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L'ONU ne tolérera plus les actes de violence en Côte d'Ivoire |
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06/02/2006 12:27 )
À Nanterre / France
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cets totalement vrai car gbagbo commence a nous agacer de trop ca veut dire koi ca onu sauvez nous ici a abidjan on ne peut pas vivre en paix avec ce mec la |
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Au precedant |
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06/02/2006 12:41 )
À Isenburg / Germany
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..tu n´es pas noir et ne reside pas a Abidjan, tu es un mafieux FRANCAFICAIN.
Onu et licorne (FranSSe) ou of Afrika ! |
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Annan: Un Africain qui veut le prgrès de l'Afrique |
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06/02/2006 13:30 )
À Freiburg / Germany
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Ben quoi? Kofi Annan est devenu "Impérialiste"/"Néocolonialiste" ou quoi?
Hé "Patriotes", sortez vite vos matelas et protestez! |
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06/02/2006 13:38 )
À / France
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Un vrai lacquais ce type... |
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Les africains soutiennent Gabgbo |
Soundiata (
06/02/2006 14:26 )
À Choisy-le-roi / France
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Voilà un noir qui est devenu un véritable caniche des blancs!
Il faut que Gbagbo tienne et qu'il expulse ce pédophile de Schori de CI
Pourquoi Koffi n'envoie pas des troupes en Irak pour chasser les américains qui st passés au-dessus de son autorité pour envahir un pays souverain?
Lorsque vs allez envahir la CI, vs serez étonnés de voir des africains venir se battre pour leur continent.Osez et on verra!
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06/02/2006 14:48 )
À Alcalá De Guadaira / Spain
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Putains..!
mais arretez donc de percevoir Kofi Annan comme un noir ou un africain!
La question n'est pas la,
C'est le secretaire General des Nation Unie,lui au moins il c'est faire la part des chose, c'est pour cela qu'il a The Job..
Vous vous attendez a quoi..!?grandisez un peu |
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06/02/2006 15:11 )
À Versailles / France
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l'homme blanc n'est qu'un maitre esclavagiste pour ce annan :
il aurait plus d'estime é essuyer directement le qualibet de ses maitres |
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06/02/2006 15:15 )
À Versailles / France
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mais putain qu'attendons nous pour manifester
la france est armée juqu'au dent a trop d'interet en cote d'ivoire et vit de l'afrique
c'est la loie du plus fort qu"elle sorte ses armes nuclèaires et qu'elle nous raye de la carte au mois personne ne prifitera des richesses de l'afrique
don't give up the fight |
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gnata (
06/02/2006 16:15 )
À Vaudreuil / Canada
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Soundjata , Nina , juste pour un dessein sur leur prophète , les musulmans sont unis comme un seul homme , mais quand il s'agit de l'Afrique , rien , rien de rien ...
La principale personne qui nous piétine est un des notres, et ca ne derange presque personne .
celui qui dit naïvement de Annan qu'il fait la différence entre son Job et ce qu'il est aurait dû le dire a Dag Hammajörd , ce secrétaire général Suédois de l'Onu qui a aidé les belges et les USA a abattre Lumumba comme un chien , lui ne s'est pas encombré de vertus nias comme nous les Africains aimons le faire .
N'importe quoi ce pecnot ! |
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"les musulmans sont unis comme un seul homme " |
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06/02/2006 16:31 )
À Bordeaux / France
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c la puissance de la religion!
C’est plus dur pour les africain d’être unis et pour cause
Tout a été fait pour les diviser les enterrer...
Convertir est 1 moyen de dominer l’autre en lui domesticant avec des valeurs qui ne sont pas les siennes ! En vénérant des saints qui ne nous ressemblent pas, conséquence : plus on est noir plus on est méprisé on imite nos bourreaux en s’entretuant pour des religions qui nous appartiennent pas en enterrant le notre, on se mèprise en valorisant l’homme blanc ! La puissance de la religion, la langue est telle qu’elle oriente notre perception du monde conditionne notre pensée et même notre sensibilité!
LE REMEDE :
le retour à la vénération du soleil, c’est sans doute le retour de la lumière en Afrique, la VISION du noir, couleur de la vie, la couleur de tous les jours, la couleur du beau du bien... come en Afrique authentique contrairement à
ces 3 religions (musulmane, chrétienne et juive) basées sur la divinité, MASCULINE et BLANCHE ET SUR LA NEGATION DE LA FEMME ET DU NOIR CONTRAIREMENT AU SOLEIL sont elles battues si férocement pour l’enterrer jusqu’au moindre rayon en convertissant les africains par le feu et le sang en détruisant leur identité, leur culture ...
c’est plus dur certes mais icontactons le frere kemi ou autres organisons des manif
c’est une question de vie ou de mort LA LIBERTE DE L’AFRIQUE
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STOP VIOLENCE IN NORD-COTE D'IVOIRE Mr ADO |
djibril Gon Youssouffou (
06/02/2006 16:57 )
À / France
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Kofi Ata Annan veut certainement parlé du Nord de la Côte d'Ivoire où on égorge les gendarmes à tout va, égoge des femmes enceintes pour boire le sang des foetus en guise de fortifiant de félonie, etc...
Annan parle certainement du Nord de la Côte d'Ivoire où Soro et son mentor ADO ont déjà fait tuer bien des chefs de guerre qu'ils soupçonnaient de trahison, etc.
Il faut maintenant qu'il s'insurge contre la piraterie du bois et du cacao ivoirien avec la complicité de l'ex Crédit Lyonnais et du Burkina Faso du "beau" sanguinaire Blaise Compaoré.
Sinon, nous aurons le scandale pétrole contre nourriture et les affaires de trafic aux impôts de son fils au Nigeria et au Ghana en travers de la gorge. |
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06/02/2006 18:13 )
À Tarbes / France
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Koffi tu es certainement le seul espoir qu'il nous reste ! tout le monde tombe dans un faux combat pétri de haine raciale qui ne menera nulle part ! Je suis quoi ivoirien ou malien ? pourquoi pas africain |
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06/02/2006 18:17 )
À Neuilly-sur-marne / France
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partisan de gbagbo ils vous restent que 7 mois pour plier bagage et fuir car les reglement de compte seront grave bande de voleur de refondateur on va voir |
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POURQUOI LA CÔTE D'IVOIRE DE LAURENT GBAGBO EST DANS L'OEIL DU CYCLONE FRANCE |
Alire (
06/02/2006 18:33 )
À / France
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www.africamaat.com
AfricaMaat:
POURQUOI LA CÔTE D'IVOIRE DE LAURENT GBAGBO EST DANS L'OEIL DU CYCLONE FRANCE
lundi 23 janvier 2006
Pourquoi la Côte d’ivoire de Laurent GBAGBO est dans l’oeil du cyclone France
CAMPAGNE "LES DICTATEURS AMIS DE LA FRANCE !?"
L’idéologie française de la déstabilisation de l’Afrique Noire est résumée sans ambages par LYAUTEY, lorsqu’il écrit que : « L’action politique est de beaucoup la plus importante ; elle tire sa plus grande force dans la connaissance du pays et de ses habitants, s’il y a des coutumes et des moeurs à respecter, il y a aussi des haines et des rivalités qu’il faut démêler et utiliser à notre profit, en les opposant les unes aux autres, en nous appuyant sur les unes pour mieux vaincre les autres ». [1]
On comprend alors que le journaliste français Michel SITBON, s’insurge outragé que : « Depuis les années soixante la politique africaine de la France a coûté plus de six millions de morts sans jamais être remise en question. Alors que tous les faits sont sous nos yeux, nous refusons toujours d’admettre l’étendue de la responsabilité française dans un des actes les plus barbares du siècle : le génocide des Tutsi du Rwanda.
Pourquoi ? » . [2]
Arc-boutée sur un atavisme négrier, la France qui a perdu les colonies cochinoises et arabes, la Tunisie, le Maroc, et l’Algérie de son ancien empire, avait vite compris que seuls les Noirs restaient encore à la portée de son hégémonie. Aussi, mit-elle sur pied une stratégie dont l’objectif central est d’empêcher les anciennes colonies d’Afrique Noire jugées serviles, de devenir libres et indépendantes. Elle dispose, pour ce faire, d’une panoplie de mécanismes implacables par lesquels elle s’affirme comme la facette principale agissante et représentative du triomphe de l’Occident sur le monde Noir. Ce système fonctionne sur la base :
1°) du maintien de l’Afrique subsaharienne (que Jacques CHIRAC s’est donné pour mission d’élargir de plus en plus aux régions dites anglophone et
lusophone) dans une colonisation de type nouveau, qui l’engage dans la plupart des problèmes internationaux, dans lesquels la France les utilise pour ses besoins propres de puissance politique, économique, militaire et culturelle. Le colonialisme ancien est ainsi transformé en néocolonialisme triomphant, placé sous la nervure d’une coopération dont la France est l’unique dominante et la seule bénéficiaire ;
2°) d’une prétendue « Coopération » qui sert de cadre justificatif au pillage économique de l’Afrique Noire, aux interventions militaires françaises pour le maintien de cette exploitation, et à l’aliénation culturelle des populations africaines, au nom d’une prétendue communauté de langue : le Français ;
3°) de l’ancrage de l’Afrique subsaharienne dans une intégration néocoloniale de plus en plus subtile, mais toujours plus renforcée et rigide ;
4°) de la poursuite par la France de ces objectifs de domination, tout en les renforçant dans le cadre d’une projection stratégique ;
De type mafieux, le néocolonialisme français dans lequel le maître et ses valets s’imbriquent étroitement pour former un Tout sous la suzeraineté spoliatrice de la France, se veut immuable et n’accepte aucun compromis ni sur sa structure, ni sur son fonctionnement. Aussi, suffit-il seulement qu’un territoire africain se donne lui-même librement ses représentants, pour qu’un tel acte d’indépendance soit ressenti comme une agression qui appelle la riposte immédiate : le coup d’Etat téléguidé de Paris, suivi de la mise à mort du régime non installé par la France.
C’est ce qui permet de comprendre les diverses opérations franco-africaines de harcèlements initiés par l’appareil politique français, et, soutenus en permanence par ses services secrets dont la mission est de renverser tout régime africain rebelle. Comme cela fut entrepris jadis avec plus ou moins de bonheur contre le régime de SEKOU TOURE en Guinée (coupable d’avoir dit NON en 1958 à la Communauté franco-africaine), via le Sénégal et la Côte d’Ivoire d’HOUPHOUET-BOIGNY ; celui du marxiste-léniniste congolais, Marien N’GOUABI, via le Cameroun, ou encore celui du Bénin de Mathieu KEREKOU en 1972, alors également d’obédience marxiste-léniniste, qui essuya une tentative de renversement via le Gabon, par le mercenaire français Bob DENARD. C’est le même traitement qui a été réservé avec succès, en 1997, via la société ELF-AQUITAINE au régime de Pascal LISSOUBA, démocratiquement élu par le peuple Congolais, doublement coupable pour la France, d’avoir réclamé de surcroît un droit de regard sur les ressources pétrolières congolaises, considérées par la France comme son bien personnel.
Chassé du pouvoir et remplacé par SASSOU NGUESSO, un homme du sérail français en Afrique centrale, Pascal LISSOUBA laissa éclater sa colère : « Le mécanisme de versement de la redevance pétrolière est difficile à décrire. Les redevances sont dues à des filiales d’Elf Aquitaine, Elf-Congo et Elf-Gabon (...). Mais le fonctionnement d’une autre société, Elf Trading, qui effectue des transactions, reste obscur. Les fluctuations du dollar jouent sur le montant de la redevance (...). Qui gère le différentiel provoqué par ces fluctuations portant sur des sommes considérables.
Qui peut contrôler cela ? (...). Le Congo recevait des redevances d’exploitation dont il était difficile de suivre le cheminement. Les sommes provenant des marges de fluctuation pouvaient être élevées et suffisaient à financer un mouvement de déstabilisation. Il pouvait donc s’agir d’une sorte de pacte de corruption soutenant un complot » . [1]
C’est ce système qui réagit toujours à la manière d’une pieuvre face à sa proie, qui, dans une première phase, a violemment secoué la Côte d’Ivoire au mois de Septembre 2002, pour contester Laurent GBAGBO, démocratiquement élu président de la République, à la différence du panel de présidents fantoches qui peuplent l’hémisphère francophone du sud du Sahara. La France pour qui la plus grosse part, sinon la totalité des marchés des néocolonies doivent revenir de « droit divin » de gré à gré à des mercantis français dont la vocation serait de contrôler tous les secteurs économiques de l’Afrique Noire dite francophone, et qui n’auraient pas à se soumettre à la voie d’appels d’offres internationaux, comme l’exige la coutume internationale.
Laurent GBAGBO est donc particulièrement contrariant pour ce que la France considère comme ses « intérêts vitaux », au motif qu’il a remis en question les pratiques des sociétés françaises telles que Bouygues dont l’offre pour la construction du troisième pont d’Abidjan avait été rejetée, parce que trois fois supérieure à celle de la Chine qui se montrait au surplus plus accommodante par l’acceptation du règlement d’une partie du contrat sous forme de troc en cacao et café, ou encore, pour s’être opposé aux ambitions que le même groupe français Bouygues nourrissait sur les travaux de construction de l’aéroport de San Pedro dont le contrat semblait devoir être emporté par des sociétés Sud-africaines, ou enfin, avoir contrarié les projets de la France dans ce pays où elle avait toujours jusque-là eu la haute main sur tout, et où elle voyait avec épouvante, arriver à leur terme en 2004, les contrats de Bouygues pour la Compagnie ivoirienne d’électricité, et celui de Télécom Côte d’Ivoire par France Télécom.
Aussi, le camouflet suivi que la France comptait infliger au Président ivoirien le 26 Janvier 2003, en lui imposant l’entrée dans son gouvernement, d’opposants, avec attribution des portefeuilles des Forces Armées et de l’Intérieur, doit être compris comme la deuxième phase de sa stratégie. C’est pourquoi elle fut aussitôt amplifiée par une tonitruante levée de boucliers de la presse parisienne, sa télévision surtout, sur l’existence de « charniers » en Côte d’Ivoire.
Aussi, le vocero poussé lors du sommet de la Françafrique à Paris en Février 2003 par le chef de l’Etat français sur « la fin de l’impunité » sur les assassinats et autres entraves aux Libertés en Afrique Noire, ne visait que Laurent GBAGBO.
L’agression française contre la Côte d’Ivoire à laquelle le monde est entrain d’assister vise à n’en pas douter à l’élimination physique de Laurent GBAGBO, pour la remise du pouvoir par la France à l’une de ses marionnettes, postées aujourd’hui en embuscade, dans le cadre d’une conspiration ourdie en 2003 dans un bureau du Quai d’Orsay, à Paris, sur ordre de Jacques CHIRAC en personne, par Monsieur Dominique de VILLEPIN, alors ministre français des Affaires Etrangères interposé. Comme le révèle le journal français Le Canard Enchaîné, dans sa livraison du 5 Mars 2003 : « C’est dans un bureau du Quai d’Orsay que quatre personnes vont discuter, en petit comité, de la composition du futur gouvernement ivoirien. Côté français, Villepin et Nathalie Delapalme, sa conseillère anti-Gbagbo ; côté africain, le chef rebelle Guillaume Soro et un émissaire de Blaise Compaoré, le président du Burkina qui ne se cache pas de vouloir la perte de Gbagbo. Jadis, Paris installait, défendait ou renversait les chefs africains francophones. Aujourd’hui, on discute du sort de l’un d’entre eux dans un bureau ministériel.
C’est un progrès ? ». [2]
Par contre, de même qu’elle intrigue contre les récalcitrants, la France, par des méthodes de natures diverses qui peuvent aller de la fraude électorale à des violences telles que l’élimination physique d’opposants et de réfractaires à son racket, veille jalousement sur ses courtiers. C’est dire si elle n’accepte chez les Africains que des caricatures à la morale douteuse et mafieuse, terrorisant leur propre peuple en tant que son bras armé qui, de fait, n’autorise pas qu’éclosent en Afrique Noire, des hommes ou des femmes de la stature politique d’un Nelson MANDELA [1], par exemple. A l’évidence, la politique africaine de la France est de loin plus anti-Nègre que l’Apartheid.
Le soutien apporté jadis à la dictature alors moribonde de Joseph-Désiré MOBUTU par Paris comme seul pays occidental, est une illustration de cette idéologie néonégrière.
Une idéologie reposant sur des individus de nullité avérée, rompus à toutes sortes d’activités de prébendes, devant tout à leur protecteur français qui les a dressés pour une vie artificielle de servilité qui commande la reconnaissance et la soumission inconditionnels. Des personnages de basse extraction morale, vassaux par excellence, complexés jusqu’à la moelle des os, lancés à coups de publicité mensongère par une presse française particulièrement cocardière, celle-là même qui cultive avec délice l’art du mépris du « Nègre ».
Des hommes aux ordres de l’Occident et opposés aux Intérêts et à la Liberté de l’Afrique et des Africains, comme cela vient encore d’être démontré par les six soi-disant présidents africains réunis à Abuja au Nigeria, où ils n’ont pas hésité à prendre le parti du néocolonialisme français dans son occupation de la Côte d’Ivoire, comme vient de leur emboîter le pas, la forfaiture du prétendu Conseil de Sécurité de l’O.N.U.
dont le code fondamental est le Droit de la Force de l’Occident dans le monde.
Des caricatures qui ne seraient rien sans le maître d’aujourd’hui, incarnation agissante du commandant administratif d’hier, maître de céans toujours, comme en attestent les privautés que la France et les Français s’autorisent dans le rythme et l’organisation de la vie politique des néocolonies d’Afrique Noire, notamment dans celles dont le sous-sol recèle du pétrole : le Gabon, le Cameroun notamment, dont le pillage de ressources par la France, n’a jamais été dénoncé par les médias français, qui en auraient fait une croisade, si les victimes avaient été des Blancs, ou alors le spoliateur, un pays autre que la France.
En effet :
Sur le Gabon, Pierre PEAN signale que la mission parlementaire d’information sur le rôle des compagnies pétrolières en Afrique révèle que : « Le Gabon a été une excroissance de la République dirigée conjointement par Jacques Foccart, le parti gaulliste et Elf. En 1993, le président Bongo s’est maintenu au pouvoir grâce a un « coup d’Etat électoral », opéré avec la bienveillante neutralité du gouvernement français » . [2]
Et que sur le Cameroun, Loïk LEFLOCH-PRIGENT écrit pour sa part que Paul BIYA a été placé au pouvoir par la société ELF. Quant à François-Xavier VERSCHAVE, il va plus loin : « L’armée tricolore n’a pas lésiné dans le maintien de « l’ordre Biya ». En 1993, elle a fourni au régime 50 millions de francs de matériel militaire de répression. La mise en œuvre de cet accord était supervisée par le général Jean-Pierre Huchon, chef de la Mission militaire de coopération - par ailleurs très engagé au Rwanda. En février 1994, les Services français ont déjoué un projet de coup d’Etat au stade ultime de sa préparation. Le chef de la DGSE [3], entre autres, par Paul BIYA ? In L’ordre du Temple Solaire, les secrets d’une manipulation, Ed.
Flammarion, 2000, PP.344-347. , le général Jacques Dewatre, a été chargé de « déminer » l’armée camerounaise »... Fin 1999, celle-ci était encore conseillée et encadrée par plus de cent officiers et sous-officiers français » [4] . Comme l’écrit encore si judicieusement Le Canard Enchaîné dans sa livraison du 14 Avril 2004, sous le titre Les trous de mémoire de la France sur son passé rwandais : « A ce petit jeu très dangereux, la France n’a même pas l’excuse de l’inexpérience. Pour conserver son rang en Afrique, et depuis quarante ans, Paris soutient des régimes dictatoriaux, adeptes de l’épuration ethnique ou tribale. A Djibouti, 2700 soldats tricolores contribuent à la pérennité du parti unique, entièrement aux mains des Issas, en réprimant les Afars (40 % de la population). Au Cameroun, c’est le clan du président francophone Biya qui a la cote, au détriment des anglophones et des Bamilékés, souvent opprimés par le passé. En Cote d’Ivoire, dans les années 90, la France n’a pas mégoté son aide au président Konan Bédié, inventeur du concept d’« ivoirité », aux conséquences si funestes aujourd’hui.
Etc... » [5]
Il n’est par conséquent pas étonnant que Monsieur Jacques GODFRAIN, alors Ministre français de la Coopération, se soit félicité, dans une livraison du Figaro, en Avril 1997, de cette politique africaine de la France : « A ceux qui nient que les liens entre la France et l’Afrique ont assurément été un succès après la décolonisation réussie, j’aimerais demander quelles autres puissances coloniales ont des rapports aussi confiants avec leurs anciennes colonies ? » . [6]
En 1994, François-Xavier Verschave publiait le premier livre mettant en cause la responsabilité de la France dans le génocide du Rwanda. Depuis, le président de l’association Survie met en lumière pour mieux la dénoncer la politique africaine de la France.
[1] P. LYAUTEY est cité par P. GUILLAUME in Le Monde Colonial. Voir aussi P. LYAUTEY : L’Empire Colonial Français, Ed. de France, 1931.
[2] Michel SITBON : Un génocide sur la conscience, Ed.
L’Esprit Frappeur, Paris, 1998.
[1] François-Xavier VERSCHAVE : Noir Silence. Qui arrêtera la Françafrique, Ed. Les arènes, 2000, P.373.
[2] Le Canard Enchaîné, dans sa livraison du 5 Mars
2003
[1] Le Canard Enchaîné, dans sa livraison du 5 Mars
2003
[2] Pierre PEAN in Noir silence, Qui arrêtera la Françafrique , Op. Cit., P.198.
[3] On comprend pourquoi, les journalistes signalent le financement de la D.G.S.E.
[4] François-Xavier VERSCHAVE : Noir silence. Qui arrêtera la Françafrique, Ed. Les arènes, P.178.
[5] Le Canard Enchaîné, livraison du 14 Avril 2004.
[6] In Le Canard Enchaîné n° 3989 du 9 Avril 1997.
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UNE PROSTITUEE |
Nti (
07/02/2006 12:11 )
À Cergy / France
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Koffi annan est une prostituée qui a vendu son âme................................
J'espère que les ghanaéns ne vont pas le mettre dans un poste à haut responsabilité..................................
Cet type est incapable de denonocer le soutien de la France aux dictatrues africaines.....................
UN CON COMME LES AIMENT LES OCCIDENTAUX!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
COMME LE PYGMEE BONGO, EYADEMA, |
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Nous, on ne veut plus de Gbagbo |
Ivorien Anti-Xénophobes (
07/02/2006 12:41 )
À Freiburg / Germany
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Gbagbo est un dicateur. Son régime xénophobe a tué beaucoup d'Africains.
Si vous l'aimez, vous avez qu'à lui demander de gouverner votre pays.
Mais nous on ne le veut plus.
Côte d’Ivoire./ Pauvreté
La situation va de mal en pire
En confiant le pays aux refondateurs, certains Ivoiriens croyaient poser une action noble. Celle de sortir la Côte d’Ivoire du marasme économique. Mais au regard de l’actualité, l’on se rend compte que l’avènement du Front populaire ivoirien au pouvoir a été une erreur que les Ivoiriens ne seront sûrement plus prêts de recommencer.
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La preuve : les chiffres relatifs aux taux de la pauvreté en Côte d’Ivoire parlent d’eux-mêmes. En d’autres termes, la pauvreté n’a fait que s’accentuer depuis que les refondateurs sont aux commandes. Et au fil du temps, la situation s’empire. Déjà en fin 2002, la pauvreté s’est accrue de 38,4%. Ce qui signifie en clair qu’au terme de l’année 2002 ; 38,4 environ sur 100 étaient pauvres. L’année d’après, c’est-à-dire en 2003, c’est un taux de 42% qui a été enregistrés. Pour atteindre 48% en fin 2004. C'est-à-dire près de la moitié des Ivoiriens en fin 2004 étaient pauvres. Pour la fin de l’année écoulée même si les chiffres n’ont pas encore été rendus publics, certaines sources indiquent qu’on est dans la même fourchette donc pas du tout loin de 50%. C’est bien pitoyable car si le taux de pauvreté a pris une telle ampleur, les yeux sont rivés sur tenants du pouvoir. Qui pour l’heure sont en majorité des refondateurs. On peut alors affirmer sans risque de se tromper que sous la refondation, les choses se sont effondrées.
Tout ceci expliquant la présence de certaines personnes issues de ces couches de affectées par la pauvreté, de toujours occuper les rues. Pour un oui ou un non.
Il y a eu aussi l’époque de la mise sur pied d’un fonds pour aider à la lutte contre la pauvreté. Il s’agit du fonds d’emploi jeunes. Malheureusement, ce projet est aussi mort de sa belle mort. Après avoir octroyé des prêts à moins de 20 personnes, on n’a plus entendu parler de ce fonds. Alors que les initiateurs ont annoncé tambour battant que c’était un moyen sûr de lutte contre la pauvreté. Et que la réalisation de cette initiative permettrait à l’insertion sociale de plusieurs milliers de jeunes et de femmes. Rien que de la poudre aux yeux. C’est pourquoi, l’arrivée de Charles Konan Banny à la primature, se présente comme un espoir. Tout d’abord parce qu’il arrive avec des innovations certaines. Mais surtout avec des hommes nouveaux. Qui savent l’importance de la tâche. Qui représente un défi certain pour ceux qui ont des ambitions politiques.
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Ivorien Anti-Xénophobes ! mon cul oui !!!!! |
Shomari (
07/02/2006 12:55 )
À Plateau / France
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Ivorien Anti-Xénophobes Tu imites trés mal l'Ivorien pauvre imposteur ! Dis plutôt a tes compatriotes militaire Français de quitter l'Afrique, ceux sont eux le vrai ennemi de la Côte d'Ivoire ! |
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il sait parfaitement comment les occiodentaux ont commencé à bouffer à leur faim ( sinonn le sucre serait trop cher) et comment ils continuent à bouffer à leur faim ! |
(
07/02/2006 13:33 )
À Bordeaux / France
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c’est normal l’ Ivorien Anti-Xénophobes (déguisé) s’inquiéte pour son estomac : je le comprends !
20% de ces demons blancs devorent 80% des richesses de ce monde alors que l’Europe est l’une des régions les plus pauvres du monde ( pas d’or ni petrole ni uranium, ni diamants...)
mais c’est ici qu’on les retrouve va chercher à comprendre leur présence en Afrique!
et ils se ventent d’être riche, on veut toujours ce qu’on a pas
manipuler, intoxiquer, corrompre, ruser, il sait aussi et surtout occire, abattre et raser la graine de nationaliste, les torrents de sang rythment son œuvre, petite.
Le projet colonial et l’asservissement des peuples africains a toujours été une succession de violences, d’assassinats, de crimes crapuleux déguisés à l’image de « l’ Ivorien Anti-Xénophobes »
Assassiner des leaders, des porte-voix, des figures emblématiques ce n'est pas faire disparaître une personnalité, c'est tuer l'espoir.
La révolution de l’information a pris le devant!
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MERCI BOB MARLEY !Une étincelle spirituelle... And now we see the light |
nina (
07/02/2006 13:47 )
À Bordeaux / France
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MERCI BOB MARLEY !Une étincelle spirituelle... And now we see the light
un fulgurant message libérateur, musicalisé, semble être ENTENDU de nos jours par la jeunesse panafircain: le lion, Bob Marley à travers son art musical prolifique est devenu comme une source nutritionnelle par sa puissance révolutionnaire thérapeutique, affranchissante ...
Bob marley est plus vrai que la réalité de l’oppression, de la promotion des destructeurs, il termine son long réquisitoire en assenant Tell the children the truth, eh oui ! Dites donc la vérité aux enfants !
Il faut se rebeller, maintenant nous savons que la seule chose que nous devons faire est de nous rebeller… Babylon System de Bob Marley, suc extrait de l’inoubliable album (Black) Survival, une référence parmi les plus précieuses perles d’un insoumis génial.
Mais Bob entreprend, passé les rappels d’oppression et d’esclavisation, de décrire la mécanique sociologique de Babylone, du système de domination leucoderme : Babylon system is the vampire, yea! (vampire) Suckin' the children day by day, yeah! Me say: de Babylon system is the vampire, falling empire, Suckin' the blood of the sufferers, yea - ea - ea - ea - e - ah! Building church and university, wo - o - ooh, yeah! - Deceiving the people continually, yea - ea! Me say them graduatin' thieves and murderers; Look out now: they suckin' the blood of the sufferers (sufferers). Yea - ea - ea! (sufferers)
Le système de Babylone, l’oppression blanche est un vampire qui vide les enfants jour après jour, empire décadent qui suce le sang de ceux qui souffrent, construisant des églises et des universités, trompant le peuple continuellement, faisant la promotion des voleurs et des tueurs…
(DE NOS JOURS BOB dirait sans doute Dites donc la vérité à la jeunesse panafricaine...)
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black power (
07/02/2006 22:53 )
À Bagnolet / France
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nina tu as raison,Bob avait tout compris,c'était un visionaire et moi je le considère comme un prophète.
rebellons nous!!
y en a marre de la dictature de babylone,qui nous programme pour penser comme ci,qui nous disent qu'il faut faire cela comme eux l'ont décidé.
ces démons ne savent vivre qu'en détruisant et volant le bien des autres peuples! |
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