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  Côte d'Ivoire : la Gbagbologie en marche
Un lièvre politique qui a réussi le tour de force de rallier tout le monde à sa fumeuse trouvaille de « dialogue direct
 
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Côte d'Ivoire : la Gbagbologie en marche

Nombre de messages
:  12
Pages:  1  

  Grioo toujours aux côtés de la françafrique agonisante ..
kasal ( 23/01/2007 09:30 )
À Asnières / France

Plus personne ne se fait d'illusion sur les positions du grioo de la françafrique.
Voici encore un article éloquant qu'ils se sont empressé de relayer.
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  Recadrage de ma réaction précédente.
kasal ( 23/01/2007 09:38 )
À Asnières / France

Malgré le titre et l'introduction de l'article, ainsi que la photo toujours la moins reluisante, le contenu reste assez objectif, pour une fois.
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ebony son ( 23/01/2007 15:37 )
À Paris / France

Pathetique ce journaleux!! grioo doit avoir honte de publier un article insultant avec des ecrits a caractères nauseeux!! un journal a la solde du sanguinaire compaoré fourré dans tout les coups louches en afrique!! a moins de ne savoir pas lire mr les webbys une salade pareille n\'a meme pas droit d\'etre cité sur un site comme le votre!
hotep!
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Nkossi ( 23/01/2007 15:46 )
À Bordeaux / France

Le temps est le deuxième nom de Dieu avait dit Gbagbo... Le temps est en train de lui donner raison
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Nkossi ( 23/01/2007 15:50 )
À Bordeaux / France

Gbagbo, Banny, ADO, Bédié, Soro : leurs défis pour 2007
Analyse – A l’aube de 2007, quelles sont les forces, les faiblesses et les stratégies des acteurs politiques ivoiriens, au regard de leurs discours de fin d’année et de leurs postures politiques ? Détails. La routine de la crise ivoirienne en a fait une tradition : depuis quelques années déjà, les chefs des différents compartiments du bloc rebelle, dans la continuité de leur stratégie de défiance envers le président Laurent Gbagbo, ont pris l’habitude de rendre publics leurs messages de fin d’année de manière officielle – comme le numéro un ivoirien, qui ne doit être dans leur esprit qu’une «partie ivoirienne» comme eux. Cet exercice atypique au regard des pratiques en cours ailleurs dans le monde permet toutefois d’avoir un peu de lisibilité sur les projections et les stratégies des différents acteurs en début d’année. Il constitue une sorte de «rentrée politique». Leurs proclamations et leurs silences en disent long sur les calculs des différents états-majors qui se disputent l’hégémonie politique en Côte d’Ivoire.

Gbagbo : maintenir et conforter la «reprise en main»

Les débats et polémiques autour de l’après octobre 2006 nous ont permis de voir l’entrée en scène d’un Laurent Gbagbo nouveau. En retrait volontaire depuis la nomination de Charles Konan Banny à la Primature, face à une conspiration qui visait «à le mettre à l’écart» (selon l’expression de ses adversaires internes et externes), le président de la République a choisi de renouer avec la combativité qui avait souvent été la sienne par le passé. Activisme diplomatique tous azimuts en Afrique et dans le monde, discours musclés, etc… Tout y est passé. Au final, le président ivoirien a réussi à rallier des soutiens dans le monde. Le projet de résolution onusienne piloté par la France a été amoindri grâce à un plaidoyer ivoirien qui a convaincu, dans certains de ses aspects, des membres permanents du Conseil de sécurité comme la Chine, la Russie et les Etats-Unis. La résolution 1721 est arrivée, moins ravageuse et provocatrice que prévu mais toujours minée par des formulations polysémiques. Gbagbo a maintenu, dès le vote de ce texte, une attitude combative en mettant la Constitution au centre du processus de paix et en avertissant que les dispositions de la 1721 contraires à la Loi fondamentale ne seraient pas appliquées. Il a annoncé un autre plan de sortie de crise et appelé les populations à lui transmettre leurs suggestions.
Ceci dit, il était, de fait, dans une situation assez inconfortable. Fallait-il jouer le «bon élève» de la communauté internationale afin de ne pas troubler une nouvelle «idylle» avec des pays puissants du Conseil de sécurité ou rejeter un texte final où seuls les points les plus scandaleux du projet français ont été gommés ? La gêne de Gbagbo s’est lue à travers les longues semaines qu’il a prises pour livrer les détails de son «plan alternatif» et même à travers son discours du 19 décembre, dans lequel on pouvait lire le désir de ne pas sortir toutes ses cartes, de maintenir le flou pour pouvoir ajuster sa stratégie en fonction de facteurs externes comme les départs de Kofi Annan et de Jacques Chirac de la Maison de Verre et de l’Elysée…
Ceci dit, les propositions de Gbagbo visaient à faire comprendre à tout un chacun qu’il reprenait l’initiative – et qu’il était désormais hors de question de laisser seul à la manœuvre un Premier ministre discrédité par ses intrigues.
La proposition la plus forte exprimée le 19 décembre était, assurément, le «dialogue direct» avec la rébellion. Une proposition qui avait commencé à se faire entendre lors de la dernière visite de Thabo Mbeki en Côte d’Ivoire et au Burkina Faso. Dans ses vœux, Gbagbo a confirmé et justifié l’axe fort de ses «propositions de sortie de crise». «La résolution 1721 et les débats qui ont eu lieu autour de son adoption, sont utiles à la résolution de la crise ivoirienne. Toutefois, aujourd’hui, au regard de l’expérience tirée de l’application des résolutions et accords passés, il importe qu’au-delà de l’établissement d’un dialogue global, il s’établisse un dialogue particulier et spécifique avec ceux qui ont pris les armes. C’est pourquoi je demande à la communauté internationale et en particulier aux pays voisins, d’aider à l’établissement et au succès d’un tel dialogue», a déclaré le président Gbagbo. L’évocation des «pays voisins» vise particulièrement le Burkina Faso et Blaise Compaoré, parrain historique des rebelles. L’analyse du président Gbagbo est que le maître de Ouagadougou a compris que le départ de l’Elysée de son soutien principal, Jacques Chirac, pourrait changer la donne. A défaut de réussir une opération de renversement de Gbagbo, Compaoré – affaibli au plan interne avec la dernière tentative de coup d’Etat – pourrait vouloir être au rendez-vous des faiseurs de paix. En 2007, le challenge du président Gbagbo sera de démontrer à tous la pertinence de son plan de paix par rapport au canevas «made in France» que constitue la résolution 1721.

Banny, ADO, Bédié : lutter contre le spectre de la marginalisation

La théorie du «dialogue direct» professée par Gbagbo est un danger pour trois hommes. Le Premier ministre Charles Konan Banny et les deux «fortes têtes» du RHDP, Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié.
Absent pour l’instant du terrain des «vœux à la Nation», Charles Konan Banny commence l’année affaibli. Par la dégradation de ses relations avec un Laurent Gbagbo qui s’est rendu compte de sa duplicité fondamentale lors des manœuvres d’avant le 31 octobre 2006, durant lesquelles le «Primus» s’est rangé armes et bagages derrière le président français Jacques Chirac. Par sa participation active à «la révolution blanche» co-organisée avec le RHDP et dont le but était de déstabiliser profondément le président de la République à travers des manifestations de rue visant prétendument à protester contre la réintégration dans leurs fonctions de Marcel Gossio, directeur général du Port, Gnamien Konan, directeur général des Douanes et Pierre Amondji, gouverneur du District d’Abidjan. Par l’échec piteux de cette «révolution blanche». Comment agir désormais face à un président Gbagbo qui a refusé de l’affronter pour mieux le banaliser ? Comment agir alors que la rébellion, son alliée, bloque le déroulement des audiences foraines , l’empêchant ainsi de présenter une «avancée» à une communauté internationale pourtant prête à chanter ses éloges à la moindre percée ? Les prochains jours nous diront comment Banny répondra à ces interrogations.
Quant à Bédié et à Ouattara, ils sont tout autant ridiculisés par l’échec de l’opération de défiance contre le président Gbagbo. Ils apparaissent d’autant plus sonnés que la montée en épingle de Banny par la France officielle avait déjà relégué leur tandem plein d’arrière-pensées au second plan. Les sondages commandités par l’ONUCI et la Primature, qui ont montré leur affaiblissement politique inexorable, ajoutent à leur désespoir. Pour rebondir, ils n’ont rien trouvé de mieux que la diabolisation tous azimuts du numéro un ivoirien. «Nous sommes, en réalité avec le FPI, dans une logique de destruction et de mort», fulmine par exemple Henri Konan Bédié, qui essaie de faire vibrer la fibre nostalgique des Ivoiriens et de capitaliser comme il peut les acquis de Félix Houphouët-Boigny, son prédécesseur, qui ne sont pourtant pas de son fait. Etrangement plus modéré dans son propos que Bédié, Ouattara affirme tout de même que les militants du RHDP qui sont descendus dans la rue dans le cadre de «la révolution blanche» ont été «froidement abattus». Visiblement conscient de l’affaiblissement de son appareil partisan, notamment face à une rébellion devenue plus riche que le RDR, ADO insiste dans ses vœux sur la redynamisation du RDR.

Soro : jouer plus que jamais son équation personnelle

Il n’est pas candidat à la présidentielle et a toujours refusé de transformer la rébellion que des mains invisibles et peu courageuses lui ont confiée en appareil électoral. Il est donc menacé de banalisation au moment du désarmement, c’est-à-dire incessamment, si la résolution 1721 est appliquée.
Pourtant, Guillaume Soro apparaît en ce début d’année comme l’acteur du bloc rebelle le moins fragile. Conforté objectivement par le fait qu’il trône dans le Nord et l’Extrême-Ouest du pays, sous la protection des forces françaises, remis en selle par l’offre de «dialogue direct» de Gbagbo, Soro joue les jeunes filles convoitées dans ses «vœux». S’il maintient un ton d’opposition, il met un bémol à ses critiques contre le président Gbagbo. S’efforçant de polir son image, en justifiant comme il peut la rébellion dans une sorte de perspective historique. Il tente de se poser en homme d’Etat en évoquant ses projets – sans doute chimériques en grande partie – pour son proto-Etat.
Le plus important reste qu’il ne rejette pas, loin de là, la main tendue de Gbagbo. Il en est flatté, même s’il veille à affirmer, à l’usage de la France, du RHDP et de Banny, son soutien à la 1721. «Depuis quelques temps, il est fait échos dans la presse de négociations entre les Forces Nouvelles et le Chef de l’Etat. Je tiens à dire que de telles négociations n’ont jamais eu lieu. En revanche, le Chef de l’Etat ivoirien a sollicité son homologue du Burkina Faso, Son Excellence Monsieur Blaise Compaoré, pour souhaiter des négociations directes avec les Forces Nouvelles. Cette sollicitation a été reprise et rendue publique par le Chef de l’Etat lui-même, le 19 décembre 2006 dans une intervention télévisée. Je sais que les Ivoiriens sont en droit d’être surpris par ce subit revirement, que rien ne laissait présager. Quant à nous, Forces Nouvelles, depuis le début de la crise, nous avons toujours été aux rendez-vous de la concertation et du dialogue. Tantôt demandeurs, voire quémandeurs, de Lomé à New York, en passant par Linas Marcoussis, Accra et Pretoria, nous n’avons jamais manquer une seule occasion de dialoguer. Toutes nos participations aux différents sommets sur la Côte d’Ivoire doivent être inscrites sur la longue liste de la volonté continue qui nous anime de privilégier la voie de règlement de la crise de notre pays, par le dialogue. Ce dialogue aurait du venir plus tôt ! Nul n’a le droit de refuser le dialogue et la concertation, si l’objectif poursuivi est la recherche de la paix. Toutefois, ce dialogue ne peut être envisagé en dehors de la Résolution 1721. Il me semble donc urgent, avec la participation de tous, de mettre en œuvre pleinement cette résolution».
Guillaume Soro profite de l’appel du pied de Gbagbo pour tenter d’engager une opération dont l’objectif est la conquête de l’hégémonie au sein de l’opposition. Il critique ainsi vivement le RHDP, en rappelle aux mânes du G7 et appelle des alliés qualifiés en creux d’incompétents à faire leur autocritique. Il se pose en recours pour une opposition sans imagination. «La main tendue de l’autre camp aux Forces Nouvelles, doit imposer une autocritique à l’alliance du G7. Cette alliance existe-elle vraiment encore ? Est-elle sincère ? A l’occasion du processus de désignation d’un nouveau Premier ministre au lendemain du vote de la Résolution 1633 en octobre 2005, le remue-ménage et la multitude de candidatures issues du G7 ont mis en exergue quelques signes évidents de fébrilité. Nos alliés doivent se débarrasser du complexe de la rébellion. Seule une opposition unie, dans une alliance structurée avec des objectifs communs et précis peut constituer la véritable alternative en Côte d’Ivoire. Le peuple ne nous pardonnera pas de manquer une telle opportunité. C’est pourquoi, au nom des Forces Nouvelles, j’invite l’ensemble du G7 à une concertation urgente, à ce tournant décisif de l’histoire de notre pays».
Ces propos font-ils de Soro un interlocuteur crédible pour Gbagbo ? Pas vraiment. Ils montrent juste qu’il veut se poser en acteur politique autonome, jouant des différentes opportunités qui se présentent à lui pour continuer d’exister après la guerre. Est-ce son vrai visage ou un rôle de composition ? Peut-il s’affranchir de la France, de Ouattara, de Bédié et de Banny pour tracer son sillon ? Réponse en 2007.

Théophile Kouamouo kouamouo@yahoo.com
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  LA VOYOUCRATIE EN MARCHE
yuotam ( 23/01/2007 20:30 )
À Dossenheim-sur-zinsel / France

Déchets toxiques s'en fou la mort.

Charnier a gauche, charnier a droite, s'en fou la mort.

Des milliards dans les armes, alors que des mamans crèvent avec leurs bébés dans le ventre, faute de césariennes et bloc opératoires.

Des étudiants sur le campus règle une histoire de simple élection a coup de kalachs, c'est quoi encore cette connerie

Des étrangers qui bradent leur maison pour fuirent ce pays, fruit de nombreuses années de travail, c'est quoi encore cette forme de spoliation.

Par la faute de démagogue véreux, ce seul pays d’Afrique havre de paix, ou il y avait un semblant de tolérance, tout cela partir en couille.

Entre les indigènophobes et les indigénophiles la connerie a vraiment de la saveur en Côte d'Ivoire et en Afrique.

Qui a peur des élections, one man, one vote, un homme une voix, une voix un homme, la célèbre phrase de Nelson MANDELA sous l’apartheid.

Qui dit mieux !!!
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  yuotam, du respect pour MANDELA
kasal ( 23/01/2007 23:41 )
À Asnières / France

Du respect pour MANDELA. Ne pas exploiter ses paroles dignes à l'avantage des moutons suiveurs de la françafrique. Celui là n'était pas un vendu de cette Françafrique.
Et je vous rappelle qu'en Afrique du Sud, les traitres étaient supliciés au pneu incendié, ce qui vaut bien tes charniers, soit disant.

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  Kasal du respect pour le peuple IVOIRIEN
yuotam ( 24/01/2007 09:05 )
À Dossenheim-sur-zinsel / France

Tu es entrain de nous dire que le peuple Ivoirien, n'est pas mur ou capable de savoir par les élections, qui choisir.

Si le peuple choisie un mouton suiveur, comme tu dit françafricaine, qu’ elle est ton problème.

Le peuple est souverain, et si le peuple est court-circuité, c'est l'anarchie, c’est le bordel organisé.

c'est l'image que donne la Côte d'Ivoire d’aujourd’hui .

Kasal, je suis sur qu’un jour ce peuple Ivoirien que tu méprise, vas suppliciés au pneu incendié tes petits copains escadrons de la mort.

Attend de voir venir, patience et longueur de temps font plus de force que rage.
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YETNA ( 24/01/2007 18:07 )
À Brooklyn / United States

PAR CURIOSITE J'AI VOULU SAVOIR QUI SE CACHAIT DERRIERE CES ARTICLES NAUSEEUX ET HONTEUSEMENT FRANCAFRICAINS QUE PUBLIE REGULIEREMENT GRIOO, ET JE SUIS TOMBE SUR LE JOURNAL LEFASO. JE SUIS ALLE SUR LE SITE DE CE JOURNAL, ET BIEN D'AUTRES. LA J'AI COMPRIS QUE LE PRESIDENT SANKARA ETAIT BIEN MORT SURTOUT QUE LE CRIMINEL QUI L'AVAIT REMPLACE A LA TETE DU BURKINA AVAIT FINI DE TRASFORME PROGRESSIVEMENT LES MENTALITES, DE LA FIERTE RESPONSABLE A LA SERVILITE NEOCONIALISTE LA PLUS HONTEUSE. AUSSI PAS ETONNANT QUE LES PAPIERS SERVIS PAR LEFASO DEFENDENT LES POSITIONS NEOCOLONIALES LES PLUS DEGOUTANTES. JE M'ETONNE QUE GRIOO QUI A LA PRETENTION D'ETRE UN SITE PANAFRICAIN SE LIVRE A UNE COLLUSION AVEC UN JOURNAL QUI DEFEND DES IDEES A MILLE LIEUX DE L'IDEAL PANAFRICAIN. DE GRACE GRIOO ARRETEZ DE NOUS SERVIR LES IDEES NAUSEEUSES DES NEOESCLAVAGISTES.
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  Très respectable peuple ivoirien, mais pas pour les raisons de Yuotam
kasal ( 24/01/2007 18:42 )
À Asnières / France

Cher yuotam,
Le peuple ivoirien est sans aucun doute le plus brave et le respectable du moment. C'est le seul qui est en passe de mettre la françafrique à genous.
Aucun homme seul, ni un clan ne pourrait être capable d'une telle prouesse, c'est donc le peuple dans sa majorité qui s'est dressé.
Les élections auront bien lieu en, mais pas sous le contrôle frauduleux de ta françafrique bien aimée comme cela avait toujours été le cas jusqu'ici dans tous les pays qu'elle tient en laisse. Peu importe qui sera élu mais ces élections là seront bien transparentes et hors de contrôle de tes amis françafricains.
Vive la Côte d'Ivoire et Vive l'Afrique.
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  Kasal Qu'elle respect pour le peuple IVOIRIEN
yuotam ( 25/01/2007 09:20 )
À Dossenheim-sur-zinsel / France

Dès qu'ils descendent dans la rue pour dire non, a une décision arbitraire de votre démagogue on leur tirent dessus a balle réel, et a tire tendu, et du coup augmentant le nombre de deuil dans les familles.

Alors que votre démagogue dans l'opposition a l' époque, quand il se nourrissait de banane braisée sur le trottoir, et quand il manifestait dans la rue pour dire qu'il a faim personne ne lui a tiré dessus a ce que sache.

Continuer a vous foutre de la gueule des Ivoiriens en disant c'est la faute de y et de z.

Continuer a prendre votre vessie pour des lanternes, en voulant éclairer le peuple Africain, alors que vous n'étés même pas capable d'être la tête d'un chat en Côte d'Ivoire, et vous voulez être les yeux d'un éléphant Africain.

Dite a votre démagogue d'arrêter de lire machiavel, ça ne prend plus sa connerie de vouloir rouler son petit monde dans la farine.

Qu’ il joue avec ses petits bénit oui-oui qui entourent le roi petto dans son palais.
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panafricain ( 26/01/2007 23:55 )
À Paris / France

A vous lire, on comprend pourquoi il y a guerre en Côte d'Ivoire. Une véritable bande d'excités!!! Relisez vous une minute svp...
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