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Trois ans après le "naufrage du Joola". |
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5
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Jambar |
(
26/09/2005 11:25 )
À Ridgefield Park / United States
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La plus grande catastrophe qu`ait jamais connue le Senegal independant. Elle porte l`entiere responsabilite de Wade qui a prefere embellir son avion a coup de milliards (18 milliards CFA) plutot que d`acheter un moteur a un prix modique (250 millions CFA) pour son peuple.
Rien que pour cela, Wade, ce vieux senile sera juge terriblement par le tribunal de l`histoire, en attendant sa sanction politique exemplaire par les Senegalais dans quelques mois (elections couplees ou non). |
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diow (
26/09/2005 17:35 )
À / Sweden
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presque 2000 morts
aucun demission ds le gouvernement du vieux crouton wade
aucun responsable
aucune condamnation
wade n'est qu'une pourriture de la franceafrik qui merite la peine de mort
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Jambar |
(
27/09/2005 07:54 )
À Ridgefield Park / United States
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Liberation de ce mardi deshabille Wade et met a nu ses intentions cachees.
Sénégal : Abdoulaye Wade élimine un rival encombrant
Le dauphin déchu du Président est accusé d'«atteinte à la sûreté de l'Etat».
Par Christophe AYAD et Marie-Laure JOSSELIN
mardi 27 septembre 2005 (Liberation - 06:00)
(à Dakar)
l est un pays au monde qui cumule les deux calamités du moment : des inondations dévastatrices, moins qu'en Louisiane mais tout de même, et une guerre au sommet de l'Etat, pire que celle entre Chirac et Sarkozy. Ça se passe au Sénégal, le fleuron démocratique de l'Afrique de l'Ouest. A priori les inondations et la guerre ouverte entre le président, Abdoulaye Wade, et son dauphin déchu, Idrissa Seck, n'ont rien à voir, mais rien ne tourne rond en ce moment au Sénégal...
Promesses. L'imbroglio politique d'abord. Depuis le 23 juillet, Idrissa Seck est incarcéré à la maison d'arrêt de Dakar. La disgrâce de Seck, qui est le plus brillant des «élèves» de maître Wade, remonte à février 2004, lorsque l'ex-Premier ministre a été limogé sans préavis. Le différend n'a rien d'idéologique : c'est l'histoire classique de l'héritier qui s'émancipe trop vite et pousse le «vieux» vers la sortie. Chauffé par son entourage et de plus en plus autoritaire, Wade, 79 ans, prend ombrage des ambitions affichées par Seck, 45 ans. Lorsque «Idi» annonce au printemps son intention de quitter le Parti démocratique sénégalais (PDS, droite libérale au pouvoir) s'il n'est pas désigné tête de liste pour les législatives de 2006, c'en est trop. A l'approche du scrutin, Wade est au plus bas : la population, déçue, n'a pas vu se matérialiser les promesses de sopi (changement, en wolof, la langue nationale). Wade voit donc se dessiner une vaste coalition d'opposants et le spectre d'une cohabitation jusqu'à la fin de son mandat en 2007.
Mi-juillet, Idrissa Seck franchit la ligne rouge : lors d'une conférence de presse, il menace de tout déballer sur le régime. Après une semaine de garde à vue, il est placé sous mandat de dépôt et incarcéré pour «graves irrégularités dans le processus de conclusion de marchés publics» à Thiès, la ville dont il est l'indéboulonnable maire. Puis une autre inculpation tombe pour «atteinte à la défense nationale et la sûreté de l'Etat». L'ex-Premier ministre est mis en accusation devant la Haute Cour de justice, une juridiction parlementaire seule habilitée à juger des membres du gouvernement.
Selon Sidiki Kaba, avocat d'Idrissa Seck et président de la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH), ce procès est «une cabale destinée à orchestrer sa liquidation politique. Il est poursuivi pour un crime d'ambition». La preuve ? Dans son rapport, l'Inspection générale d'Etat (IGE) avait conclu que la responsabilité des détournements était partagée avec le ministre de la Construction et de l'Habitat, son homologue de l'Economie et des Finances, et celui du Budget. Seul le premier est sous les verrous, tous les autres sont restés en poste. Pour l'universitaire Ibrahima Thioub, observateur de la vie politique sénégalaise, «Idrissa Seck a affiché trop tôt ses ambitions. Les factions qui entourent le Président ont visé celui qui semblait le plus dangereux.»
Nouveau rebondissement, le 28 août, Wade intervient en direct au journal télévisé pour annoncer le report d'un an des législatives de 2006. Rusé, le Président propose d'allouer les 7 milliards de francs CFA (10,5 millions d'euros) prévus pour l'organisation du scrutin au relogement des populations sinistrées par les récentes inondations qui ont frappé le Sénégal. En couplant législatives et présidentielle en 2007, Wade fait coup double : il évite une possible cohabitation et dispose d'un an de plus pour réorganiser son camp.
Sinistrés. Face à la levée de boucliers de l'opposition, le président sénégalais décide, mi-septembre, de suspendre son projet de couplage, sans y renoncer pour autant. Ces «tripatouillages» domestiques n'ont pour l'instant pas affecté la cote internationale d'Abdoulaye Wade, qui accorde un soin maladif à son image à l'étranger : le 13 septembre dernier, il a été choisi par un jury présidé par Henry Kissinger pour recevoir le prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix. Dans les jours qui ont suivi, Wade a décidé d'offrir 100 000 dollars d'aide aux populations du sud des Etats-Unis affectées par Katrina. Les sinistrés de Dakar apprécieront...
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27/09/2005 14:28 )
À / France
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Jambar tu nous inondes avec tes messages pro-idrissa. j'ai l'impression que tu es payé pour faire le tour de sites. Içi on réflechit, on ne fait pas de copié collé.
merçi |
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Rien n'a vraiment changé depuis |
Marine (
29/09/2005 16:06 )
À Médina / Senegal
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C'est qui est vraimetn triste!!!!
L'Etat n'a même pas mis en place des dispostifs pour changer les mentalités et les comportements afin d' éviter que ce genre de catastrophe se renouvelle.
Au lieu de parler du Wilis (ou de l'avion inaccessible à tous) qui va coûter cher, inutilement, pourquoi ne pas ENFIN réhabiliter les infrastructures reliant la capitale aux régions Sud/Sud-Est. Ce sera, au moins, un investissement rentable pour TOUS, dans le temps!!!!
Ah les projets et idées du vieux.... ça n'aide vraimetn pas le Sénégal et les sénégalais. C'est vrai qu'il y a peu de chance qu'il reste avec tout ce qui s'est passé depuis qu'il est au pouvoir. |
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