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Le congrès du Parti Congolais du Travail à Brazzaville
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Le sixième congrès extraordinaire du Parti congolais du travail (PCT, au pouvoir) s’est ouvert jeudi à Brazzaville sous le signe de la revitalisation et de l’ouverture. Quelque 1.350 délégués venus des douze départements du pays et de certains pays d’Afrique, d’Europe et d’Asie participent à ces assises qui vont durer cinq jours.
«Le peuple nous regarde, l’enjeu est historique et nous n’avons pas le droit à l’erreur. Le présent forum est la résultante de notre volonté de nous interroger sur nous-mêmes, sur notre environnement en nous posant les questions de savoir où sommes-nous, où allons-nous», a déclaré à l’ouverture du congrès le président du comité de préparation, Jean-Pierre Nonault.
De l’avis des responsables du PCT, l’autre enjeu du congrès est la désignation d’un nouveau secrétaire général, un poste resté vacant depuis la mort d’Ambroise Edouard Noumazalay, en 2007. Le PCT, a été d’obédience marxiste-léniniste de sa création, en 1969, à 1990, année de son passage à la social-démocratie.
«La social-démocratie est un mode d’approche qui nous donne des outils efficaces», a déclaré M. Nonault. Après avoir la première élection présidentielle pluraliste du pays, en 1992, le PCT est revenu au pouvoir à l’issue de la guerre civile de 1997. |