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à l'article: La Migration internationale et les transferts d’argent (232 milliards de dollars) réduiraient la pauvreté, selon la Banque Mondiale |
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La Migration internationale et les transferts d’argent (232 milliards de dollars) réduiraient la pauvreté, selon la Banque Mondiale |
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Transferts de fonds |
M'madi (
08/12/2005 18:40 )
À / France
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Cet article montre à toute la diaspora africaine l'importance de ce qu'ils envoient à tous ceux qui sont restés au pays. Mais cette démarche est souvent le fait de nos parents. Nous, jeunes africains ayant grandi dans les pays du Nord, nos liens avec ceux qui sont restés s'estompent. Nous recherchons à nous intégrer et à se faire une place dans nos pays d'accueil (créer une entreprise, acheter un logement,...). Il est donc important de voir que cette manne financière va considérablement se réduire dans les prochaines décennies et les pays pauvres financièrement sans cette aide (non au développement mais à la survie) vont connaître une pauvreté beaucoup plus accrue. Il est urgent de trouver des alternatives. Il nous faut renouer avec nos pays d'origine que ce soit en consolidant des liens familiaux ou en se mobilisant pour les associations locales. N'y a-t-il pas des leviers politico-financiers dans nos pays d'accueil pouvant inciter les jeunes à transférer des fonds vers leur pays d'origine.
Par ailleurs, ces pays dits pauvres ont une richesse, c'est ce lien malgré les mers qui séparent et cela il est important de le préserver. |
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réponse à l'article de Roland Portella sur l'immrartion |
(
21/12/2005 18:42 )
À Paris / France
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Aujourd'hui, il ya un problème crucial qui n'est autre que celui du sous développement de nos Etats et de savoir que les années passent, les autres Etats tels que ceux de l'Asie se dévéloppent et on a l'impression qu'on Afrique, plus ça va moins elle se porte. Et pourtant l'Afrique regorge de ressources tant humaines qualifiées que naturelles nécessaires à son développement. Les revenus du travail réalisé dans les pays développés peuvent être une solution de développement à condition qu'une expertise soit mise à la disposition des détenteurs de ces revenus pour mieux les utiliser dans des projets même des petits projets qui permettraient un recyclage positif. Donc il faudrait proposer un accompagnement à ceux qui ont de l'épargne qu'ils peuvent recycler dans leur pays d'origine et ce, d'autant que, dans ces pays beaucoup reste encore à faire contrairement aux pays développés qui perfectionnent les modèles existants. Monsieur Portella l'a également dit, il faudrait que les Gouveranants créent un environnement attrayant afin que la dispora ait son rôle à jouer dans le déloppement de leur pays d'origine. Ceci passe par un environnement sécurisé stable politiquement, avec un code des investissements attrayant et un secteur bancaire qui joue pleinement son rôle. Jacqueline NZALANKAZI.
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