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Alliot-Marie suspend un ancien commandant des forces Licorne |
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Encore une mascarade |
Ambroise (
18/10/2005 10:01 )
À Courbevoie / France
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l armée francaise qui à tuée des ivoiriens au mains viens se justifier vai une comedie de macarade soit disant on aurait couverte le meutre d un ivoirien et les milliers de mort devant l hotel ivoire,mais dieux ne dort pas et l histoire va vous rattrapper lorsqu'il s agit de parler des americains vous etes les premiers mais helas quand c est votre pays de merde on attends rien... |
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out of africa french army!! |
fab (
18/10/2005 11:16 )
À Amiens / France
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Je suis comme Khaddaffi mais que fais l'armée française en RCI? |
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recadrage |
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18/10/2005 13:11 )
À Voiron / France
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Le problème n'est pas de savoir ce qu'illustre la photoou quel est l'industriel qui produit les casques, mais bien plutôt de constatre que l'Afrique est encore considéré à trés haut niveau, général 4 étoiles svp comme une terre d'aventure où tout est permis, y compris l'homicide.
C'est loin d'être valorisant pour les élites françaises et ça fait prendre conscience que l'on peut être ici aussi minable que cette administration américaine qu'on critique tant. |
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18/10/2005 13:34 )
À Canéjan / France
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Le général Henri Poncet débarqué par Michèle Alliot-Marie
Disgrâce - L’ex-patron de la force Licorne, réaffecté depuis juin 2005 en France, n’est plus en odeur de sainteté avec ses supérieurs hiérarchiques. Poncet paie pour n’avoir pas pu renverser le président ivoirien Laurent Gbagbo, en novembre 2004.
Les événements de l’hôtel Ivoire, au cours desquels l’armée française stationnée en Côte d’Ivoire a tué environ 70 patriotes aux mains nues et fait plus de 2000 blessés dans les rangs des résistants ivoiriens en novembre 2004, continuent de faire des vagues en France. En effet, le président français Jacques Chirac et son âme damnée dans la crise ivoirienne, Michèle Alliot-Marie, n’ont jamais pardonné au général Henri Poncet, ex-commandant de la force Licorne en Côte d’Ivoire, d’avoir manqué de «déposer» le président Laurent Gabgbo. La preuve, le ministre français de la Défense vient de débarquer l’ancien patron du Commandement des opérations spéciales (COS) de ses nouvelles fonctions de commandant de la région militaire «Terre Sud-Ouest», basée à Bordeaux. Officiellement, le général Henri Poncet a été suspendu pour «manquements graves à la loi, aux règlements militaires et aux ordres», a précisé Jean-François Bureau, porte parole du ministre de la défense. Selon l’Agence France Presse, Poncet est soupçonné d'avoir «couvert le décès d'un Ivoirien appréhendé par des militaires français», le 17 mai à Abidjan. Mais pour qui sait lire dans le marc de café ivoirien, ces raisons ne sont que de la poudre aux yeux. Car Poncet est limogé avec le colonel Burgaud, chef de corps, et un sous-officier qui faisaient partie du dispositif Licorne en Côte d'Ivoire, pour leur gestion approximative des événements de novembre 2004.
Précédé d’une solide réputation d’ «homme des missions kamikaze», celui qui a planifié et mis à exécution le génocide rwandais, qui a fait près d’un million de morts de Tutsi, débarque en Côte d’Ivoire en mai 2004, à la tête le l’opération Licorne, forte de plus de 4000 hommes. Le général de division française Henri Poncet reçoit alors un ordre de mission – officieux – clair, sans ambages, de ses commanditaires Jacques Chirac et Alliot-Marie : «chasser Gbagbo du pouvoir par tous les moyens.» Six mois plus tard, un déluge de feu s’abat sur la Côte d’Ivoire. Pendant quatre jours (les 6, 7, 8 et 9 novembre 2004), l’armée française détruit toute la flotte militaire des Forces de défense et de sécurité ivoiriennes, s’empare des points stratégiques de la ville d’Abidjan (aéroport-port- les deux ponts…), tente de prendre la radio et la télé, mitraille les résidences du chef de l’Etat ivoirien à Abidjan et à Yamoussoukro, et positionne une centaine de chars à l’hôtel Ivoire, à 700 mètres de la résidence du président Laurent Gbagbo. Malgré toute cette armada déployée par le général Poncet, qui recevait directement ses ordres de Paris (Chirac et Alliot-Marie lui téléphonaient régulièrement), Laurent Gbagbo demeure au pouvoir. Pis, toute la communauté internationale découvre à travers cette «guerre directe», que c’est la France qui a monté de toutes pièces la rébellion armée qui endeuille la Côte d’Ivoire et coupe le pays en deux, depuis le 19 septembre 2002.
Chirac en veut à Poncet parce que par sa faute, la France a perdu la gestion unilatérale du dossier ivoirien – signature de l’Accord inique de Linas-Marcoussis, qui fait des rebelles aux mains dégoulinant de sang des ministres de la République – au profit de l’Union africaine et des Nations unies.
Anassé Anassé - 2anass@voila.fr
http://www.lecourrierdabidjan.info/a_la_une.asp?id=9068
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ne prenez pas les africains pour des idiots |
africaine (
18/10/2005 15:57 )
À / Satellite Provider
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Magnifique la reflexion de mon prédecesseur,le général a été débarqué uniquement parcequ'il n"a pas rempli sa mission:DEBARQUER BAGBO,mais l'afrique n'est plus la chasse gardée,et la france a perdu la cote d'ivoire,le cameroun,il ne lui reste que le gabon,car si Wade est complaisant,les sénégalais ne se laissent pas faire |
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La France renforce son armée en Côte d'Ivoire (
18/10/2005 21:49 )
À / France
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source : www.africamaat.com
La France envoie des armes de guerre en Côte d’Ivoire..
EN CÔTE-D’IVOIRE COMME EN AFGHANISTAN, LA SITUATION SE TEND POUR L’ARMÉE FRANÇAISE. SELON NOS INFORMATIONS, L’ÉTAT-MAJOR VIENT AINSI D’ENVOYER DES BLINDÉS EN CÔTE-D’IVOIRE.
Journal Libération
Des blindés français à Abidjan
C’est la première fois que de tels engins sont engagés en Afrique.
par Jean-Dominique MERCHET - lundi 17 octobre 2005
En Côte-d’Ivoire comme en Afghanistan, la situation se tend pour l’armée française. Selon nos informations, l’état-major vient ainsi d’envoyer des blindés en Côte-d’Ivoire.
Il s’agit de neuf AMX10P, un véhicule sur chenilles de 15 tonnes. Appartenant au 16e bataillon de chasseurs, ces blindés, armés d’un canon de 20 mm, seront stationnés à Abidjan. C’est la première fois que des engins de ce type sont engagés en Afrique où, jusqu’ici, les véhicules à roues suffisaient.
Conçu pour la guerre de haute intensité en Europe, l’AMX10P sert à transporter des fantassins. « Ils nous permettront de nous affranchir plus facilement des routes », explique un officier supérieur. Mieux protégé que les traditionnels VAB (véhicules de l’avant blindé), l’AMX10P permettra d’affronter des situations militairement plus tendues, en particulier dans les rues de la capitale. « A cause du manque de protection, il y a des endroits et des moments où nous ne risquions pas nos véhicules et nos hommes », affirme un autre officier. Depuis le début de l’opération Licorne, en 2002, des militaires français avaient souhaité à plusieurs reprises mais toujours en vain l’envoi de chars Leclerc en Côte-d’Ivoire.
De retour d’une visite sur le terrain, le général Henri Bentégeat, chef d’état-major, peut constater que « la situation s’est paradoxalement détendue depuis que l’Union africaine a décidé que le président Gbagbo resterait en fonctions » plus longtemps que prévu. L’envoi des AMX10P montre que l’optimisme ne règne pas vraiment dans les armées quant à l’évolution de la situation en Côte-d’Ivoire.
Même inquiétude concernant l’Afghanistan, en particulier la région de Spin Boldak (sud-est), où sont engagés 200 hommes des forces spéciales (opération Arès). La situation est « extrêmement tendue » du fait des groupes armés talibans qui maintiennent une activité « très soutenue », vient d’expliquer le général Bentégeat aux députés de la Commission de la défense. Le risque principal provient de pièges et de mines, dont un caporal-chef a été victime en septembre. Plus récemment, l’aviation française a dû intervenir à la bombe et au canon contre une position ennemie.
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Alliot-Marie doit démissioner: Drôle d'armée! |
Tundanonga (
18/10/2005 22:26 )
À Berlin / Germany
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Alliot-Marie doit démissioner. Dans une démocratie, comme nous la voulons en Afrique (Démocratie made in Africa), Alliot-Marie doit démissioner: la responsabilité politique du ministre de tutelle. Pour qui prend-elle l'opinio publique africaine? Qui a oublié ces insultes, ses injures et son arrogance mal placée envers les forces armées ivoiriennes, la gendarmerie ivoirienne, la police ivoirienne, les Patriotes et toute la population ivoirienne, bref envers toute l'Afrique? Elle carracolait comme une chatte en chaleur devant tout microphone, toute caméra pour venter l'honneur de la drôle d'armée. Cette dame qui se sent mal dans sa peau de femme (voir comment elle marche, son port, depuis qu'elle est ministre de la défense française), avait mis en doute la parole des officiers ivoiriens, dénigré leurs rapports, parce qu'ils étaient de Noirs et Africains.
La France a besoin de l'Afrique pour l'honneur de son armée. A Kolwezi, c'était le capitaine Mayele (futur général Mayele) qui avait sauté sur Kolwezi (RD COngo). La l0gion et les paras français avaient atteri sur l'aéroport de Kolwezi comme de scouts et assassiné de centaines de civils, sous pretexte que c'était des insurgés, alors que ces derniers avaient regangé l'Angola, depuis longtemps. Combien d'officiers avaient été décoré, après avoir cassé du Négro? Un tas. Mais qui restituera à la Côte d'Ivoire sa force aérienne? Qui dédomagera la Côte d'Ivoire? Un général qui attaque des objectifs civils d'intérête commun qui reçoit une 4e étoile et une déco, mais dans une armée de parade, cela reste une curiosité. Alpha Blondy avait dit: Armée française, allez-vous en. On ne veut plus de vous en Afrique!
Pour avoir cassé du Négro ivoirien, un général gagne sa 4e étoile et une décoration des mains de Chirac 1er! Drôle d'armée, cette armée française. L ridicule ne tue pas, car s'il tuait, Chirac 1er, Alliot-Marie et Poncet rongeraient les radis par les racines.
Cette affaire doit donner matière à reflexion à tous ces Ivoiriens au service de Blaise Camparé et de la France. Les Ivoiriens cassent de l'Ivoirien: c'est le monde à l'envers.
Tundanonga |
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makitu (
19/10/2005 01:57 )
À Béthune / France
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Nous les negres ,personne ne nous aime même nos autorités ne font aucune attention à nous ,pour comprendre: les evenements de paris et ceux des immigrés tuaient par la police m et espagnole nous montrent à quel point ils sont laches.Vous les intellectuels ,vous etes nos lumieres n'hesiter jamais à denoncer les maux dont nous sommes victimes et vous devez savoir: la peur n'evite pas le danger .Le chien attaque toujourr celui qui a peur ne faitent pas confiance à nos presidents de la honte. |
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Hugues (
19/10/2005 11:36 )
À / France
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Raz le bol de payer des impôts pour engraisser ces militaires idiots, malhonnêtes et racistes. L'armée française doit quitter la Côte d'Ivoire et fermer toutes ses bases en Afrique. |
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Tant va l'eau à la cruche ... |
Kamatari (
19/10/2005 12:32 )
À Verviers / Belgium
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Autant dire qu'il y a du rififi dans l'air des affaires francafriques. On aboutit à l'histoire du serpent qui se mort la queue sans faire de jeux de mots.
Keskeuseksa? Un général français qui se fait débarquer sec par ses autorités, c'est rare même en temps de guerre. Qu'a-t-il bien dû faire? L'explication d'un intervenant ci-avant semble plausible dans un monde mafieux et où l'échec d'un acteur est quasi mortel car, cela va de soi, il n'y a aucun droit à l'erreur.
Le génocide perpétré par la France au Rwanda n'a pas fini de faire des vagues tant en Afrique surtout que même en Europe. Il est évident que le Danemark, pour ne citer qu'une nation de l'Union européenne, ne pourra continuer de faire semblant d'ignorer l'ignominie de la France en Afrique et surtout ce qui s'est passé au Rwanda, au Burundi et au Congo voisin.
Les actes de la France, surtout underground, en Afrique sont dignes d'une nation fasciste teintée fortement d'une criminalité de mafia. Les pays africains doivent demander des comptes aux autres pays de l'UE pour leur caution accordée à cette drôle de France pseudo démocratique et libérale. |
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Erratum sur le dernier § |
Kamatari (
19/10/2005 12:35 )
À Verviers / Belgium
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pour leur caution accordée à cette drôle de France pseudo démocratique et qui se veut soi-disant libérale. |
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19/10/2005 15:53 )
À Bergerac / France
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Le général Henri Poncet humilié :
les vraies raisons d’un sacrifice
Décryptage –
Effrayés par les développements judiciaires autour des événements de novembre 2004, qui pourraient les éclabousser très salement, Alliot-Marie et Chirac ont trouvé le bouc émissaire idéal.
La France militaire est secouée. La suspension du général français Henri Poncet est d’ores et déjà surmédiatisée dans son pays, et suscite de nombreuses interrogations. De manière générale, personne ne croit à la version officielle donnée par Michèle Alliot-Marie, jugeant la sanction «disproportionnée» par rapport à la faute évoquée, d’autant plus que le meurtre en question s’est déroulé dans la zone de confiance, loin du 43ème BIMA, ce qui rend difficile l’établissement d’une chaîne de responsabilité en dehors de toute information judiciaire – la procédure expéditive rappelle celle qui a amené Jacques Chirac à ordonner, sans la moindre enquête, la destruction de la totalité de la flotte aérienne ivoirienne…
Par ailleurs, la sévérité de la sanction contraste avec le laxisme de la justice militaire française qui a libéré – par erreur ! – deux des soldats impliqués dans le cambriolage des agences de la BCEAO à Bouaké et à Man.
Le motif officiel de la suspension du général Poncet est donc un prétexte. Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage. A l’analyse, le général Poncet – à qui la Chiraquie n’a jamais pardonné son incapacité à renverser Laurent Gbagbo – est l’agneau du sacrifice. Au-delà de l’affaire «Mahé», il doit payer pour tout le monde l’expédition désastreuse de novembre 2004.
Il est en effet impossible de dissocier la récente mésaventure du général Poncet de l’avancée des enquêtes, tant françaises qu’ivoiriennes, sur les événements de novembre 2004. L’autorisation par la justice française de l’ouverture des dossiers secret-défense sur ces événements ainsi que les analyses balistiques poussées des experts sud-africains ont convaincu Chirac et Alliot-Marie que la posture globale dans laquelle ils se trouvaient – «nos soldats n’ont fait que leur travail de légitime défense et n’ont utilisé que des armes non létales» – n’était pas longtemps tenable, en raison de la multiplication des preuves accablantes.
Avant les scandales à venir, Chirac et Alliot-Marie prennent visiblement leurs précautions en criminalisant par anticipation le général Poncet et en préparant l’opinion à ne retenir que sa seule culpabilité. S’il a pu couvrir un officier et un sous-officier coupables de meurtres, donc mentir à sa hiérarchie, il a bien pu couvrir la réalité des tueries de l’Ivoire, des ponts ou des corridors.
Cette explication se justifie par une sorte de campagne qui ne dit pas son nom et qui est portée par un «spécialiste» de la région, Charles Maisonneuve, qui a donné une interview sur le site Internet du quotidien Libération. Interrogé sur la possibilité d’un règlement de comptes contre Poncet, il répond : «Ce qui est sûr, c'est qu'il ne laisse personne indifférent au sein de l'institution. Cet homme est adulé par les uns qui se feraient tuer pour lui et haï par les autres qui feraient tout pour le faire chuter. Poncet a un goût maladif pour le secret, sans doute lié à son passé au sein des forces spéciales. Aujourd'hui, il paie peut-être sa volonté de couvrir à tout prix, et jusqu'au bout, ses hommes.» Un militaire habitué aux marges, désireux de cacher des choses à sa hiérarchie ? Le profil parfait de celui sur qui on veut faire reposer la responsabilité exclusive des crimes commis ensemble. Alliot-Marie aurait sans doute pu attaquer directement Poncet sur les événements de novembre. Mais sa posture aurait été plus difficile. Les choses auraient été abordées de manière frontale, et l’opinion aurait noté avec insistance que c’est Jacques Chirac lui-même qui a ordonné la destruction des moyens aériens ivoiriens, cet ordre impliquant lui-même des conséquences difficiles à ignorer. Faire déchoir le général sur un sujet impossible à relier au chef d’état-major, à la ministre et au président ; puis jouer sur la réputation ainsi taillée pour faire accroire, le moment donné, que les tirs tendus de l’Ivoire font partie des dégâts d’un officier incontrôlable et qui n’a même pas eu le bon goût d’avouer ses forfaits à ses patrons, lesquels ont menti par ignorance dans les médias grand public : telle semble être la stratégie de «Supermenteur» (Jacques Chirac) et de «Mensonges après Mensonges» (Michèle Alliot-Marie).
Théophile Kouamouo
http://lecourrierdabidjan.info/a_la_une.asp?id=9084
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Hélène (
20/10/2005 12:43 )
À Saverne / France
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Et madame Gbagdo, n'est-elle par commandant en chef des Escadrons de la mort qui sèment aussi la terreur parmi les opposants ?
Que fait-on d'elle ? |
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20/10/2005 16:53 )
À Cestas / France
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Quelque chose de pourri dans la Chiraquie
Scandale – Au-delà des cris d’orfraie poussés par la presse française, le vrai scandale qui risque d’emporter Alliot-Marie et Jacques Chirac (qui veulent sacrifier Poncet pour leur survie politique) est la soustraction aux yeux de la justice française des indices pouvant faire avancer l’enquête. Les auditions des assistants techniques de l’armée ivoirienne sont censurées ; Bentégeat ment sur les boîtes noires des Sukhoï…
«Le Courrier d’Abidjan» l’a affirmé dès que l’information de la suspension du général Henri Poncet a été rendue publique. Au-delà de «l’affaire Mahé», les représailles de Michèle Alliot-Marie et de Jacques Chirac contre l’ancien patron de Licorne, étaient directement et exclusivement liées aux événements de novembre 2004. Les choses sont devenues plus claires depuis hier : deux jours après l’annonce qui a fait trembler la «Grande muette», le dossier est exhumé par le quotidien Le Monde, historiquement très compréhensif vis-à-vis de la «raison d’Etat».
Dans un article catégorique, le quotidien affirme que «l’enquête française désigne le pouvoir ivoirien». Il suffit pourtant de lire l’article en question et de faire un certain nombre de recoupements sur le terrain ivoirien pour se rendre compte que la déclassification des documents secret-défense ainsi que la présence actuelle en France d’Ange Kessy, procureur militaire ivoirien, menacent plutôt l’exécutif français.
En effet, le dossier à charge de la juge Raynaud est prodigieusement vide. A part les rumeurs malveillantes de la rue Saint-Germain, où se situe l’état-major français, elle n’apporte rien de nouveau. Selon elle, la preuve qui atteste de manière absolue que le «bombardement» de Bouaké a été directement ordonné par le pouvoir ivoirien, c’est… une note de la Direction du renseignement militaire (DRM), structure de renseignement directement sous les ordres d’Alliot-Marie. Laquelle affirme, sur la base du tableau d’avancement de l’armée ivoirienne, que l’armée «accorde notamment une promotion aux pilotes soupçonnés d'avoir bombardé les emprises de la force Licorne, le 6 novembre 2004 à Bouaké». «Sont ainsi promus par le président ivoirien Laurent Gbagbo le lieutenant-colonel Oueï, ainsi que deux pilotes, les lieutenants Gnanduillet et Degri Akpali. Selon la DRM, ces officiers seraient les «seuls à avoir bénéficié d'une promotion au mérite. (...) Cet avancement n'est pas dénué d'ambiguïté et apparaît comme une récompense pour services rendus»», écrit Le Monde, qui affirme pourtant par ailleurs que le lieutenant-colonel Oueï (aujourd’hui colonel) a été «noté très au-dessus de la moyenne» pendant ses années de formation en France.
A part ce jugement de valeur émis par les services secrets, la juge Raynaud n’a rien. Elle n’a rien parce que Michèle Alliot-Marie, ministre française de la Défense, a une fois de plus menti. Le 4 octobre, le ministère de la défense a indiqué que "Michèle Alliot-Marie – avait – décidé de suivre l'avis de la commission consultative du secret de la défense nationale et de procéder à la déclassification des documents en rapport" avec le bombardement de Bouaké. Il n’en est rien. Selon Le Monde, elle a décidé de censurer une partie du dossier ivoirien figurant dans les archives militaires. Dans le courrier qu'elle a fait parvenir à la juge Raynaud, le 4 octobre, la ministre écrit ceci : «Je vous informe que la commission consultative du secret de la défense nationale a rendu un avis favorable à la déclassification partielle des informations sollicitées et que j'ai décidé de suivre cet avis. J'estime toutefois opportun de ne pas déclassifier deux extraits du document nº135 du 5 novembre 2004, page 2 avant-dernier paragraphe, page 3 dernier paragraphe, après "ville" ainsi que la page 4 intégralement, tous éléments fondés sur des rumeurs faisant état de faits sans liens avec votre saisine.»
Derrière le brouhaha phénoménal orchestré par les médias français à la solde du pouvoir, c’est plutôt ce «charcutage» du dossier secret-défense, ce refus sournois de se soumettre aux recommandations de la commission consultative du secret de la défense nationale (CCSDN), qui avait demandé la déclassification d’un certain nombre d’éléments du dossier – contrairement à une tradition française qui veut que cette commission soit toujours suivie par les politiques, et ce depuis sa création en 1998. «Entre le "tri" effectué par la CCSDN et celui du ministère de la défense, les rapports, notes et fiches déclassifiés et versés à la procédure ont été largement amputés. De fait, une bonne partie des documents transmis à la juge Raynaud sont constitués de feuilles blanches barrées d'une ligne noire, ce qui confère au dossier une aura de mystère supplémentaire», est obligé de reconnaître Le Monde. Il y a en tout cas quelque chose de sidérant à voir la Chiraquie critiquer en Poncet le «goût immodéré du secret» alors qu’elle-même fait disparaître les preuves nécessaires à la manifestation de la vérité sur la mort de plusieurs ressortissants français…
Les auditions des assistants techniques de l’armée ivoirienne ont disparu
En plus, la «censure» d’Alliot-Marie est d’autant plus scandaleuse qu’elle touche le cœur du dossier. La France officielle a toujours accusé des assistants techniques de l’armée ivoirienne, originaires de Biélorussie, d’avoir été les mains ouvrières du bombardement de Bouaké. C’est pour cette raison qu’en occupant par la force l’aéroport d’Abidjan, la France a arrêté, de manière tout à fait illégale et à grand renfort de publicité, 15 assistants techniques originaires d’Europe de l’Est – Biélorussie, Ukraine, Russie. Elle les a gardés pendant quatre jours, les a photographiés, les a interrogés avant de les remettre au Consulat de Russie par l’intermédiaire de la Croix-Rouge (au nom de quoi ?). Qu’ont donc dit ces «mercenaires» aux enquêteurs de Licorne ? Ont-ils avoué ? Ont-ils accusé le pouvoir ivoirien de leur avoir donné un ordre ? Impossible de le savoir : Michèle Alliot-Marie a décidé de soustraire leurs dépositions des regards de la juge Reynaud. L’armée française ment une fois de plus en disant qu’elle n’avait pas mandat pour interroger les «mercenaires» (avait-elle mandat pour les arrêter, en plus loin du théâtre des opérations ?). Mais les avocats des parties civiles, qui ont eu le dossier amputé, commencent à gronder, comme l’indique une dépêche de l’agence américaine Associated Press. «Le 9 novembre 2004, soit pendant la rétention des mercenaires, la ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie affirme que cette attaque résulte d'une action "délibérée des pilotes des chasseurs, dont on sait qu'ils sont des mercenaires biélorusses". Au vu des déclarations de la ministre et de certains documents déclassifiées, les parties civiles se demandent si les mercenaires biélorusses - pilotes des deux Soukhoï - dont fait état Mme Alliot-Marie ne se trouvaient pas parmi les quinze mercenaires arrêtés par l'armée française le 7 novembre.
Parmi les documents en possession de la juge, figure une planche photographique des mercenaires suivie d'une dizaine de feuillets dont la levée du secret-défense a été refusée. Les feuillets pourraient correspondre à l'audition des mercenaires lors de leur rétention à Abidjan, estime Me Jean Balan, l'un des avocats de la partie civile». De bonne foi, cet avocat pense que cette censure vise à protéger les autorités ivoiriennes. "La raison d'Etat ne peut être que compatible avec la recherche de la vérité", assure-t-il. "Si ces quinze mercenaires devaient être mis en examen, ils risquent de désigner les donneurs d'ordre qui ne peuvent venir que de la plus haute autorité ivoirienne et cela ne peut qu'embarrasser le gouvernement français"». Les autorités françaises, qui accusent à cor et à cri le président ivoirien d’avoir ordonné l’attaque du camp français de Bouaké, ne peuvent pas, logiquement, le «couvrir» dans le même temps. Ce sont ceux qui cachent les dépositions des assistants techniques qui pourraient, en réalité, être «désignés» par les éléments qu’ils dissimulent à la justice et aux familles des victimes…
Boîte noire des Sukhoï : les graves mensonges de Bentégeat
Où sont donc passées les boîtes noires des deux Sukhoï qui, prétend-on, auraient détruit le camp français à l’aide «d’au moins cinq» roquettes (selon le reporter de France 2 sur place, il s’agissait de deux à trois roquettes) ? C’est la question que s’est posée la juge Reynaud. Elle a interrogé le chef d’état-major de l’armée française, le général Bentégeat, qui lui a répondu par un mensonge grossier. Ainsi, Le Monde écrit : «Dans sa commission rogatoire, la magistrate, qui évite toute mise en cause directe, a fait part de son souhait de retrouver les boîtes noires des deux avions Soukhoï détruits par l'armée française peu après l'attaque de Bouaké. Peine perdue. Dans un courrier du 5 octobre, le général Henri Bentegeat, chef d'état-major des armées, a ruiné ses espoirs : "Je vous confirme que – les boîtes noires – n'ont jamais été récupérées par un militaire français. Les avions ont été détruits à distance, sans que les militaires français s'en soient approchés."» Hallucinant ! Les médias du monde entier ont pourtant raconté de manière unanime comment les choses se sont passées. Il y a eu trois quart d’heures entre le moment où les Sukhoï 25 sont revenus à l’aéroport de Yamoussoukro le 6 novembre, et celui où l’aviation française, qui occupait de manière structurelle le tarmac de l’aéroport, a tout juste retourné ses canons contre les avions ivoiriens et les a bombardés, provoquant la fuite des militaires ivoiriens. Les avions n’ont donc pas été détruits à distance. Ce sont 3 MI-24, un PUMA et un MI-8 positionnés à l’intérieur du palais présidentiel de Yamoussoukro qui, dans la nuit du 6 novembre, ont été détruits au sol par des missiles lancés par des hélicoptères Gazelle n’émettant aucun signal lumineux ou sonore.
L’armée française est restée maîtresse de l’aéroport de Yamoussoukro pendant plusieurs jours. A son départ, elle a laissé les carcasses des Sukhoï… sans leurs boîtes noires. Où sont-elles donc passées ? Auront-elles le même destin que celle de l’avion du président rwandais Juvénal Habyarimana, volatilisées elles aussi, en 1994, au début du génocide rwandais ? Le mensonge de Bentégeat vise en tout cas à camoufler la boîte dans laquelle figurent toutes les conversations de l’équipage des Sukhoï.
Par ailleurs, pourquoi la juge française n’a-t-elle pas eu les éclats des roquettes qui ont détruit le camp militaire français ? Où sont-ils passés, alors que l’armée française s’est fait un devoir de nettoyer de fond en comble leur camp et ses environs avant de laisser entrer toute personne étrangère, notamment le procureur militaire ivoirien. Pourquoi n’y a-t-il eu aucune reconstitution des faits à Bouaké, alors que les militaires français continuent d’y demeurer ? Pourquoi aucun journaliste n’a pris des photos claires des dégâts ? Quand l’armée française montrera-t-elle des images nettes de son camp détruit ?
Il est aujourd’hui évident que le quatuor Chirac-Alliot-Marie-Bentégeat-Poncet a fait disparaître tous les indices matériels pouvant permettre d’établir rationnellement les faits qui se sont déroulés à Bouaké. Mais cela n’a pas suffi. Dans leurs anticipations, les trois premiers se rendent compte que le mensonge ne pourra pas tenir longtemps. Ils ont donc décidé de sacrifier le dernier cité, en préparant l’opinion à admettre qu’il a menti et induit ses supérieurs en erreur sur le bombardement de Bouaké.
Théophile Kouamouo - kouamouo@yahoo.com
http://lecourrierdabidjan.info/a_la_une.asp?id=9135
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Guru (
21/10/2005 20:55 )
À Montreal / Canada
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Comme le dit si bien l'adage , : Le temps est l'autre nom de Dieu .
On saura tôt ou tard ce qui s'est passé à Bouaké !
La Côte-d'ivoire n'est pas le Togo où ces minables dirigeants francais menteurs et brigands ont echappé si facilement à lHistoire !
Le procureur général militaire de l'armée Ivoirienne Ange Kessi est à Paris , il veut qu'on lui donne les preuves de l'inculpation que les familles de francais morts lors du bombadement veulent faire tomber sur la tête de son armée .
L'Armée Ivoirienne veut donc savoir sur quoi se baseront les familles francaises pour porter plainte contre elle !
L'étonnement dans ce dossier va aller en grandissant parceque ces familles ne sont pas au bout de leurs surprises .
Voilà donc où en est l'histoire , c'est bien beau de dire que c'est Gbagbo qui a donné l'ordre , mais où Diable sont passés les preuves ?
Les boîtes Noires de ces avions sont dans les bras de l'armée francaise , elle seule sait pkoi elle ne veut pas les dévoilées .
L'enquête du bombadement n'a jamais été permise par l'armée francaise , elle a attendu de nettoyer le site du bombadement de fond en comble avant d' y permettre Le procureur Ivoirien , bizare vous dites ?
De quoi cette armée francaise "qui a été agressée a peur " ? Qui a vraiment agressé qui ?
Juste pour arriver à ses fins , càd defendre sa rebellion de la débacle , cette armée francaise aurait bien pu ( comme quelques uns le pensent dans l'armée Ivoirienne ) jeter une bombinette sur ses propres hommes pour attaquer délibérement l'armée Ivoirienne et faire sauter Gbagbo !
Non seulement Gbagbo est tjrs là , mais , les familles de francais sacrifiés demandent maintenant justice , voilà pkoi la Chiraquie est aux abois . qui va payer la facture du mensonge de ces brigands , Poncet ? non ! ce gars n'est qu'un pion , cherchons encore !
Le Temps est l'autre nom de Dieu , donc attendons , le Temps nous dira qui avait menti , on verra alors avec stupeur que les choses ne sont pas tjrs comme on veut nous le faire croire .
Drôle de monde ! |
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Gbagbo, unmenteur aussi |
Kobatchegny (
22/10/2005 08:49 )
À Créteil / France
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Pourquoi ce type avec les escadrons de la mort à la botte de Simone Gbagbo se raccroche-t-il au pouvoir.
Que les gens du Sud soit des Ivoiriens de souche et le gens du Nord des non-Ivoirien de sousche, une absurdité bancale, quand je vois qu'on joue sur ce regiistre pour massacrer des gens comme des maliens, sénegalais, burkinabés en Cote d'Ivoire et on se plaint encore que les Français ne veulen pas de nous!!!
L'armée ivoirienne est en faute; cela ne dédouane pas non plus le Gal Poncet.
Il y a eu des fautes de parts et d'autre , laissons le temps faire son temps. On verra de qui Gbagbo et Simone ou de Chirac seront honnis par leur crime.
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22/10/2005 17:57 )
À Bordeaux / France
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Retour sur l’affaire Poncet et les «révélations» sur novembre 2004 : Les services secrets français dans la confusion
Couvrir la vérité qui s’annonce d’un tintamarre de mensonges grossiers afin d’empêcher une prise de conscience par l’opinion française de la réalité de «l’Ivoiregate», l’énorme scandale politique qui entoure les événements de novembre 2004. Telle semble la stratégie de Jacques Chirac et de Michèle Alliot-Marie. En tout cas, rien d’autre ne peut expliquer une frilosité marquée par la multiplication de «scoops» foireux qui, en réalité, exposent leurs auteurs à la curiosité des esprits les plus perspicaces.
Ainsi, les «informations» de la Direction du renseignement militaire, contenues dans le dossier de la juge Raynaud du Tribunal aux armées de Paris (TAP) sont d’une légèreté qui se retournera contre leurs auteurs au moment du procès. «Sont ainsi promus par le président ivoirien Laurent Gbagbo le lieutenant-colonel Oueï, ainsi que deux pilotes, les lieutenants Gnanduillet et Degri Akpali. Selon la DRM, ces officiers seraient les "seuls à avoir bénéficié d'une promotion au mérite. (...) Cet avancement n'est pas dénué d'ambiguïté et apparaît comme une récompense pour services rendus". Ces trois hommes intéressent au plus haut point Brigitte Raynaud, la juge du tribunal aux armées de Paris chargée depuis le 19 janvier d'une information judiciaire ouverte pour "assassinats, tentative d'assassinats et destruction de biens". La magistrate, qui dispose depuis début octobre des documents de l'armée déclassifiés par le ministère de la Défense, les soupçonne d'avoir copiloté les deux Soukhoï-25 qui avaient bombardé les militaires français à Bouaké», écrit Le Monde. A court terme, ces noms lancés à la volée peuvent paraître impressionnants. Sauf qu’il est de notoriété publique dans l’armée ivoirienne – et ses états de formation, qui peuvent être recoupés, le prouvent – que le capitaine Degri Akpali n’est ni un pilote de chasseur (Sukhoï), ni un pilote d’hélicoptère (MI-24), mais bel et bien un pilote d’avions de transport. Sa spécialité ? Les Fokker 100. Il n’a jamais co-piloté le moindre Sukhoï. La DRM, service de renseignement directement lié à Michèle Alliot-Marie, ment effrontément – ou a été induite en erreur par ses «taupes» dans l’armée ivoirienne, que l’on retrouve notamment dans l’écurie Doué-Yao Yao.
En plus, il n’est pas évident du tout que les deux autres officiers cités, effectivement pilotes de chasseurs, aient été réellement sur le front pendant les événements de novembre 2004. L’enquête situera les choses et il est sûr que cela fera désordre si les éléments «béton» de la DRM venaient à être éventrés, devant le prétoire et face aux familles des victimes qui se rendront compte du sérieux de l’armée et des politiciens français dans leur fausse recherche de la vérité sur la mort des leurs… Quant aux quinze assistants techniques de l’armée ivoirienne arrêtés par la Licorne et enfermés pendant quatre jours, ce ne sont pas des pilotes mais des mécaniciens, contrairement aux prétendues révélations du «Monde». Michèle Alliot-Marie avait hurlé, à l’époque, qu’ils étaient des pilotes responsables des bombardements. C’est sans doute une des raisons pour lesquelles elle a refusé de déclassifier leurs dépositions…
Autre chose : en plus des boîtes noires des Sukhoï, des éclats des roquettes censées avoir détruit le cantonnement français à Bouaké, d’autres indices matériels pouvant déterminer sans le moindre doute comment le «bombardement» de Bouaké s’est fait ont disparu. Alors que la presse française proche de l’armée avait fait ses choux gras à leur propos. Ce sont les relevés GPS des drones qui ont servi à repérer les cibles des forces aériennes ivoiriennes, avant l’opération Dignité. L’on se souvient que ces drones ont été endommagés violemment par l’armée française en novembre 2004, et qu’elle a affirmé à ses sources habituelles qu’elle avait les relevés GPS, qui prouvaient que le cantonnement français avait été ciblé par l’armée ivoirienne. Où sont passés ces relevés GPS ? Volatilisés… On n’en trouve aucune trace dans le dossier remis à la juge Raynaud. Côté ivoirien, des sources bien introduites font remarquer que des traces électroniques de ces relevés existent toujours, et peuvent être notamment demandées à la société israélienne avec laquelle l’Etat de Côte d’Ivoire était en contrat. Des traces existeraient également en Côte d’Ivoire. La «Grande Muette» attend les prochains développements des enquêtes françaises et ivoiriennes. Pendant ce temps, la ministre française de la Défense et le chef suprême des Armées de l’Hexagone font de la mystification. Cela pourrait leur coûter cher.
Théophile Kouamouo
le courrier d'Abidjan |
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(
23/10/2005 11:56 )
À Theys / France
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Visisblement l'armée française n'est plus en mesure de remplir le mandat de l'ONU en CI il est grand temps pour les militaires de quitter la terre de Côte d'Ivoire. Les politiques et les milieux d'affaires ayant d'énormes interets en Côte d'ivoire aprés avoir penalisé les ivoiriens de toutes regions et les citoyens français vivant en CI, mais aussi les petits entrepreneurs, et les effets de tout celà se font sentir dasn toute l'Afrique del'ouest. Ils s'en prennent maintenant aux officiers qui ne sont que des executants supérieurs des décision du chef des armées et de son ministre aux armées. |
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Côte d'Ivoire |
Africa (
23/10/2005 20:02 )
À / France
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Si les troupes françaises n'avaient pas été présentes, c'est à un autre génocide que nous aurions assisté. N'oubliez pas le rwanda. La france a au moins le mérite d'être là où les états uniens ne mettront jamais pied pour éviter un génocide ou l'écroulement d'un état.
Quant à dire que les matières premières importent, elle aurait très bien pu sécuriser les zones de production de cacao et autres, sécuriser la filière de transport vers le rest du monde pour les intérêts de Nestlé et compagnie, encaisser la monnaie et laisser les ivoiriens s'entretuer. Faites moi confiance, au Libéria, c'est ce que les USA ont fait avec en prime des soldats noirs états-uniens et des firmes dirigées par des noirs états-uniens pour ne pas être taxé de racistes.
Alors réfléchissons à comment faire pour ne plus avoir de telles situations car la france a commencé à se désengager de l'Afrique noire via RECAMP (Renforcement des Capacités de Maintien de la Paix africaines).
A bon entendeur salut. |
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Le Courrier d'Abidjan est ridicule |
Merci pour la blague (
23/10/2005 22:27 )
À Todtmoos / Germany
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Le Courrier d'Abidjan n'est que lu par les Ivoiriens qui veulent s'amuser de ses mensonges=> http://cipdtf.ruwenzori.net/DevenezJournalisteDuCourrierDAbidjan.html
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