Référence morale |
Samuel (
28/02/2006 00:01 )
À Paris / France
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Egal à lui-même, Gaspard-Hubert Lonsi reste pertinent dans ses analyses. Dommage que certains Français Africains, de gauche comme de droite, ne soient pas aussi crédibles que ce socialiste humaniste.
En tout cas, il reste pour beaucoup d'entre nous la référence morale. |
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Le demandeur d'asile |
Yves (
28/02/2006 00:16 )
À Paris / France
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Ouvrage poignant et très instructif sur la problématique du droit d'asile. Lonsi Koko, par le biais de quelques digressions, entraîne le lecteur dans le labyrinthe kafkaiën connu de seuls demandeurs d'asile. |
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L'homme au franc-parler |
Hugues (
28/02/2006 00:43 )
À Paris / France
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Lonsi Koko est connu comme étant un homme au franc-parler. Pour s'en rendre compte, il suffit d'écouter l'entretien qu'il a eu sur les ondes de RFI avec Philippe Leymarie le dimanche 26 février 2006 : http://rfi.fr/francais/actu/articles/074/article_42109.asp |
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Dédicace |
Jo (
28/02/2006 09:23 )
À Paris / France
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Gaspard-Hubert Lonsi Koko dédicacera son ouvrage intitulé "Le demandeur d'asile", paru aux Editions de l'Egrégore (http://www.editions-egregore.com) :
- Le 5 mars 2006 de 16 h 00 à 18 h 00
Lieu :
Chez Imogène
25, rue Jean-Pierre Timbaud
75011 Paris
Métro : Oberkampf |
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Un vrai vrai combat |
Solange (
28/02/2006 10:23 )
À Paris / France
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Que dire d'autres après ces propos teintés de pragmatisme que nous livre Lonsi Koko ?
J'adhère à tout ce qu'il préconise. Nous devons cesser de faire le jeu de ceux qui souhaitent notre division pour mieux nous affaiblir. Lonsi Koko a compris que notre salut de viendra que de notre propre capacité à inverser la tendace.
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Le très respectebale |
Arthur (
28/02/2006 12:31 )
À Paris / France
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Je remercie beaucoup madame Lize Moudouthé de nous avoir offert l'interview du très respectable Lonsi Koko dont les prises de position sont sérieusement décortiquées dans certains milieux, de gauche comme de droite, peu favorables à l'égalité des de chance et à la diversité dans l'unité de la société française.
De plus, la communauté noire à travers le monde commence à voir en lui l'un des symboles, l'une des voix les plus républicaines, de la lutte de la cause noire en France.
Vous comprenez bien, madame Moudouthé, que cette interview encouragera les oubliés de la République française dans leur combat en vue de la dignité humaine mais fera aussi grincer les dents chez les oppresseurs. Tant pis pour les méchants.
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Le demandeur d'asile |
Smagand (
28/02/2006 12:57 )
À Paris / France
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Résumé :
Léopold Mwana Malamu est membre, dans son pays d'origine situé au cœur de l'Afrique centrale, d'un mouvement clandestin qui s'oppose de la manière la plus efficace et la plus habile possible à la dictature du régime en place. Il est arrêté, torturé. Il finit par gagner l'Europe : l'Italie d'abord, ensuite la Suisse; puis la France où l'accueille à bras ouverts une charmante dame de la meilleure société. Reste pour lui à obtenir le statut de réfugié politique. Toutes les démarches du jeune homme échouent et trouver un travail lui est également impossible. " Refoulé administratif " dans son pays d'origine, il est à nouveau torturé. Cet ouvrage met en évidence la flagrante contradiction entre l'image de marque de la France et le labyrinthe dans lequel s'engage le candidat au statut d'asile politique après s'être enfui de la dictature corrompue que soutiennent avec immoralité certains pays occidentaux.
Biographie de l'auteur :
Gaspard-Hubert Lonsi Koko est un fervent militant des causes humanistes qui a longtemps évolué à travers les sinuosités et les méandres de l'univers francoafricain. Il dénonce astucieusement les dysfonctionnements liés au droit d'asile en France et fustige, en même temps, les régimes dictatoriaux d'Afrique. |
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Notre avenir |
Charles (
01/03/2006 00:55 )
À Paris / France
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Lonsi Koko a raison quand il dit que notre avenir ne dépend que de nous-mêmes. En effet, c'est à nous de nous prendre en charge, de nous responsabiliser. Il serait insenser de confier notre futur à des gens qui nous sont hostiles.
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demandeur d'asile |
ghislain (
01/03/2006 01:58 )
À Divonne-les-bains / France
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Globalement, bonne analyse. Mais il manque un mot. Celui de "mérite". Cher monsieur, n'avez-vous pas bossé ? Pensez-vous que cela vous soit tombé tout cuit ? Vous parlez d'équité. Oui. Mais que chacun se donne les moyens., à commencer par le courage et l'envie d'arriver. |
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Le demandeur d'asile |
Charles (
01/03/2006 09:36 )
À Maule / France
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Ghislain a tout à fait raison de parler du mérite. D'ailleurs, comme il fait allusion au Demandeur d'asile, il suffit de lire les interviews et interventions de l'auteur, c'est-à-dire Lonsi Koko, vous remarquerez qu'il insiste sur un fait. Je cite : "Nous ne revendiquons pas les postes parce que nous sommes Noirs, mais parce que nous sommes compétents. La gestion de la chose publique doit tenir compte du mérite". Il conseille également à la communauté noire de s'enrichir, car le vrai pouvoir est économique.
Cela laisse évidemment supposer que la communauté noire doit se donner les moyens, avoir le courage et l'envie d'arriver.
Mon cher Ghislain, tu confirmes, en fait, ce que préconise Lonsi Koko. |
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La France d'aujourd'hui et de demain |
Jacques (
01/03/2006 10:39 )
À Maule / France
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Force est de constater que, malgré une certaine mauvaise foi de la part des tenants du pouvoir, la France est entrée dans un processus irreversible : à savoir la pluralité.
Je partage le point de vue de Lonsi Koko quand il insiste sur l'unité de cette pluralité. C'est par ce biais que la France consolidera sa cohésion nationale.
Il est impressionnant de voir comment les Noirs de France, que d'aucuns pensaient qu'ils ne pouvaient dire fermement NON aux injustices qui les frappe, sont en train de faire émerger leurs propres leaders d'opinions. Je reste convaincu que ceux-ci finiront par obtenir gain de cause.
Tout est rapport de force. L'interview de Lonsi Koko le dit mieux que moi.
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Les soldats de l'égalité des chances |
Guy (
01/03/2006 13:14 )
À Paris / France
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Je tiens à féfliciter, à travers Lonsi Koko, tous les soldats qui se battent pour consolider l'égalité des chances. Mine de rien, ils s'exposent à des dansgers que le commun des mortels ignore.
En guise d'exemple, je cite un passage qui conclut l'essai de Lonsi Koko intitulé "Un nouvel élan socialiste" :
"Je remercie du fond du coeur les socialistes qui m'ont farouchement combattu, surtout au sein de la section François Mitterrand dans le quinzième arrondissement de Paris, très souvent de la manière la plus ignominieuse - y compris dans ma vie professionnelle et privée. La réponse que je peux leur donner est formulée dans la question d'un grand compositeur populaire, Jacques Brel, laquelle a été reprise plus récemment par le groupe Zebda, sous la forme d'un refrain que l'on entend comme une complainte nostalgique en référence au triste événement du 31 juillet 1914 (*) :
Demandez-vous belle jeunesse
Le temps de l'ombre d'un souvenir
Le temps du souffle d'un soupir
Pourquoi ont-ils tué Jaurès
Pourquoi ont-ils tué Jaurès."
Fin de citatation. Eh oui, j'entends de nouveau Jean Jaurès plaindre "ceux qui dans le trouble de l'angoisse, d'un tel problème, cherchent seulement une occasion d'accabler un adversaire ou de diminuer un compagnon d'armes".
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(*) Le jour de l'assassinat de Jean Jaurès.
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Ainsi va l'Afrique |
Samuel (
01/03/2006 13:46 )
À Paris / France
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J'ai suivi, sur le site de RFI, l'émission diffusée le dimanche 26 dernier, que Philippe Leymarie a consacré à Gaspard-Hubert Lonsi Koko.
L'homme a du CRAN. Dommage qu'il n'ait pas le don d'ibiquité ! |
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Les combattants de l'égalité des chances |
Arthur (
01/03/2006 19:19 )
À Paris / France
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Nos frères et soeurs qui se battent dans des partis politiques sont très souvent farouchement attaqués par leurs adversaires. Ce n'est pas du tout facile pour eux. Cérise sur le gâteau, ils se font aussi publiquement insulter par certains membres de notre propre communauté sans même chercher à comprendre les conditions dans lesquelles ils militent.
En tout cas, les personnes qui ne s'engagent pas ont la fâcheuse tendance à brutaliser ceux qui le font plus ou moins bien ou essaient d'agir selon les moyens dont ils disposent.
Nous devons apprendre à reconnaître la difficile tâche à laqulle se sont attelés nos frangins et frangines adhérents des partis politiques. Nous devons les encourager plutôt que les enfoncer davantage. Agir de la sorte, c'est faire le jeu de ceux-là même qui ne pensent qu'à nous diviser. |
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Jacques (
01/03/2006 20:59 )
À Maule / France
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Je ne me fais pas de souci pour Lonsi Koko car il est de ceux qui pèsent le pour et le contre avant d'entreprendre quoi que ce soit. L'homme connaît très bien le prix de la dignité. Pour cela, rien de ce que l'on tentera contre lui ne le découragera. Alors, faisons comme lui. Engageons-nous. Nos adversaires auront du mal à donner des coups à plusisieurs personnes à la fois. |
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Continent noir |
Ngalle (
02/03/2006 09:11 )
À Paris / France
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Lise-Laure Etia reçoit à son émission "Continent noir", diffusée sur TV 5 Monde, Gaspard-Hubert Lonsi Koko.
Jours et horaires de diffusion :
- Afrique : dimanche 5 mars 2006 à 1 h 22 (heure de Paris) ;
- Belgique-France-Suisse : lundi 6 mars 2006 à 6 h 30 (heure de Paris). |
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Merci pour tout ! |
Diop (
02/03/2006 19:03 )
À Paris / France
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Je n'ai pas grand-chose à dire, si ce n'est que de remercier M. Lonsi Koko pour le combat qu'il mène en faveur des faibles, de ceux qui, Noirs ou Blancs, sont déconsidérés pas la République française.
Que les dieux soient avec vous ! |
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Ngafula (
03/03/2006 00:08 )
À Paris / France
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Salut, à toi, ô grand Monsieur qui fait notre fierté !
Merci pour cette interview qui ne manquera pas de doper le moral de nos enfants et de redonner de l'espoir à ceux qui commençaient à désepérer. |
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Un clin d'oeil d'un Nekongo |
Kimbangu (
03/03/2006 00:14 )
À Paris / France
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Tukembidila muana Vuzi, tukembidila mfumu Lonsi Nkoku Buka. Wa vuzi lusuki muntu nzimbu.
Bon vent, muna nekongo. |
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Gaspard-Hubert Lonsi Koko (
03/03/2006 10:24 )
À Chanteloup-les-vignes / France
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Merci infiniment pour le clin d'oeil du Mfuma Nekongo qui a laissé le massage en kikongo, langue de mes parents. Il est évident que, dans certaines circonstances, l'arbre a besoin de ses racines afin de mieux s'implanter.
Encore une fois merci ! |
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