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Nicolas Sarkozy et Mouammar Kadhafi en 2007.
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Selon le ministre français des Affaires étrangères Alain Juppé, cité par la parisien ce mercredi : "plusieurs pays arabes" étaient prêts à "une participation effective", dans le cadre d'une opération militaire en Libye.
Le nouveau chef de la diplomatie française a suggéré qu’il était encore temps de répondre à Mouammar Kadhafi, à armes égales, affirmant que "Seule la menace de l’emploi de la force peut arrêter Kadhafi. puisque "c'est en bombardant, avec les quelques dizaines d’avions et d’hélicoptères dont il dispose réellement, les positions de ses opposants que le dictateur libyen a renversé la balance".
Selon Alain Juppé, l’une des deux conditions préalables à une éventuelle attaque contre le régime de Kadhafi et précisément l’appui des pays arabes est en voie d’être remplie. Reste l’autre condition et pas des moindres : "obtenir un mandat du Conseil de sécurité des Nations Unies, seule source de droit international en matière d’usage de la force".
Nicolas Sarkozy qui a été le premier à reconnaitre l'opposition libyenne, s’est vu accusé par le fils du dirigeant libyen, Seif Al-Islam, dans un entretien accordé à Euronews, d’avoir "perçu des fonds de la Libye pour financer sa campagne électorale" de 2007. Des allégations démenties par l’Elysée.
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