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La RDC accusée de s`opposer au retour de ses réfugiés au Congo |
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Crédibilité de l'OCDH |
(
02/11/2005 11:35 )
À Berlin / Germany
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Cette ONG est une parmi la centaine des ONG de droits de l'homme qui pilulent en RDC. Elle est comme les autres, le ventriloque des ambassades occidentales à Kinshasa où leurs dirigeants se présentent regulièrement pour percevoir de "per diem" contre les rapports produits par leurs élucubrations. Sans les fonds perçus dans ces ambassades et ces per diem, ils grossiraient les rangs de millions de chômeurs congolais.
Il y a de centaines de milliers de congolais refugiés en RCA, Tanzanie, Ouganda, Angola, Zambie qui s'en occupe? Et avec quel moyen les rapatrier au Congo? Pourquoi veulent-ils venir rester à Kinshasa, alors que les déplacés de guerre rentrent volontairement dans leurs villes et villages? Qu'a fait cnocretement cette ONG pour encadrer ces Congolais pour qu'ils rentrent en RDC? Non, l'OCDH est spécialisé dans la recherche de faux problèmes et dans l'établissement de sa propre liste des priorités.
Tundanonga |
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ONG la plupart à la solde des organisations mafieuses |
Kobatchegny (
02/11/2005 13:11 )
À Le Châtelet / France
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Il y a des ONG qui sont de véritables microétats dans des états africains.
Si tous ces malfrats d'ONG avaient de la bonne foi en ce concerne «leurs actions humanitaires» plutôt humiliantes, l'Afrique se serait bien sortie de l'ornière de la misère.
Mais hélas ces ONG sont de véritables missionnaires d'endoctrinement comme jadis les missionnaires blancs envoyés comme précurseurs de la colonisation.Elles sont là uniquement pour diviser les peuples et procéder à un pillage systématique du continent noir.
C'est un effet de mode en vogue, comme se créer une ONG pour s'introduire dans un pays, en l'occurrence les pays du tiers-monde.
Certaines ONG forment de véritables réseuax d'espionnage à la solde de l'occident.
Ces supposées ONG sont également contentes quand il y a des catastophes dans les pays hostiles à l'occident comme l'Iran ou certains pays musulmans; ce qui permet aux espions déguisés en Humanitaires sous couvert de ces ONG de s'introduire dans les pays visés.
Mais en fait ces ONG sont aussi à la solde d'organisations mafieuses qui pillent l'Afrique et les pays du tiers-monde faibles.
Mais il faut aussi avouer que le gouvernement fantoche du Congo est aussi minable.
Vue la corruption tentaculaire qui y règne, ce n'est pas étonnant que des ONG mafieuses s'y soient installées pour le compte des multinationales mafieuses qui pillent le continent noir, en particulier ce congo avec ses milliards de tonne de diamants qui attisent la convoitise depuis belle lurette.
Il faut chasser toutes ces ONG.
Et réfléchir sur l'avenir de l'Afrique.
Mais comme le Nègre est niais débonnaire par nature, comme ces congolais vantards qui exhibent les marques de leurs costards cravates(Chevignon, Dior, JeanPaul Guathiers etc) lors des soirées au lieu de réfléchir sur le devenir de leur pays, c'est pas étonnant que l'on se fasse avoir dans tous les cas par les blancs sur ce continent via d'oragnisations humanitaires douteuses et corruptrices même des tenants des gouvernants par l'octroi de dessous de table.
Le cas de la vente de frégates françaises à Taiwan qui mis Roland Dumas et sa clique face à la justice, est un exemple frappant des dessous de tables opérés chez leurs maîtres de ces gouvernements fantoches africains, lesquels passent aussi des dessous de tables à des hommes politiques corrompus comme Charles Pasqua, mouillé dans plusieurs affaires de corruption, que certains gouvernements africains entreprennent pour se maintenir au pouvoir.
«Tu coopères ou tu coopères pas», leitmotiv des maitres occidentaux des Nègres, «sinon on t'éjecte et quelqu'un d'autre prendra ta place.»
Et les ONG sont là pour entretenir la pression. Elles assistent, d'ailleurs médiocrement, au lieu de faire apprendre quelque chose à ces assités pour ne pas se faire assister.
Comme le dit si bien un proverbe chinois:« Au lieu de donner à quelqu'un des pissons pour manger, apprends lui à pêcher, cela lui fera plus de bien».
Les ONG, bien sûr il y a quelque fois de sérieuses(rare, je ne jette pas l'opprobe sur toutes) n'ont jamais entrepris à instruire une population comment s'en sortir. Vous allez me dire que si elles entreprennent une telle décmarche, il n'y aura plus d'ONG, puisque tout le monde s'en sortira. Et cela entrainera le chômage de ces ONG.
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gérard (
02/11/2005 19:35 )
À Ivry-sur-seine / France
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Article de radio Okapi (RDC)
Mercredi, 02 Novembre 2005, 12 h 00
Kinshasa: la joie des ex-FAZ rapatriés de Brazzaville
Après 8 années d’exil (depuis la chute du régime Mobutu) un premier groupe des ex-FAZ a regagné la RDC ce mardi 1er novembre. Au total, 240 militaires accompagnés de leurs épouses et enfants étaient concernés par cette première vague de rapatriement. A leur arrivée au beach Ngobila, ils ont exprimé leur joie tout en souhaitant leur réintégration au sein de l’armée nationale, rapporte radiookapi.net
L’un d’eux exprime sa joie en ces termes: « Je suis content de rentrer au pays. Ceci grâce aux efforts de notre gouvernement et du pouvoir en place. Je remercie le président Joseph Kabila et tous ceux qui nous ont aidés…. Le souhait de cet ex-FAZ est de continuer de servir le pays sous le drapeau, métier qu’il a choisi. « J’espère bien avoir un nouveau grade après le passage au centre de brassage que le gouvernement pourrait nous proposer», précise-t-il, tout content.
Pour sa part, le coordonnateur de la structure militaire d’intégration a affirmé que ces militaires suivront le processus normal de la réintégration. Le colonel Aimé Mbiato a précisé que ceux qui voudront regagner la vie civile seront démobilisés.
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gérard (
02/11/2005 19:39 )
À Ivry-sur-seine / France
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C'est un bon début, enfin....
Deux cent quarante militaires des anciennes Forces armées zaïroises (FAZ) accompagnés de leurs familles. 368 personnes ont regagné Kinshasa mardi 1er novembre après huit ans passés au Congo-Brazzaville où ils étaient réfugiés après la chute du régime du maréchal Mobutu défait par l’ AFDL soutenue par l’armée patriotique rwandaise (APR). Ces 240 militaires accompagnés des femmes et enfants ont débarqué à 16h40 au Beach Ngobila, après une courte traversée du fleuve qui sépare les deux Congo.
« Le Congo (Kinshasa) est notre pays nous avons la joie de retrouver notre terre » chantaient les rapatriés sur le bateau les ramenant au pays. En arrivant à Kinshasa, plusieurs soldats ex-Faz ont témoigné de leur « soulagement » après des années « très difficiles » passées à Brazzaville, où ces militaires n’avaient pas de statut de réfugié et vivaient de petits commerces. Venu accueillir les exilés au port, le ministre de la Défense de la RDC, Adolphe Onusumba a exprimé sa joie de recevoir des compatriotes qui vivaient depuis 1977 à Brazzaville. Devant la presse, Onusumba a déploré l’attitude des responsables de l’ONC la Voix des sans Voix (VSV).
Son président notamment. Floribert Chebeya qui a accusé d’exhibitionnisme dans le dossier des ex-Faz. On rappelle que la VSV avait fait du retour de ces anciens son cheval de bataille. « Nous sommes un gouvernement responsable, leur retour devrait être bien organisé, pas dans la précipitation » a déclaré le ministre. Depuis le 18 octobre environ 350 militaires des ex-Faz campaient autour du beach, le port fluvial de Brazzaville, dans l’espoir d’être rapatriés.
Kinshasa avait conditionné leur retour à leur identification. Les rapatriements ont finalement été décidés après la comparaison de deux recensements des soldats effectués d’une part par la Direction Générale de la surveillance du territoire (DGST) du Congo et d’autre part par une commission mixte de militaires et de civils de RDC.
Nous avons enregistré à ce jour 923 combattants et leurs familles à Brazzaville. Ce chiffre est encore provisoire et évolue constamment car au fur et à mesure de l’identification des combattant, des nouveaux candidats au retour se présentent, a expliqué Daniel Kawata, le coordonnateur de la CONADER. Une deuxième vague de retours est prévue mercredi 2 novembre.
Au port fluvial, les premiers rapatriés, tous vêtus d’habits civils ont transporté leurs maigres biens (matelas de mousse, ustensiles de cuisine quelques vêtements) dans une dizaine de bus de la CONADIR à destination du centre d’orientation militaire à Joli-site à une vingtaine de kilomètres au sud de Kinshasa sur la route du Bas-Congo.
« Après sept jours passés au centre d’orientation, les combattants devront choisir d’intégrer l’armée ou de regagner la vie civile », a expliqué le colonel Aimé Mbiato, coordinateur de la Structure militaire d’intégration (SMI) en charge de la réforme de l’armée congolaise.
Les candidats à l’intégration dans l’armée seront envoyés dans un centre de formation pour une période d’instruction de 45 jours. Les démobilisés recevront une aide à la réinsertion sociale comprenant un kit de démobilisation (vêtements, instruments agricoles et de cuisine et 110 dollars destinés à leur transport vers leur région d’origine).
Le ministère de la Défense de RDC a affirmé à plusieurs reprises la volonté du gouvernement de voir rentrer au pays tous les anciens militaires en exil.
Outre les ex-FAZ de Mobutu majoritaires, ces mesures de rapatriement s’appliqueront aussi aux ex-Forces armées congolaises (FAC) du régime de Laurent-Désiré Kabila réfugiés au Congo en 2001 et aux ex-gendarmes katangais, des militaires dissidents avant participe à la sécession de la province minière du katanga après l’indépendance du Congo (1960-1963) et depuis réfugies en Angola.
| AFP/THE POST
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