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L'entrée de nouvelles personnalités de l'opposition, dont Pierre Mamboundou, président de l'Union du peuple gabonais (UPG, opposition) dans le gouvernement du Gabon n'est pas à l'ordre du jour, a déclaré vendredi à Paris, le président gabonais, Ali Bongo Ondimba.
"Nous n'avons pas de discussions de cette nature en cours. Nous avons une équipe gouvernementale resserrée que nous n'envisageons pas d'élargir", a assuré le chef de l'Etat gabonais, à l'issue d'un déjeuner de travail d'une heure 30 avec son homologue français, Nicolas Sarkozy.
"Les Gabonais attendent de nous juger sur nos résultats et non sur ces questions. Le gouvernement doit se mettre au travail pour mettre en oeuvre mes engagements de campagne. C'est de cela qu'il s'agit et non de faire entrer tel ou tel au gouvernement", a martelé le président Ali Bongo Ondimba.
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Il s'est par ailleurs, engagé à organiser des élections législatives libres, transparentes et démocratiques.
"La transparence a été le maître mot de ma campagne électorale. Je veillerai à ce que les élections législatives de 2011, comme tous les autres scrutins à venir, soient libres, transparentes et démocratiques", a dit le fils de feu Omar Bongo Ondimba.
Arrivé mercredi soir à Paris en provenance de Londres, le président gabonais effectue une visite de travail de trois jours en France au cours de laquelle il doit également s'entretenir avec le Premier ministre français, François Fillon.
Il rencontrera en outre samedi la diaspora gabonaise.
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