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Démocratie et gouvernance en Afrique |
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Développement durable |
bouf (
19/09/2006 10:23 )
À Villeneuve / France
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Le développement durable en Afrique n'a rien à voir avec les démocraties si l'on doit progresser.
Ce processus existe déjà en Afrique, aujourd'hui la langage est tout simplement modifié car la langue de Molière évolue
La production agricole des épices exotiques, des matières pemières, l'agriculture, la création d'immenses investissements de santé, la culture... l'écotourisme, l'amélioration des transports et des réseaux de circulation, l'évolution des technologies en Afrique dépendent du secteur privé...
Des milliardaires africains sont très nombreux dans le contiment, mais où sont destinés leurs fonds pourtant importants et devant fructifier et relever les conditions sociales des populations ?
Les fonds doivent être éjectés dans nos économies, dans nos pays, dans nos villes à Dakar, à Cotonou, à Douala, à Libreville, à Lagos, à Malabo,etc... et bien bien d'autres... au lieu de les placer en Occident où les capitaux africains circulent et participent à la croissance que nous n'aurons peut-être jamais !
Toutes les analyses ont prouvé et affirment que les gouvernements africains sont synomymes de corruption : le continent n'évoluera jamais !
Pour l'Afrique il n'y a plus de tests à faire, tout peut y être transposé si les acteurs socio-économiques se rassemblent pour se partager le secteur privé. Le soutien d' une jeunesse dynamique en manque de formation et de carrières viendra de ce "secteur innovateur " pour lequel de nombreux partenaires explorent les vecteurs.
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Développement dur |
Jean-Claude NABA (
19/09/2006 12:13 )
À / Germany
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Le terme "développement durable" a été suffisamment critiqué pour que l'on revienne là-dessus. Mais le fait qu'il ait fini par s'imposer montre jusqu'à quel point l'avenir de l'Afrique dépend de modes... La dynamique contenue dans le terme "développement" rend superflue tout complément à la "durable". Mais comme il s'agit de l'Afrique, on doit créer des spécificités. Les gouvernants africains du moment s'en accommodent bien, et on très bien compris l'intérêt qu'ils ont à jouer ce jeu sémantico-politique. Des séminaires sur le sujet, qu'ils soient tenus à Londres ou à Ouaga, à New York ou à Niamey, ne changent rien à la situation: des classes "dirigeantes" ont compris qu'elles pouvaient investir certains domaines et en profiter largement et durablement: LUTTE CONTRE LA PAUVRETE, LE SIDA...
En attendant le sursaut populaire qui tarde à venir, mais qui viendra inéluctablement: combien de parlements africains intègrent à leur fonctionnement la réalité plurilingue de leurs sociétés? "Le terrain" montre que penser les pays africains en terme d'ethnies est désormais par trop réductionniste. Mais c'est intellectuellement plus confortable... Et pendant que les "minorités électorales" se sucrent dans un espace formel dont les contours sont tracés par la langue francaise, les "masses laborieuses" restent confinées dans l'informel de leurs "marchés de village", leurs "vernaculaires"... |
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N'importe quoi!!!!!!!!!!!????????? |
ilann (
19/09/2006 23:55 )
À Paris / France
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Une démocratie participative et représentative....
1. Il faudrait que les chefs d'état africain ou plutôt les gouverneurs de la Francafrique veuillent bien laisser le peuple africain exprimer son opinion
2. Quand le peuple africain, lorsqu'il le peut, exprime son opinion, il faudrait que les résultats des votes soient le reflet de cette opinion.
3. Tant que les Africains ne sauront pas prendre leur destin en main et couper tous liens avec la France... par exemple, les vieux réseaux mafieux seront tjrs en place.
La démocratie participative est une bonne chose. Le Brésil l'adopte de plus en plus mais nos gouverneurs africains n'en veulent pas.
Aller demander à BBgnass si il en veut pour le Togo. Il va dire oui mais après ce qu'il vient encore de faire en nommant un PM qui ne représente même pas 5% de l'électorat togolais....C'est pour vous dire!!! Imaginez en France Chirac en période de Cohabitation nommant De Villiers comme PM...c'est la révolution !!!
Regardez le déroulement des élections au Libéria, au Gabon, au Congo, etc...etc...etc...
Et puis lorsque vous voulez parler de démocratie en Afrique, et là je m'adresse à Grioo, mettez au moins des photos d'hommes illustres...Sankra, Olympio, Lumumba pour ne citer qu'eux.
Aller nous ne sommes pas encore au bout du tunnel et la lumière me parait bien loin....
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Contraire... les ethnies limitent l'expansion ! |
bouf (
20/09/2006 21:44 )
À Rocbaron / France
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La notion d'ethnie est dangereuse... lorsque les africains dépasseront ce stade, le continent évoluera car l'exclusion est là. Contrairement à ce qu'on pense,la politique en Afrique n'améliore pas les économies africaines; au contraire elle la détruit, il faudrait mettre à l'écart les courants politiques qui sont un réel frein pour leurs programmes incertains, des réalisations non contrôlées et non planifiées qui deviennent caduques du fait d'un manque de méthodologie préalable et affichent une carence des équipes en place.
Les pays africains avanceraient pourtant de plus en plus si l'on ne dictait pas d'incendier des infrastructures, de transférer des fonds vers les pays développés, si le respect et le partage équitable de la chose publique étaient inculqués
à toutes les populations...
Une revolution s'avère indispensable pour changer les mentatités rétrogrades des hommes sans âmes qui sont des bourreaux de ce dysfonctionnements et des médiocrités dominantes en Afrique. |
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A COTE DE LA PLAQUE |
fagot (
22/09/2006 13:05 )
À / France
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Le démocratie n'est pas un produit fini exportable au besoin. Elle est le résultat d'une volonte d'un peuble de transformer son quotidien. Et ce beoin n'est possible que quant les hommes sont éduqués et instruits pour faire un choix réfléchi et non un choix par allécheance.
Il est illusoire de vouloir adapter un modèle politique, écononomique, sociale voire sociale s'il n'est pas pensé en prenant en compte son Etre profond et sa conception de la société. Sinon, on est reduit à faire du bricolage à partir des modèles importés qui d'alleurs sont sans cesse en construction. Une seule solution des de créer des hôpitaux pour soigner les malades, créer des écoles pour formes des Africains et non des Esclaves, une fois à maturité, ces vrais africains et non les aliénés comme il en existe malheureusement beaucoup, prendront les voies d'un vrai progrès de leurs sociétés. En ce moment-là on pourra parler de développement durable.
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bouf (
25/09/2006 10:30 )
À Alès / France
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L'expansion du continent semble intéresser des consultants et des chercheurs orientés vers l'Afrique mais qu' apportent -ils concrètement aux pays africains ? Le statut de l'association copié de la France qui illustre un bilan d'éternels asistés mis en place au profit des populations africaines... l'on n' avancera point ...
L'économie durable en Afrique existe depuis l'aube des temps, des aïeuls (de père en fils et de générations en générations pour la plantation, sculpture, infirmerie, piroguier...) la pratique, ainsi que des groupes de femmes africaines toujours dynamiques aujourd'hui (exemples de "nanas benz" en AOS et les "bayam sellam" en Afrique Centrale) mais il nous faut passer aux étapes supérieures pour avancer et non piétiner.
Aujourd'hui, il faut de grandes innovations en Afrique aux modèles de la Basilique de YAMOUSOUKROU, de l'Échangeur de MARCORY ou de l'usine ALUCAM, si non plus !
Des études préalables à convictions doivent donc être menées dans chacun des pays ; une réorganisation des secteurs d'activités prometteurs devrait se faire en partenariat avec divers corps professionnels.
Il nécessite surtout une formation massive des populations à tous les niveaux,. Une école pour l'amélioration des mentalités est même pioritaire... alors l'Afrique suivra ainsi la bonne direction ! |
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