis à l’exploitation économique, à la ségrégation, et même à la destruction physique. Le racisme est donc inséparable d’une situation de domination ou de rapport politique, national, économique ou idéologique. Derrière les actes de racisme en tant que tel, directement ou indirectement il y a une idéologie, des organisations, des intérêts structurés. Au risque de verser dans ce que Frantz Fanon dénonçait jadis comme manichéisme délirant, les comportements spontanés de haine fussent-il ciblés ne peuvent être assimilés automatiquement au racisme dans son acception théorique ou profane.

Mais en aucun cas, le racisme ne saurait rendre raison de tous les phénomènes sociaux. En vérité sociologique, les bastonnades lors des récentes manifestations de lycéens traduisent plutôt la prégnance dans l’esprit des jeunes de banlieue d’une culture de bande qui, confrontée à une certaine impasse sociale, se mue en raison d’être sociale. Cet imaginaire qui tourne en vase clos a tendance à percevoir la société dans son ensemble à travers le prisme déformant de la culture de bande, et la bande comme société à part entière. C’est une culture qui s’enracine dans l’incivilité et s’épanouit dans l’opposition agressive aux signes et représentants d’un ordre intériorisé à tort ou à raison comme dominant.
Or on ne peut pas trouver derrière les actes d’agression ciblée qui sont en cause des forces politiques ou idéologiques structurées encore moins des intérêts économiques à défendre ou à établir. Difficile d’imputer à un Etat noir, à une doctrine, une organisation ou à des intérêts noirs la bastonnade des lycéens dans les rues de Paris. Cette pétition est une mystification pseudo-intellectuelle d’inspiration politique qui ne fait que créer la confusion et envenimer un climat déjà tendu. Ses illustres signataires qui mettent en jeu sciemment leur notoriété dans une opération médiatique cousue de fil blanc pèchent par une confusion pour le moins intolérable. Une telle démarche qui procède par abus de caution est très regrettable dans la mesure où, partant d’un bon sentiment, elle se laisse obnubiler par des passions spécifiques, et procède par généralisation abusive en utilisant les armes funestes du mal qu’elle prétend combattre. En somme, il s’agit d’une pétition qui pêche par pétition de principe.
Nous sommes là sur la pente délirante d’une surdétermination du fait raciste. A l’instar des agresseurs de lycéens, les jeunes incendiaires de voitures, les petits revendeurs de drogues, les voleurs de super-marché, dans la mesure où ils sont stigmatisés peuvent être considérés comme inspirés par ce que nos pétitionnaires, avec une audace médiatique pour le moins troublante, qualifient de « racisme anti-Blancs. »
Revenir aux vraies valeurs de la République dont l’expérience à montré qu’on n’a jamais de bonnes raisons de s’en affranchir. Comme Ester Benbassa, nous pensons que cette démarche des pétitionnaires ne fait que renforcer la logique de compartimentation de la société française. Elle tend à faire du Juif, de l’Arabe, du Blanc et du Noir, autant de substances sociales parfaitement isolables et manipulables. Elle dissout le citoyen, l’arase, le nie. Cette invention insidieuse d’un dénominateur commun négatif par multiplication ethnique est dangereuse. Elle va à l’encontre de l’esprit d’unité citoyenne cher à la France, à son histoire, et à ses valeurs. Dans son inspiration comme dans ses moyens douteux, elle crée un malaise. Et là où le malaise fait scandale c’est qu’une telle démarche émane de gens qui jusque là étaient les porte-étendards de cet esprit cher à tous.
































































































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