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Le président Jacob Zuma a reconnu jeudi soir (13/02/14) que l'Afrique du Sud est devenu un pays meilleur, 20 ans après les premières élections historiques multiraciales qui ont porté Nelson Mandela au pouvoir.
Dans son récent discours sur l'état de la nation en tant que président de l'actuel gouvernement, M. Zuma a déclaré au Parlement que l'Afrique du Sud est maintenant largement considérée comme un modèle de progrès. Il a énuméré les réalisations des gouvernements démocratiques successifs depuis l'accession de Mandela au pouvoir en 1994, à commencer par l'enterrement d'un régime oppresseur de la minorité, et a ajouté qu'ils ont rendu 'l'Afrique du Sud un meilleur endroit où il fait mieux vivre maintenant plus que jamais auparavant'.
Il a noté que le taux global de criminalité a diminué de 21 pour cent depuis 2002 et que le travail se poursuit pour mieux sécuriser les collectivités.
"L'un des principaux domaines d'intervention est l'éradication de la violence contre les femmes et les enfants. Nous avons mis en place un certain nombre de mesures pour répondre à ce défi. Il s'agit notamment de la réouverture des unités de lutte contre la violence dans la famille, pour la protection des enfants et des délits sexuels ainsi que les tribunaux de délits sexuels".
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Il a cependant déclaré que le pays est encore confronté aux inégalités, à la pauvreté et au chômage et les efforts du gouvernement sont axés sur l'éradication de ces problèmes. Le président a souligné que des manifestations violentes ont eu lieu à nouveau à travers le pays au cours des dernières semaines.
Un autre sujet de préoccupation semble être la violence préméditée, comme c'est le cas avec l'utilisation de cocktails Molotov et d'autres armes lors de manifestations.
En ce qui concerne l'économie, Zuma a déclaré que les changements dans l'économie américaine ont conduit à une dépréciation rapide des devises des marchés émergents, y compris le rand sud-africain qui a chuté l'an dernier d'environ 17,6 pour cent par rapport au dollar américain.
"Les taux de change plus faibles constituent un risque important pour l'inflation et rendront également notre programme d'infrastructures plus onéreux", a-t-il ajouté. |

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