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Barack Obama s'exprimant après l'attentat déjoué
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Le président américain Barack Obama a interrompu ses vacances pour s'adresser aux citoyens américains, à propos de l'attentat terroriste tout juste déjoué. Il a cité plusieurs fautes qui ont permis à Umar Farouk Mutallab, 23 ans, d'embarquer avec des explosifs sur un avion à destination des Etats-Unis.
"Il apparait qu'il y a eu un mélange de défaillances humaines et systémiques qui ont contribué à cette violation potentiellement catastrophique de notre sécurité. Des bribes d'informations étaient disponibles au sein des services secrets qui auraient pu et auraient dû être mises ensemble".
Obama a indiqué avoir demandé d'avoir les résultats des investigations préliminaires pour demain jeudi.
Un officiel américain, tout en refusant de confirmer que l'attaque avait été planifiée par la nébuleuse Al Qaïda a confirmé que les dernières informations en possession de la Maison Blanche indiquaient qu'Al Qaïda était bien impliquée dans l'attaque.
L'administration Obama est sous la pression des républicains qui reprochent à l'équipe d'Obama de ne pas avoir su prévenir l'attaque, et à Barack d'être resté silencieux pendant trois jours. Du point de la vue de la prévention les républicains oublient peut-être un peu rapidement que l'essentiel des mesures de sécurité sont encore un héritage des deux mandats de George W. Bush |
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Le père de Umar Farouk Mutallab avait informé des officiels américains il y a plusieurs semaines, du fait que son fils avait adopté des opinions extrêmistes. Un porte-parole de la CIA a indiqué que le père était allé à l'ambassade américaine au Nigéria, et que la CIA avait rajouté Umar Farouk Mutallab et ses contacts possibles au Yemen à la base de données anti-terroriste, et avoir transmis des informations biographiques sur lui au centre national anti-terroriste.
La CIA se défend d'avoir traité les informations de façon incorrecte, indiquant que c'était au centre national anti-terroriste de "mettre les points sur les i en matière de terrorisme".
Barack Obama sans citer d'agences a indiqué que la connection ne s'était pas faite: "Il apparaît désormais que plusieurs semaines auparavant des informations ont été passés à une composante de notre communauté du renseignement, mais que cette information n'a pas été distribuée de façon suffisamment efficace pour mettre le nom du suspect sur la liste des personnes interdites de vol aux Etats-Unis".
La chaîne de télévision CNN, citant deux officiels américains anonymes, indique que les agences de renseignement américaines et yéménites sont en train de chercher les cibles d'une possible frappe vengeresse au Yemen. |
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