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Accalmie à Ndjamena après d'intenses combats |
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13/04/2006 15:01 )
À Gordes / France
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Qui va encore le remplace le petit demon Idriss Déby aun autre Mobutu pilleur. |
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Honte à grioo.com! |
africawakeup (
13/04/2006 16:21 )
À / Switzerland
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C'est une honte pour grioo.com de devenir la caisse de resonnace des media et officiels français.
Depuis un certain temps l'on a noté l'orientation profrançaise de votre éditorial. tout ce qui peut contribuer à véhiculer les fausses informations de la presse et des officiels français est aujourd'hui votre ligne de rédaction.
A tous les grionautes encore naifs pour des informations crédibles sur la situation au Tchad, je vous conseille de vous redirigez sur des sites tels que: www.tchad-info.net oû vous aurez des informations moins partisanes.
De toutes les façons le dictateur sanguinaire Deby s'est enfui et est actuellement refugié à l'ambassade de france d'où il emet ses communiqués de dictateur déchu.
J'en appelle aux tchadiens et à tous les africains pour ne pas jouer le jeux des intérêts français et défendre plutôt les intérêts du Tchad et de l'AFRIQUE.
Vive la nouvelle Afrique qui se construit lentement mais sûrement.
De la part d'un afrocentriste convaincu. |
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show he |
ngoufong boniface (
13/04/2006 16:22 )
À / Belgium
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dis donc, finissez avec lui
tous ces gars la doivent degager
ya en marre |
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13/04/2006 16:40 )
À Maisse / France
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13/04 :Tchad: Nos forces armées sont en train de subir des bombardements intensifs par l'avion français (Fuc)
Front Uni pour le Changement Démocratique
Communique de presse N.007
A L'opinion nationale et internationale
A l'instant où nous nous vous adressons ce message, nos forces armées sont en train de subir des bombardements intensifs par l'avion français.
Nous demandons au gouvernement français de cesser immédiatement ses attaques contre un peuple en colère contre ses dirigeants qu'il sait criminels, corrompus et dictatoriaux.
Nous prenons la communauté internationale à témoins quant à l'implication de l'armée française dans un conflit purement tchado-tchadien.
La France ne doit pas remercier le peuple tchadien de cette manière; ce peuple qui fut le premier à répondre présent à l'appel lancé par le Général de Gaule depuis Londres, pour la libération de sa patrie.
Le peuple français n'accepterait pas que ses gouvernants entreprennent des actes qui se répercuteront sur ses relations historiques avec le peuple tchadien.
Fait le 13 avril 2006
Le Porte-parole
Dr Albissaty Saleh Allazam
Tél: 0088216 311 61104
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13/04/2006 16:48 )
À Maisse / France
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23/03 :Al Bashir et Deby Itno : un jeu detrimental pour l’avenir du Tchad et préjudiciable pour les deux
A moins que le soudanais Omar Hassan al Bashir et le tchadien Idriss Deby Itno veulent nous faire croire à l’invraisemblable, le cynisme dans leur jeu diabolique se demasque et les met à nu.
Au Soudan bien qu’au Tchad, les peuples sont pris en ôtage et c’est depuis l’avènement au pouvoir de Hassan Omar al Bashir (juin 1989) et l’installation du Président Deby Itno par son parrain (décembre 1990). N’oublions pas le rôle significatif qu’a joué la Francafrique par Fonbone interposé. Dans tous les deux cas, ces hommes sont aux commandes depuis 16 ans et n’ont pas du tout brillé par leur savoir faire eu égard au développement socio-économique de leurs pays respectifs. Les difficultés qu’ils ont rencontrées à bâtir une nation basée sur la démocratie, la bonne gouvernance sont nécessairement dues à leurs mauvaises intentions et leur carence intellectuelle. Remarquez bien que ni l’un ni l’autre n’a su gérer avec harmonie. Cette maladresse a pour conséquence la deliquescence des deux états. Les deux guerres qu’ils se livrent n’augurent pas non plus un avenir meilleur pour leurs citoyens pris en ôtage et ne sachant à quel diable se vouer.
Pour le Soudan qui a peine fini avec le problème de la guérilla du Sud, Deby Itno lui crée une autre guerre qu’il a du mal à gérer et serait entrain de compromettre les acquis des accords de paix de Naivasha.
Pour le Tchad, la guerre, créée et alimentée par al Bashir et qui sévit en ce moment entre le Président Deby Itno et les dissidents tchadiens, semble perturber sa mésaventure dans la modification de la constitution tchadienne pour s’éterniser au pouvoir.
Les conséquences de ces guerres proxi ont fini par causer des pertes humaines et matérielles. Tout le monde est en ce moment témoin de la delinquence avec laquelle le dossier du Darfur est géré. Al Bashir et Deby Itno n’ont jamais joué franc jeu et ont roulé tout le monde dans leur sale farine. Au moins les Nations unies ont fini par mettre les deux aventuriers sur une liste susceptible de leur porter préjudice, même si cela doit durer dans un premier temps.
Qu’est ce qui se passe en ce moment dans l’embroglio du Tchad ?
Selon toute vraisemblance le Soudan est accusé de soutenir Mahamat Nour et jouerait toute carte pour empêcher que les dissidents tchadiens puissent monter un front commun. Aux avant dernières nouvelles, il y a dissidence au sein du Fuc. Yaya Dillo et Abakar Tollimi prennent leur distance.
Pas plus qu’une semaine plus tard, al Bashir facilite le terrain aux forces armées tchadiennes qui font incursion dans le territoire soudanais pour livrer bataille aux hommes de Dillo et de Tollimi. Selon nos sources, Mahamat Nour n’aurait pas porté secours dans les accrochages. Selon toujours ces mêmes sources, les soudanais verraient d’un mauvais oeil le fait qu’ils n’auraient pas réussi à imposer leur « homme » aux autres. En d’autres termes : ou c’est Mahamat Nour ou la pagaille et le maintien du Président Déby Itno au pouvoir pour éviter que le MLS ou le MJE ne tombent sur la tête de Omar al Bashir.
Les Soudanais doivent comprendre que ce type de comportement risquerait de compromettre les liens historiques entre les deux pays. Le peuple tchadien doit sa destinée ni aux tyrans ni à l’humeur de leur poulain mais plutôt au choix démocratique issu des élections libres et transparentes.
Ce qui turlipine c’est le fait que ni Deby Itno ni al Bashir trouvent suffisant de se diaboliser eux-mêmes mais prennent toute la sous-zone en ôtage. Pour les deux larons, des deux choses l’une : Mahamat Nour s’installe au Tchad ou les pots du MLS ou MJE au Soudan. Et comme si les deux peuples n’ont pas assez souffert, la théatralisation doit continuer.
Une chose est certaine : les tyrans ne reviennent jamais à la raison jusqu’à leur descente aux enfers. Les cas les plus édifiants ne sont pas encore enterrés dans le subconscient : Nicolae Caucescu, Mobutu cesse Seko kokou bend wa za banga, Mangistu haile mariam, Robert Guei, Charles Taylor, et Saddam Hussein.
Dr. Adoum Djimé
Etats Unis d'Amérique
Source: Alwihda -
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13/04/2006 16:49 )
À Maisse / France
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12/04 :Tchad: Le président tchadien Idriss Déby a pris la fuite cet après et les rebelles font leur entrée à N'djamena
Le Président tchadien Idriss Déby aurait prit la poudre d'escampette, mercredi vers 17H, vers une destination inconnue. Il aurait quitté N'djamena vers 17 heures en compagnie d'une force constituée de ses gardes sécuritaires en direction de la Libye, selon certaines sources. La Libye accepte d'accueillir sur son sol le président tchadien. Son épouse se trouve déjà à Brazzaville pendant que son fils Ibrahim Déby s'est enfui à Paris depuis mardi matin. Une partie importante de la famille a enjambé le Chari.
Une force importante des rebelles du Fuc est en train de se déployer aux alentours de la ville de N'djamena. Une deuxième colonne se retrouve au niveau du Pont MBalili.
Les rebelles du Fuc ont demandé aux soldats gouvernementaux de se rendre. "Tout soldat refusant de se rendre sera soumis à des lourdes peines", selon un officer supérieur du Fuc, sans toutefois préciser quelles sont les peines. Ce qui est certain, en dehors de ses plus proches "claniquement, toutes les autres tribus ont lâché le président tchadien. Mercredi matin, une cinquantaine de soldats et officiers supérieurs ont été arrêtés à N'djamena. Parmi les officiers supérieurs arrêtés figure le colonel Ahmat Fadoul Makaye, chef du bureau tactique.
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13/04/2006 16:55 )
À Maisse / France
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samedi8 avril 2006
Transparency International réclame le retour en Afrique des fonds en ayant été détournés
http://www.transparency.org/news_room/latest_news/press_releases/2006/07_04_06_nairobi_declaration
La déclaration de coopération de Nairobi sur le recouvrement et le rapatriement des richesses Africaines illégalement obtenues et mises en banque ou investies à l’étranger.
Nairobi, 7 Avril 2007
Communique de presse provisoire
Nous, les 7 représentants africains étant réunis a Nairobi, Kenya le 6-7 Avril 2006
Affirmons que tous le s peuples africains disposent du droit de l` homme fondamentale au développement ;
Constatons l’émergence d actes internationales récents tels que ‘United Nations Convention against Corruption‘ et ‘African Union Convention for the Combating of and Prevention of Corruption’, y compris les campagnes pour l’annulation de la dette mondiale , ‘Extractive Industries Transparency Initiative’, et d’autres instruments ayant pour but la création d’un ordre mondial socio-économique équitable ;
Constatons que malgré la réussite de quelques recouvrements de biens, plusieurs pays africains connaissent des difficultés quand a se faire accorder une aide légale double et simultanée pour leurs tentatives de suivre, saisir, recouvrir et rapatrier les fonds clandestinement obtenus et virer a l’étranger par leurs ressortissants et collaborateurs ;
Tenons compte de l’influence néfaste de la corruption sur les democracies fragiles africaines et les efforts entraves du peuple africain pour parvenir à un état de développement bien portant, ceci malgré des réserves immenses de ressources naturelles que Dieu nous a fait don, par inter alia attiser les conflits menés par l’exploitation illicite des ressources naturelles ;
Tenons compte que pendant des décennies plus de US$ 140 milliards ont été illégalement et vénalement obtenus de l’Afrique, par les politiciens, commerçants et autres dirigeants et déposés a l’étranger en espèces,actions et bons, l’immobilier et autres fonds.
Observons les engagements de la G8 et autres commissions sur l’Afrique ;
Convaincu que c’est avec la participation de toutes les personnes concernees que les richesses africaines dérobées peuvent être identifiées, suivies et potentiellement recouvert ;
Evoquons la Déclaration Nyanga de Mars 2001 par les 11 Chapitres de Transparence Internationale ;
Nous Déclarons Par Le Présent
1. Que non seulement c’est illégal mais également MORALEMENT REVOLTANT, qu’autant de richesses africaines soit autorisées à librement circuler dans les pays les plus riches de l’Europe, l’Amérique et le Moyen-Orient.
2. Que tandis que l’appel a l’annulation de la dette africaine soit noble et louable, c’est par inhérence incompatible de faire appel a l’annulation de la dette africaine, alors que la majeure partie de ces fonds sont a l’origine empruntes, fait IGNOBLE, et reste clandestinement investis ou mise en banque a l’étranger dans des comptes prives.
3. Que c’est d’une vulgarité criante que les individus et corporations ressortissants du ‘OECD ‘ et la G8 profitent de l’IMPUNITE malgré leurs mœurs vénales en Afrique.
4. Que les gouvernements africains et la communauté internationale devraient en premier lieu, assurer la RATIFICATION et MISE EN VIGUEUR des lois du’ United Nations Convention Against Corruption’ du ‘ African Union Convention on the Combating and Prevention of Corruption’ du ’OECD Convention Against the Bribery of Foreign Public Officials ‘ et accélérer le processus de suivi, recouvrement et rapatriement des richesses africaines volées et virées a l’étranger, y compris assurer l’etancheite des systèmes, et réclamer la coopération internationale des acteurs non gouvernementaux tels que les corporations et les institutions financières ou il y des soupçons biens fondes d’activités clandestines, et la liquidation et le rapatriement obligatoire des fonds frauduleusement acquis.
5. Que tous les pays devraient resserrer l’étau sur leurs lois gouvernants les opérations de banques, pour ainsi assurer que les fonds clandestinement obtenus des trésoreries africaines ne soit pas abrites par les banques ou des institutions financières non bancaires de ces pays.
6. Que tous les représentants africains de Transparence Internationale feront les couloirs de leurs gouvernements pour soutenir, les reformes législatives qui permettent de clore tous les échappatoires qui favorise l’obtention clandestine des fonds publiques, de punir les coupables, et la création de structure pour recevoir l’argent recouvert et rapatrie.
7. Que toutes les initiatives internationales visant a la promulgation d’un ordre socio - économique mondiale équitable, y compris les campagnes pour l’annulation de la dette africaine, devraient dans leurs campagnes préciser leur affirmations au niveau du recouvrement et du rapatriement des fonds voles des pays en voie de développement comme étant une condition nécessaire pour la réalisation d’une communauté mondiale équitable.
8. Que la formation d’une alliance stratégique comprenant toutes les personnes concernees dans le monde entier soit entamée et qui s’obstinerait a exiger le recouvrement et le rapatriement des biens clandestinement obtenus.
9. Que les Chapitres Nationaux africains de Transparence Internationale se déclare solidaires d’autres activistes qui luttent contre la corruption et qui agissent dans des conditions défavorables ou qu’ils soient.
Adopte à Nairobi, Kenya ce 7 Avril 2006.
Par :
Ghana
Kenya
Niger
Sénégal
Ouganda
Zambie
Zimbabwe
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Qui tue par l'épée... |
Mwana mboka (
13/04/2006 17:42 )
À / Belgium
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Hier, ce même DEBY et son armée ont chassé Ange-Félix PATASSE de Bangui pour installer une marrionnette dénommée BOZIZE.
L'histoire, dit-on, est un éternel recommencement. Aujourd'hui, c'est du SOUDAN, ce pays compliqué, qu'il va être chassé lui aussi.
Dommage pour lui, BOZIZE ne peut rien pour lui. Sa république centrafricaine est à ce point pauvre qu'il ne peut vraiment rien faire pour l'aider à organiser des élections à la BONGo ou à la BIYA? des élections mascarades.
Bien fait pour lui. Ils ne seront pas nombreux, même dans notre sous-région, l'Afrique centrale, à le regretter.
Quand il s'en ira, qu'il médite sur le sort qu'a connu notre chef de l'Etat, MOBUTU SESE SEKO KUKU NGBENDU WA ZA BANGA. Notre MOBUTU, comme DEBY lorsqu'il a reçu en masse des réfugiés fuyant les milices arabes soudanaises, a cru bon se refaire une santé internatioonale en accueillant les réfugiés et génocidaires hutus.
C'est de ces territoires destabilisés de l'est de mon pays que sont partis les rwandais et autres ougandais qui le chassèrent du pouvoir avec la bienveillance de tous ses petits voisins.
C'est exactement la même histoire qui se repète avec DEBY. ce dernier est en sursis. Personne n'est dupe. Le Tchad est immense comme pays. Que les rebelles l'aient traversé comme dans du beurre pour se retrouver aux portes de Ndjamena, cela veut dire qu'en face, DEBY n'a pas grand chose à opposer comme résistance. Sauf si la France qui ne tire jamais leçon de ses échecs passés, est décidée à se fourvoyer dans une nouvelle aventure sans issue.
Qu'il dégage!. |
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13/04/2006 18:40 )
À Sucy-en-brie / France
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les rebelles viennent du soudan,est ce que ça voudrait dire que le gouvernement soudanais serait derrière tout ça?
si c'est le cas alors le tchad n'est pas encore sorti de l'auberge,ils auront droit à un autre dictateur après déby. |
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CE PUTAIN DE PETROLE Il nous manque des gens intègre comme THOMAS SANKARA |
koutoubouyé (
13/04/2006 19:47 )
À Schnersheim / France
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Tous ces saloparts qui volent le petrole TCHADIEN.
Après ils viennent distribuer des cacahuets aux petits Tchadiens pour soulager leurs conscience.
Pauvre Françafrique, bientot 50 ans d' independance on est toujours au même starting-bloc, avec un gros boulet, nos dictatateurs et la France. |
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13/04/2006 22:41 )
À / France
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C'est plus facile de s'en prendre à l'européen que d'aller combattre le milicien soudanais. Surtout derriere un ecran.
Bande de niambris
C'est vrai qu'une carte de séjour au Soudan c'est pas utile. Le droit d'acces au marché aux esclaves est libre. Quant à la secu, n'en parlons pas. |
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13/04/2006 23:30 )
À Chauray / France
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L'arabisation de l'Afrique noire s'intensifie ces derniers temps ! |
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14/04/2006 00:50 )
À Chauray / France
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Très bientôt en Afrique noire les nappes seront à sec. Donc plus de pétrole à pomper. Là les anglais (Shell) les français (Total)... partiront ! |
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14/04/2006 08:39 )
À Mennecy / France
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Jacques Chirac a été à plusieurs reprises en contact avec le président tchadien Idriss Deby Itno ces derniers jours, et il consulte des chefs d’Etat africains pour faire le point sur la situation au Tchad, a indiqué son entourage jeudi.
Le chef de l’Etat a notamment conseillé à Idriss Deby, qui fait face à une offensive de la rebellion, la "saisine du conseil de sécurité des Nations unies pour rappeler le refus des coups de force", selon cette source, rappelant que la France "condamne les tentatives de coup d’Etat".
Jacques Chirac "a eu à plusieurs reprises M. Deby au téléphone ces derniers jours" et il a consulté plusieurs chefs d’Etat africains, dont le président en exercice de l’Union africaine Denis Sassou Nguesso, chef de l’Etat congolais, selon son entourage.
Il a notamment fait état de la "crainte d’interventions extérieures" dans cette offensive. "Nous nous employons à recueillir les preuves d’une telle chose", notamment par les missions de reconnaissance effectuées par des Mirage français, a précisé son entourage.
Des combats intenses ont éclaté jeudi à l’aube entre l’armée tchadienne et les rebelles du Front uni pour le changement (Fuc) autour de la capitale N’Djamena avant de se calmer en milieu de matinée, selon des sources concordantes sur place.
L’entourage de Jacques Chirac a rappelé que "les forces françaises ne sont pas impliquées dans les combats, mais sont là pour du soutien logistique et du renseignement", outre leur mission de protection de la communauté française".
Une réunion interministérielle a eu lieu mercredi à l’Elysée, réunissant autour du conseiller de Jacques Chirac pour les Affaires africaines Michel de Bonnecorse, des représentants de Matignon et des ministères de la Défense, des Affaires étrangères et des Finances, selon cette source, précisant que cette réunion visait à "faire le point de la situation".
Le Quai d’Orsay a jugé jeudi que "la situation au Tchad reste très préoccupante et évolutive" et que "des consignes de grande prudence sont maintenues pour la communauté française".
Environ 1.500 Français habitent au Tchad, la plupart dans la capitale. La France compte également quelque 1.200 militaires, déployés depuis 1986 dans le cadre du dispositif baptisé "Epervier". |
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Qui tue par l'épée... |
cafrine (
14/04/2006 11:23 )
À London / United Kingdom
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Idriss Deby lui meme est arrivé au pouvoir par un coup d 'Etat qui a chassé Hissein Habré.
C' est un juste retour des choses... |
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