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Prostituée (et droguée) africaine en Suisse
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oeil-sud.ch |
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Alors que partout en Afrique plus d’un million de visas sont refusés tous les jours aux citoyens africains désirant immigrer en toute légalité en Europe, pas mal des visas plus ou moins illégaux sont attribués dans les grandes villes africaines au bénéfice de candidates à la prostitution dans des métropoles européennes réputées.
La Suisse en tête de classement car reconnue depuis belle lurette comme étant le fief de la prostitution, du proxénétisme et de la vente de la drogue par les africains, se voit aujourd’hui rattrapée par la France où l’on aperçoit des camions tout le long du très célèbre hippodrome de Vincennes connu pour ses courses hippiques, suivie des Pays-Bas, pays offrant beaucoup de liberté, visité notamment pour ses coffee shop où l’on peut se procurer de la drogue et des stupéfiants à volonté. Mais il y a aussi l’Italie avec ses fameuses vitrines où il est possible d’admirer à souhait l’anatomie féminine et l’Espagne où l’on retrouve au lieu-dit Las Ramblas à Barcelone, des africaines qui ont accaparé la zone allant jusqu’à en venir aux mains dès qu'elles remarquent la présence d’une prostituée blanche.
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« Vendre son corps en pleine ville dans un camion éclairé par une lampe tempête que l’on n’utilise plus que dans quelques rares villages perdus de l’Afrique,… » |
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La goutte d’eau qui fait déborder le vase est La Plaza Del Sol à Madrid où celles-ci s’alignent le long des immeubles incitant ainsi les passants et les responsables de famille qui y habitent à venir ou descendre se servir car les prostitués il y en a de toutes les couleurs et de toutes les tailles. Ce qui a d’ailleurs entraîné une manifestation de protestation de la part des mères de famille de ce quartier qui demandaient au gouvernement espagnol de faire partir ces « personnas non grata » comme elles les qualifient.
Aussi, nous n’oublierons pas de citer toujours à Madrid le très célèbre secteur Casa Del Campo où les prostituées et leurs clients n’hésitent pas à se donner en spectacle à l’air libre au vu et au su de tout le monde, même du public le plus jeune.
Aujourd’hui les grandes interrogations qui se posent sont celles de savoir sur quels critères sont donnés les visas en Afrique.
Ensuite est-ce un idéal de vendre son corps en pleine ville dans un camion éclairé par une lampe tempête que l’on n’utilise plus que dans quelques rares villages perdus d’Afrique.
Enfin, où est passée l’image typique attribuée depuis des lustres à la femme africaine, celle d’un être pétri de qualités dont la pudeur.
La cause de tout ceci est souvent attribuée aux différentes crises que rencontre notre continent ainsi qu’au manque de travail qualifié donné aux noirs en occident. Mais franchement est-ce là la solution pour s’affirmer et s’en sortir ou encore sont-elles là les seules méthodes possibles pour exercer le plus vieux métier du monde ?
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