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Le Liberia, un cas test en matière de développement post-conflit |
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promesses et espoir pour le Libéria |
hazy (
28/08/2006 10:50 )
À Clamart / France
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<<...Le plus important pour nous est que le Liberia aujourd\'hui représente un cas dont la résolution aura valeur de test...>>
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Prions alors pour que ce test réussisse,car un échec scéllerait un peu plus le sombre destin de l\'Afriquel en dépit du soutien(du moins déclaré ) de la communauté internationale, envers le Libéria et la sympathie dont bébéficie sa nouvelle présidente.
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<<... Outre la destruction ou l\'absence d\'infrastructures socioéconomiques, le Liberia peuplé de 4 millions d\'habitants marqués par la guerre et avec un maigre budget national de 130 millions USD, est confronté à des problèmes liés à l\'insécurité, la fuite des cerveaux, la dette,... >>
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Sans participation active, sous forme non pas de prêts, mais de dons et d\'investissements massifs à faible taux de retour de la communauté internationale, surtout des USA , nation (maraine)ayant présidé a la création de ce Pays, comme cela s\'est fait et se fait encore en Europe, pour intégrer à la communauté européenne les Pays les plus en retard et, surtout des USA , il est a craindre que tout ceci ne demeure que voeu pieux, avec de tels budgets de départ.
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<<... Doté de ressources naturelles comme le diamant et le bois, on ne peut pas dire que le Liberia est un pays pauvre, mais ironie du sort, ce sont ces énormes revenus tirés de l\'exploitation illégale des ces ressources qui ont alimenté et entretenu la sanglante guerre civile, d\'où l\'embargo de l\'ONU sur les exportations du diamant et du bois libériens... >>
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L\'ironie du sort n\'a rien a voir dans le pillage de ce pays , comme pour le reste de l\'afrique noire, ou plus généralement du tiers-monde. Ce phénomêne s\'inscrit dans une logique qui est celle de la prédation.
Maintenant est-ce que les Nations-Unies ont le pouvoir et surtout les moyens de s\'y opposer, quand on sait le poids des grandes nations(pilleuses) membres du conseil de sécurité ,et de leurs alliés ,et le peu de cas qu\'elles font des décisions des nations-Unies contraires à leurs intérêts, on est en droit de se poser sereinement la question.
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<< Tout en rappelant que la corruption reste le fléau qui empoisonne les gouvernements africains successifs dont le gouvernement inétrimaire du Liberia auquel a succédé l\'administration de Mme. Johnson-Sirleaf, l\'officiel onusien a dit que outre l\'engagement réaffirmé de l\'actuel président du Liberia à lutter contre ce vice, l\'intervention du PNUD en matière de gouvernance économique est chevillée au principe de tolérance zéro pour la corruption... >>
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Tout en se disant que cette corruption que l\'on met sans ces en avant, dès qu\'il s\'agit de l\'Afrique Noire, ne saurait tout expliquer.La corruption est aussi élevée dans les pays occidentaux (voir beaucoup plus) et pourtant on ne la rend JAMAIS responsable des difficultés économiques de ces pays...Et pourtant !!!
Il a estimé que le défi majeur était celui de la qualité des statistiques, et qu\'on doit réaliser que \"la croissance ne se traduit pas nécessairement en développement économique
Hazy
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