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Plusieurs ministres européens et africains, lors de la réunion UE-Afrique, à Paris, le mardi 25 novembre.
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Contrôle de l’immigration contre l’aide au développement, et aux migrations légales. La proposition était au cœur de la rencontre ayant réunis à paris, les Vingt-Sept Etats membres de l’Union Européenne et 27 pays africains, motivée par la France. En juillet 2006, la première réunion du genre à Rabat, a paré à la situation préoccupante le long de la route migratoire ouestafricaine en mettant sur pied la coopération entre pays d’origine, de transit et de destination, en guise tant de solution de choix, aux défis des flux migratoire entre l’Afrique et l’Europe.
Avec cette deuxième Conférence ministérielle euro-africaine sur la migration et le développement, il s’agissait de poser de nouveaux jalons à travers avec l’adoption d’un Programme de coopération triennal, une nouvelle étape visant à préciser les articulations et les mesures concrètes d’intervention, voulues effectives de 2009 à 2011. Ce Programme de coopération triennal se fonde concrètement sur :
L’organisation de la migration légale, perçue comme la migration professionnelle et étudiante, dont la mise en œuvre, sans toutefois léser les autres formes de migration légale, aurait pour finalité, l’amélioration des marchés du travail des pays de destination et aiderait au développement des pays d’origine, grâce aux transferts de fonds ou à l’acquisition de compétences professionnelles par les migrants.
La lutte contre la migration irrégulière, dont la mise en œuvre devrait tenir compte des droits fondamentaux et de la dignité des personnes, des principes du droit international et des engagements internationaux pertinents. Ce qui reviendrait par exemple pour les pays de destination accueil, à respecter pleinement le statut des réfugiés, les garanties attachées à la situation des demandeurs d’asile et le principe de non-refoulement. Le programme concerne en outre: Le renforcement des synergies entre migration et développement, le suivi et l’évaluation du processus euro-africain.
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La proposition concrète de la France. |
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le ministre français de l’Immigration, Brice Hortefeux
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La France qui préside l’union Européenne souhaite pour sa part augmenter les propositions de "gestion concertée des flux migratoires". Une méthode qui fonctionne ; du moins si l’on s’en tient aux indices que Brice Hortefeux, brandit comme modèles. Sept premières conventions du genre signées depuis 2006 par la France avec le Sénégal, le Gabon, le Congo-Brazzaville, le Bénin, la Tunisie, l’île Maurice et, très récemment le cap vert lundi, avec le Cap-Vert.
Le marché que la France propose aux pays africains est clair : chaque fois que l’un d’eux s’engage à faire le gendarme de l’Europe contre l’immigration clandestine et à accepter ses ressortissants sans-papiers quand ils sont rapatriés, Paris s’engage à lui offrir son aide au codéveloppement, voire au développement, et des possibilités de migration légale. "Nous sommes passés de la pomme de discorde à la volonté de relever collectivement le défi" des phénomènes migratoires, a martelé le ministre français de l'immigration, Brice Hortefeux, relevant que le chemin parcouru depuis la première rencontre de Rabat en juillet 2006. Les pays Africains n’en ont pas moins appelé l'Union européenne à une plus grande ouverture. |
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