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« Réserver 15% de leur capacité globale (en nombre de sièges sur la période du 15 juin au 15 septembre au prix le plus bas de la grille tarifaire annuelle hors promotion. »
C’est la mesure principale du projet de convention proposé par le Collectif Dom et Coll’Air, deux lobbies mobilisés pour les droits des ultras-marins, en début de semaine à l’Etat.
L’idée étant partie du fait que la continuité territoriale pour ces vols long-courriers est loin d’être respectée, surtout en ce qui concerne les périodes de grandes vacances, correspondant généralement soit au départ des nouveaux bacheliers pour continuer leurs études, soit à celui des ménages retrouvant des proches en Hexagone.
« Les compagnies aériennes qui seraient tentées de ne pas signer » ce projet de convention « s’exposeraient à faire-face à la forte mobilisation des ultras-marins qui en ont assez d’être pris pour des vaches à lait » a prévenu Daniel Dalin, le président du Collectif Dom.
A préciser que pour être appliquée, cette convention doit être signée par toutes les compagnies, à savoir Air France, Air Caraïbes, Air Austral et Corsair.
La continuité territoriale est un débat qui est loin d’être clos. A l’approche des fêtes de Noël, il est à savoir qu’un billet d’avion peut aller de 712 euros à plus de 1000 euros, aller-retour, pour des destinations comme Cayenne, Fort-de-France, Pointe-à-Pitre ou Saint-Denis.
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