Les autorités comoriennes ont fait-part d'un accord signé entre les autorités de l'île d'Anjouan et celles de Mayotte concernant la reprise des reconduites à la frontière des immigrés clandestins comoriens.
Interrompues depuis le 7 novembre dernier, c’est au centre de rétention de Pamandzi, qui ne dispose que de 60 places que quelques 140 immigrés clandestins comoriens, pour la plupart mineurs,étaient installés pour cinq jours. Après quoi, faute d'être reconduis, ils étaient certains d'entres eux étaient libérés.
A noter que Mayotte a une politique de lutte contre l’immigration clandestine qui dépasserait « 50 millions d’euros par an pour les dépenses d’éducation et de santé », selon le rapport de l’ancien sénateur UMP de l’Ardèche Henri Torre, précisant par la même qu'il y aurait entre 50 000 et 60 000 comoriens en situation irrégulière installés dans la collectivité française.
Ce point est d’ailleurs traité dans la future loi-programme de développement pour l’Outre-Mer, toujours en pour-parler
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