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La synthèse économique et financière au 12 Juillet 2004
14/07/2004
 

Retour de la synthèse en ce début du mois de Juillet
 
Par Cyrille Nono
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Analyse des marchés financiers au 11 Juillet 2004

Bonjour, la synthèse des marchés financiers en Afrique est de retour cette semaine. Avec un nouveau service supplémentaire, la présentation des cours des principales devises d’Afrique subsaharienne (voir plus bas)

Les marchés actions africains évoluent dans des marges relativement étroites depuis un mois, date de notre dernière synthèse des indices boursiers. A l’exception notable des places financières zimbabwéennes (+35,9%) et zambiennes (+15,2%). Au Zimbabwé (voir synthèse économique plus bas), les perspectives macroéconomiques sont nettement plus favorables ce qui favorise une croissance plus saine du marché actions.

En Zambie où l’indice principal, le LUSE a atteint ces dernières semaines un point haut historique sur des volumes eux aussi en nette progression, la hausse est portée par des valeurs industrielles telles que Chilanga Cement, National Breweries, Bristish Tobacco, Zambian Sugar, Farmers House, etc. Très clairement, les titres industriels qui publient actuellement leurs résultats intermédiaires, tirent profit de la très forte hausse des prix des matières premières exportées par le pays depuis un an, ainsi qu’à une moindre échelle de l’amélioration de leur compétitivité interne. Par exemple, le cuivre, le métal le plus exporté par le pays, a vu son cours progresser de 75% depuis une année.

Ailleurs sur le continent, c’est la consolidation avec des évolutions des places financières depuis un mois contenues dans une marge de +/- 3%.

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L'évolution des indices actions africains



Les cours des devises africaines au 09 Juillet



La Synthèse économique de la quinzaine au 11 juillet

Dans l’activité des logiciels, Cisco Systems, société américaine spécialisée dans les infrastructures de communication, a annoncé le 03 juillet dernier avoir été choisi par l'Etat Ethiopien pour réorganiser son infrastructure télécom, ceci dans une volonté de relancer la croissance du pays. Le nouveau réseau utilisera la plate-forme ONS 15454 SDH Multiservice de Cisco, permettant la fourniture de services voix et données de nouvelle génération.
www.cisco.com

Air Sénégal  
Air Sénégal
© air-senegal-international.com
 

Dans les transports aériens, la compagnie maroco-sénégalaise Air Sénégal International (ASI) a annoncé cette semaine avoir réalisé en 2003 un chiffre d'affaires de 52 milliards de francs CFA (plus de 79 millions d'euros) et compte acquérir un "nouvel avion de nouvelle génération" en 2005.
Selon le texte publié, les résultats financiers de la compagnie pour l'exercice 2003 ont été examinés le 25 juin dernier à Dakar, lors d'une réunion du Conseil d'administration d'ASI. Il en ressort une très nette progression de l’activité enregistrée (+70%) par rapport à l'exercice précédent".
La compagnie a transporté en 2003 "près de 360.000 passagers" contre 250.000 l'année précédente". En outre, "80% des vols sont partis à l'heure", affirme le communiqué.
Les administrateurs de la société ont par ailleurs décidé d'acheter un Boeing 737-700 "de nouvelle génération", doté de 114 sièges et dont la livraison est prévue en juillet 2005, d'après la même source.
L'achat de cet appareil représente un "investissement d'environ 55 millions de dollars (environ 30 milliards de FCFA)", dont le financement est garanti par une banque américaine (Exim-Bank) "à des conditions de prêt très avantageuses", ajoute le texte, sans précision sur ces conditions.
Selon le communiqué, les administrateurs envisagent également d'établir des vols directs Paris (France) et Saint-Louis (nord du Sénégal) "dès le début de la saison touristique prochaine". Cette saison commence au Sénégal généralement en novembre pour s'achever en mai-juin.
ASI, créée en 2001, est détenue à 51% par la Royal Air Maroc et à 49% par l'Etat sénégalais
www.air-senegal-international.com

Air Gabon  
Air Gabon
© http://postcard.collection.online.fr
 

Ultime tentative de sauvetage pour Air Gabon

Accablée de dettes, menacée d'abandon par ses fournisseurs, délaissée par sa clientèle, la compagnie nationale Air Gabon vient d'engager un plan de redressement drastique présenté comme l'ultime chance de réanimer la société, au bord de l'asphyxie financière.
Propulsé au chevet de la compagnie au perroquet vert il y a trois mois, le nouveau directeur général, Jérôme Ngoua Békalé, en a dressé cette semaine, lors de son installation officielle, un portrait sans fard.
"Air Gabon est une compagnie en très mauvais état, plombée par une dette énorme de 28 milliards de francs CFA (60 millions d'euros) ", a asséné M. Ngoua Békalé. "A mon arrivée, elle ne pouvait plus assurer à sa clientèle les prestations qu'elle est en droit d'attendre (...), les salaires de son personnel n'étaient plus versés dans les délais et ses fournisseurs faisaient planer à tout moment la menace d'un arrêt de l'exploitation".
A l'origine de ce piqué vertigineux, la crise économique bien sûr, mais surtout une très mauvaise gestion. Née en 1977 de la volonté du président gabonais Omar Bongo, Air Gabon s'est lentement brûlé les ailes au soleil de ses prétentions internationales. "A sa création, la seule ambition de la compagnie était de s'imposer à tout prix dans la cour des grands", relève le président du syndicat des personnels d'Air Gabon (Sypag), Maixent Ndong Odzamé. "Nos dirigeants n'ont découvert la notion de rentabilité que très récemment".

Le président gabonais Omar Bongo  
Le président gabonais Omar Bongo
© http://us-africa.tripod.com
 

Dès 2000, un audit avait tiré la sonnette d'alarme, dénonçant pêle-mêle sa flotte d'avions vieillissants, hors de prix à entretenir, ses tarifs trop généreux et ses lignes de prestige ruineuses. Installé aux commandes de la compagnie début 2003 pour tenter de lui redonner un peu d'altitude, Emmanuel Nzé-Békalé a pendant seize mois tiré de toutes ses forces sur le manche à balai. Plan de rigueur financière, discipline tarifaire, tentative de mettre fin aux entorses à la régularité, insistance sur la ponctualité des vols... tous les paramètres ont été modifiés. Mais sans les résultats escomptés.

"Ces actions ont commencé à porter leurs fruits. Les pertes ont été considérablement réduites pendant l'exercice 2003", plaide aujourd'hui l'ex-PDG. "Malheureusement, ces efforts ont été brutalement remis en cause par une série d'événements graves". Il y eut d'abord la perte d'un Boeing 737, victime d'une sortie de piste en décembre 2003. Puis un conflit avec plusieurs fournisseurs qui, faute d'être payés, ont suspendu leurs prestations. Le tout dans un climat social lourd, les salaires étant versés avec des mois de retard. Face à la gravité de la crise, l'Etat gabonais, unique actionnaire, a alors appelé à la rescousse un "ex" de la compagnie, l'ancien ministre des Transports Jérôme Ngoua Békalé, avec pour mission de tailler dans le vif.
"Mon objectif est d'optimiser les recettes et de réduire le nombre d'heures de vol", affiche-t-il. Les dessertes peu rentables de Dubaï, Londres et Bruxelles viennent ainsi d'être suspendues. Mais plus que tout, Air Gabon a un besoin vital d'argent frais. "Il nous faut le soutien total de l'Etat. Sinon, on ne s'en sortira pas", assure Maixent Ndong Odzamé. Conscient du danger, le gouvernement a promis toute son aide. "L'Etat a commencé à régler sa part des dettes de la société", assure la ministre des Transports, Paulette Missambo, en faisait miroiter la perspective d'une privatisation et l'arrivée de capitaux frais. Toutes manches retroussées, le nouveau patron se veut résolument optimiste. "La situation est grave mais la compagnie a repris des couleurs", se félicite M. Ngoua Békalé. Surtout, il veut croire que l'Etat ne le lâchera pas. "Air Gabon est un symbole de la souveraineté nationale. Son échec aurait un impact considérable".

L'ASECNA  
L'ASECNA
© BBC
 

Transports aériens suite : L’ASECNA a un nouveau directeur général
Le Tchadien Mahamat Youssouf (49 ans), jusque là Directeur des Etudes et des Orientations stratégiques au siège de l'ASECNA à Dakar (Sénégal) succédera le 01er Janvier prochain, au Nigérien Ousmane Issoufou Oubandawaki, comme Directeur Général de l'Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne.
Le Tchadien qui totalise une bonne quinzaine d'années de présence à l'ASECNA, où il est entré avec un diplôme d'Ingénieur de l'Aviation Civile, l'a emporté par 10 voix, contre 6 au Directeur Général actuel et 1 voix au candidat ivoirien.
De source officieuse, Mahamat Youssouf aurait réuni autour de sa candidature les suffrages de son pays, le Tchad, du Cameroun, de la Centrafrique, du Congo, du Gabon, de la Guinée Equatoriale, tous de l'Afrique Centrale dont il est le ressortissant ; il aurait ensuite bénéficié, en Afrique de l'Ouest du soutien, entre autres, du Burkina Faso, du Mali, du Togo et des Comores en Afrique de l'Est et dans l'Océan Indien.
L'ASECNA a été créée le 12 Décembre 1959 à Saint-Louis du Sénégal ; son siège est à Dakar (Sénégal) ; elle gère un espace aérien de 16,1 millions de km2, soit 1,5 fois la superficie de l'Europe.
www.asecna.com

Tiomin  
Tiomin
© tiomin.com
 

Le groupe minier canadien Tiomin a signé en début de semaine avec le Kenya le contrat d'un permis d'extraction de titane sur le littoral de l'Océan Indien à compter de 2006.
Le contrat, portant sur un bail de 21 ans pour 150 millions de dollars, a été signé par le ministre kényan de l'Environnement et des Ressources naturelles, Kalonzo Musyoka, et le président de Tiomin, Jean-Charles Potvin.
"C'est la première concession minière de cette importance signée par le gouvernement kényan depuis 40 ans", a souligné M. Musyoka.
Les négociations, en cours depuis 9 ans, achoppaient sur les garanties pour l'environnement et les compensations financières à accorder aux villageois expropriés.
Le permis obtenu par le groupe basé à Toronto porte sur un peu plus de 1.000 hectares de terres peu cultivées, dont la plupart ne sont pas fertiles, dans le district côtier de Kwale.
Tiomin cherchait à obtenir ce permis du gouvernement depuis 1995, pour extraire quelque 3,2 milliards de tonnes du minérai dont est issu le titane, dans le district côtier de Kwale, pour un investissement de près de 680 millions de dollars.
L'exploitation commencera sur trois sites, pour un investissement initial de 300 millions de dollars, a indiqué M. Potvin.
Tiomin a finalement accepté de payer une compensation d'un peu plus de 2.000 dollars (1.666 euros) par hectare à chacune des 450 familles expropriées, au lieu des quelque 250 dollars initialement prévus. Le groupe paiera également les arbres arrachés pour l'exploitation minière, les maisons et les récoltes perdues.
"Tous les efforts ont été consentis afin que ce projet respecte toutes les lois existantes ainsi que les principes du développement durable, et qu'il apporte des bénéfices tangibles aux collectivités locales et au Kenya dans son ensemble", a déclaré M. Musyoka.
Le titane est notamment utilisé pour la fabrication de moteurs d'avions et de missiles pour sa résistance à la chaleur et à la corrosion.

www.tiomin.com

Le Zimbabwe  
Le Zimbabwe
© cia.gov
 

L’économie zimbabwéenne se porte mieux

L'économie en crise du Zimbabwe a enregistré un mieux cette année avec une nette décrue de l'inflation, un meilleur rendement agricole et un ralentissement de la baisse du Produit intérieur brut (PIB), selon une étude réalisée par une importante banque sud-africaine.
Dans un rapport publié cette semaine, la South Africa's Stanbic Bank estime qu'un revirement de l'économie est à attendre en 2006, après les élections parlementaires prévues l'année prochaine qui devraient être remportées par le parti au pouvoir du président Robert Mugabe.
"Le PIB devrait baisser de 8,5% en 2004, moins qu'en 2003 où il a enregistré une diminution estimée à 13,2%", selon cette étude communiquée en fin de semaine.
Le rapport ajoute que les mesures de la Banque centrale pour contrôler une inflation galopante -- dont la mise en oeuvre d'un marché des devises et de taux d'intérêt réduits pour "des projets jugés économiquement productifs "-- ont eu de bons résultats.
"L'impact de ces mesures a été un déclin rapide de l'inflation d'un peu plus de 600% (fin 2003) à moins de 450% en mai 2004", précise-t-il.
"La Banque centrale a fixé l'objectif d'un taux d'inflation inférieur à 200% pour la fin de l'année et le but sera probablement atteint grâce à la combinaison de prêts à taux réduits pour les activités non qualifiées et un accès amélioré aux ressources agricoles".
Le Zimbabwe est depuis ces dernières années soumis à une grave instabilité politique, économique et sociale.


L'inflation n'a cessé de flamber passant de 55,9% en 2000 à 71% l'année suivante pour atteindre 600% deux ans plus tard.
Le pays a également été en proie à de sévères pénuries alimentaires causées en partie par la sécheresse et par une redistribution controversée des terres dépossédant les propriétaires de la minorité blanche du pays.
Le gouvernement de Mugabe a affirmé que cette année il y avait assez de nourriture pour toute la population, mais début juin un négociant en céréales dépendant de l'Etat, cité par les médias, a affirmé que le Zimbabwe importait des produits alimentaires.
Selon le rapport de Stanbic, le secteur agricole a "subi un grave déclin dû aux effets combinés de la sécheresse et du programme de redistribution des terres".
"Il semblerait à présent que le déclin a été stoppé et un retour à une croissance positive, sur une base faible, est probable en 2005", poursuit la banque dans son étude, ajoutant que "l'approvisionnement alimentaire s'est amélioré avec une augmentation de la production des petits fermiers grâce aux pluies et à un meilleur accès aux ressources agricoles".

www.stanbic.com

Sonatel  
Sonatel
© sonatel.com
 

Le reste de l’actualité en bref : Télécoms au Sénégal, Dette Africaine

Fin du monopole de la SONATEL dans les télécommunications fixes au Sénégal le 20 juillet prochain. De nouveaux opérateurs pourront à cette date proposer de nouveaux produits et services dans le pays. A ce jour, le secteur représente 6% du Produit intérieur brut et contribue pour plus de 4% à la création des emplois salariés, tant dans le secteur formel que dans le secteur informel dans le pays.
Selon le gouvernement, la priorité reste l'amélioration du taux de desserte rurale (encore faible dans le pays) ou le développement de l'accès à l'Internet.

www.sonatel.com
www.sentel.sn
www.art-telecom-senegal.org


Enfin, le principal conseiller économique du secrétaire général des Nations Unies Koffi Annan, Jeffrey Sachs, a appelé cette semaine à Addis Abeba dans le cadre d'une interview à la chaîne britannique BBC, les nations les plus riches à annuler l’intégralité de la dette des pays les plus pauvres.
« Les dettes des pays pauvres sont insurmontables, si les pays riches ne peuvent pas les annuler , je suggérerais aux pays pauvres de le faire eux-mêmes » , le diplomate poursuit : « L’Afrique devrait dire : Merci beaucoup mais nous avons besoin de cet argent (le service de la dette) pour satisfaire les besoins élémentaires (santé, éducation, accès à l’eau) de nos enfants qui meurent sous nos yeux

Le service de la dette des pays africains (les intérêts que payent chaque année les différents pays) s’élèvent à 200 milliards de dollars par an.
Une telle idée trouve depuis peu un écho favorable auprès de certaines chancelleries occidentales. Quelques jours avant le récent sommet du G8 aux Etats-Unis, le ministre des Finances britannique Gordon Brown avait d’ores et déjà émis une idée voisine, malheureusement restée sans succès.
www.un.org

       
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