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Charles Blé Goudé et Simone Gbagbo le samedi 5 février 2011 à Abidjan
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Selon Andrew Harding, correspondant de la BBC, situé à la frontière entre le Mali et la Côte d’Ivoire, qui a discuté par téléphone avec Charles Blé Goudé, ce dernier lui a dit qu’il avait un message pour le monde extérieur. Il veut que le monde sache qu’il veut éviter la guerre civile et les effusions de sang à Abidjan. Il demandait un dialogue avec le camp Ouattara et une négociation afin de sauver des vies avant qu’il ne soit trop tard.
Selon lui, la question n’est pas de savoir qui contrôle ou non le pays. C’est une question de principe et c’est pourquoi il appelle à un cessez-le-feu parcequ’il n’est jamais trop tard.
D’après Charles Blé Goudé, Laurent Gbagbo n’est pas cerné à sa résidence ou en danger. D’après lui, les forces de Gbagbo contrôlent la ville et qu’il n’appelle pas encore ses jeunes patriotes à se mettre dans la rue. Il affirme s’être retenu parcequ’il ne veut pas que les gens le poussent à les faire descendre dans la rue. Les gens doivent faire attention à leurs responsabilités ». |