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L'actualité du Burundi en quelques brèves
12/03/2008
 

Attaque d'un bistrot, violence scolaire, visite présidentielle aux USA, etc...
 
Par PANAPRESS
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Deux morts dans l'attaque d'un bistrot au Burundi

Bujumbura, Burundi (PANA)- Deux personnes ont été tuées et une autre grièvement blessée lundi nuit lors de l'attaque d'un bistrot par des hommes armés non encore identifiés à Gitega, deuxième ville en importance du Burundi, dans le centre du pays, a-t-on appris mardi de sources concordantes.

Les assaillants étaient armés de fusils de type Kalachnikov et habillés en tenues militaires quand ils ont fait irruption dans le bistrot pour commettre leur forfait peu après 21 heures locales (19H GMT), selon la version des faits fournie à la presse par le tenancier rescapé du débit de boisson, Marcelle Seshahu.

Par ailleurs, pour laseconde journée consécutive, les forces de l'ordre ont intensifié, mardi matin, les opérations de recherche d'armes à feu dans certains quartiers populaires de Bujumbura, la capitale du Burundi.

Dans la commune urbaine de Nyakabiga, dans le centre de Bujumbura, la Police a dit avoir mis la main sur 6 fusils de type Kalachnikov, 10 grenades défensives, 19 chargeurs, 300 cartouches et 17 tenues militaires et policières dans différents ménages.

La veille, une opération similaire avait concerné certains quartiers de Ngagara, une autre commune urbaine du nord de la capitale burundaise où 7 fusils de type Kalachnikov et quelques grenades ont été également saisis sur des détenteurs illégaux d'armes.

D'autres quartiers populaires, comme ceux de Kamenge, Kinama et Cibitoke, au nord de la ville et Kanyosha, plus au sud, ont déjà été fouillés et livré leurs lots d'armes à feu illégalement détenues.

Le porte-parole de la Police nationale, Désiré Nduwimana, a tenu à prévenir que les opérations de retrait d'armes à feu dans la population allaient se poursuivre partout où cela s'avérera nécessaire afin de garantir la sécurité des biens et des personnes dans un pays où le banditisme à main armée, les assassinats sélectifs et les règlements de compte, parfois sur fond de conflits fonciers ou de croyances obscurantistes, comme la sorcellerie, sont en nette recrudescence.

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Recrudescence de la violence en milieu scolaire au Burundi

Les trois principaux syndicats de l'enseignement primaire et secondaire du Burundi ont menacé, samedi, d'observer une "grève illimitée" si des mesures énergiques ne sont pas prises dans les meilleurs délais pour juguler la violence dans le milieu scolaire.

Un communiqué de presse conjoint du Conseil national des personnels de l'éducation (CONAPES), du Syndicat libre des enseignants du Burundi (SLEB) et du Syndicat des travailleurs de l'enseignement au Burundi (STEB) fait savoir que le sommet de l'horreur a été atteint en milieu de cette semaine avec le viol collectif de deux enseignantes de l'école primaire de Gihungwe, dans le nord-ouest du pays, par un groupe d'hommes non encore clairement identifiés.

Les malfaiteurs ont également passé à tabac deux autres enseignants de l'école et pris des objets de valeur sur les victimes, selon la présidente du Syndicat libre des enseignants (SLEB) au Burundi, Eulalie Nibizi.

Un tract avait précédé de peu l'attaque et menaçait les victimes de leur faire du mal s'ils ne se décidaient pas à quitter dans les meilleurs délais la région pour retourner enseigner dans leurs provinces d'origine, selon toujours Mme Nibizi.

Le phénomène des violences en milieu scolaire est assez répandu à travers le pays et s'observe également dans des écoles de Ngozi (nord), Cibitoke (ouest) et Karuzi (est), a ajouté la même source.

Des considérations à caractère ethnique ne seraient pas non plus à exclure et pousseraient certains villageois et élèves divisionnistes à menacer de couper les têtes ou enterrer vivants les enseignants indésirables, a encore expliqué la présidente du SLEB.

Le chef de l'Etat burundais en visite aux Etats-Unis

Le président du Burundi, Pierre Nkurunziza, a quitté Bujumbura lundi soir à destination des Etats-Unis où il va effectuer une visite de travail du 5 au 12 février, a-t-on appris de source officielle dans la capitale burundaise.

Au cours de cette visite, des contacts à caractère politique et économique sont prévus entre le chef de l'Etat burundais et des autorités fédérales américaines à Washington et en Californie, selon les services de la présidence à Bujumbura.

A Washington, le président burundais rencontrera également des responsables du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale (BM) avec qui il va discuter de la coopération entre son pays et les institutions de Bretton Woods.

D'autres rencontres à caractère spirituel sont également prévues au menu de la visite du chef de l'Etat burundais connu pour sa grande ferveur religieuse.

Une rencontre d'information sur la situation sociopolitique du pays est en outre prévue entre le président Nkurunziza et la diaspora burundaise établie aux Etats-Unis.

La visite du président Nkurunziza aux Etats-Unis coïncide avec la récente annonce de la reprise de l'aide américaine au développement économique du Burundi qui est passée, depuis le début de l'année 2008, de moins de 10 millions de dollars US à près de 30 millions.

L'aide américaine au Burundi avait été gelée dans la foulée du coup d'Etat militaire de 1996 et durant la guerre civile de plusieurs années qui s'en est suivie, avant d'être rétablie avec le retour à un gouvernement démocratiquement élu en 2005.

Le gouvernement américain s'est également distingué, ces derniers jours, par d'autres actions ponctuelles, comme le financement de la logistique qui conditionnait le déploiement de militaires burundais dans le cadre d'une mission de maintien de la paix en Somalie.

Constat amer des organisations féminines sur la sécurité au Burundi

Plus de 140 organisations féminines, oeuvrant à la résolution pacifique des conflits ont déploré que "la transition demeure un leurre", dans un mémorandum destiné au chef de l'Etat burundais, Pierre Nkurunziza.

"Plus de deux ans après la mise sur pied de nouvelles institutions démocratiques post-conflit, le constat qui se dégage de la situation sécuritaire au Burundi est que la transition tant attendue de plus d'une décennie de guerre civile à une paix durable demeure un leurre", rapportent les associations féminines.

Le mémorandum se fonde sur des analyses documentées dans plus de dix des dix-sept provinces du pays, a indiqué, lundi, à la PANA, l'une des signataires, Mme Goretti Ndacayisaba, chargée du programme de plaidoyer et rapprochement à l'association féminine, "Dushirehamwe" (Réconcilions-nous, en langue nationale, le kirundi).

"Dans toutes les couches de la population, l'espoir suscité par la réussite des élections, l'existence d'une Constitution qui régule le fonctionnement des institutions et le partage du pouvoir entre différentes catégories sociopolitiques et ethniques du pays, ainsi que la perspective d'un accord de cessez-le-feu global et durable entre la dernière rébellion encore active dans le pays et le pouvoir central, renforçaient l'idée que le Burundi allait recouvrer une paix durable", poursuit le texte du mémorandum.

"Le constat amer du moment est que la paix matérialisée par le silence trompeur des armes a laissé la place à un sentiment de doute sur ce que certains dans l'opinion ont tendance à appeler plutôt l'ombre ou l'illusion de paix", écrivent toujours les auteurs du mémorandum.

"Il est déplorable de constater que ce contexte de ni guerre ni paix engendre un aveuglement criminel où ceux qui commettent des actes terroristes se font passer ou traitent leurs victimes de membres du Parti pour la libération du peuple hutu/Front national de libération (PALIPEHUTU-FNL, rébellion) selon la nature du forfait commis et l'identité de l'agressé", ajoutent-ils.

"Les femmes sont particulièrement prises pour cibles dans les champs ainsi que les ménages par des tueurs, des violeurs, des tortionnaires et on les force parfois de nourrir et héberger les combattants, quand elles ne sont pas obligées de passer la nuit dans des buissons ou sur des positions militaires par crainte d'insécurité", déplore-t-on toujours dans le texte du mémorandum.

"En se basant sur la Résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations unies sur les femmes, la paix et la sécurité qui engage les gouvernements à protéger les femmes et les filles, les organisations féminines burundaises veulent, par le présent mémorandum au chef de l'Etat, porter plus haut leurs préoccupations liées à l'insécurité généralisée dans le pays et formuler des propositions pour un sursaut national", souligne encore le mémorandum.

Parmi les propositions du mémorandum figurent, entre autres points, la "définition d'une politique nationale de sécurité incluant toutes les dimensions de la paix, l'initiation d'un projet de loi portant prévention, répression et assistance aux victimes des crimes basés sur le Genre, l'élaboration d'une politique claire de désarmement de la population civile et la conclusion rapide d'un accord de cessez-le-feu avec le PALIPEHUTU-FNL".

Un haut commissaire du HCR en visite au Burundi

La chargée des opérations d'urgence au Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), Mme Judy Cheng-Hopkings, est arrivée jeudi à Bujumbura pour une visite de travail de quatre jours au Burundi, apprend-on de source humanitaire dans la capitale burundaise.

La responsable malaisienne au HCR visite le pays après une mission en Tanzanie voisine, où est recensé le gros des milliers de Burundais encore en exil à l'étranger, annonce un communiqué de presse du bureau local de l'agence spécialisée des Nations unies.

L'étape burundaise de la visite de Mme Cheng-Hopkings sera consacrée à l'évaluation des activités de rapatriement des réfugiés burundais et leur réintégration dans leur société d'origine, précise le communiqué.

L'émissaire du HCR effectuera une descente sur le terrain en vue d'évaluer les besoins de rapatriement qui se posent encore à certaines provinces du nord, de l'est et du sud du Burundi ayant le plus souffert d'exodes massifs de populations vers l'extérieur au cours de ces 40 dernières années de guerres civiles cycliques dans le pays.

A Bujumbura, la capitale burundaise, Mme Judy Cheng-Hopkings discutera avec les membres du gouvernement et les représentants de la communauté internationale de toutes les mesures nécessaires pour réussir l'opération de rapatriement qui sera intensifiée en 2008, fait encore savoir le communiqué de presse.

Le HCR attend, en effet, des retours massifs en 2008, suite à une décision des autorités tanzaniennes de fermer tous les camps abritant encore des réfugiés burundais, poursuit la même source.

Plus de 100.000 burundais sont des réfugiés depuis 1990 et vivent principalement dans les camps de Lukole, Nduta et Mtabila, situés dans le nord de la Tanzanie.

Quelque 200.000 autres réfugiés de longue date ont fui la première grande guerre civile de 1972 vers la Tanzanie et vont bénéficier d'un rapatriement organisé à partir du mois de mars prochain, indique le communiqué de presse du HCR.

Echange de prisonniers de guerre au Burundi

Le Parti pour la libération du peuple hutu/front national de libération (PALIPEHUTU-FNL) a procédé, samedi dans la journée, à la remise en liberté de quatre prisonniers de guerre, dans le cadre de la mise en application effective de l'accord de cessez-le-feu liant le dernier mouvement rebelle encore actif dans le pays au pouvoir central de Bujumbura, apprend-on du porte-parole de la Force de défense nationale, le lieutenant-colonel Adolphe Manirakiza.

Le premier groupe de prisonniers de guerre gouvernementaux à bénéficier des retombées positives de l'accord de cessez-le-feu, qui était en souffrance depuis sa signature, en septembre 2006, est composé d'un responsable du Service national de renseignement, un sous-officier de la Force de défense nationale (FDN), un chef des jeunes militants du Conseil national pour la défense de la démocratie/forces de défense de la démocratie (CNDD-FDD, parti au pouvoir) et un administratif, selon la même source.

Des observateurs de l'Union africaine (UA), de la médiation sud- africaine et des délégués du Comité international de la croix rouge (CICR), ont pris part à la cérémonie de remise en liberté des quatre prisonniers de guerre.

En échange, le gouvernement burundais devrait remettre en liberté près de 2.000 prisonniers politiques et de guerre, a exigé dernièrement, depuis son exil tanzanien, le leader du PALIPEHUTU-FNL, Agathon Rwasa.

L'échange de prisonniers constituait l'une des principales exigences des rebelles avant même la reprise du mécanisme de suivi et d'évaluation de la mise en application intégrale de l'accord de cessez-le-feu.

Le mécanisme a, pour autres grande tâches, d'étudier la question encore litigieuse de la place des combattants et responsables rebelles dans les différentes institutions politico-militaires du pays, pour mettre fin à plus d'une décennie de guerre civile au Burundi.

Fin de la visite au Burundi de l'ancien président du Mozambique

L'ancien chef de l'Etat mozambicain, Joachim Chissano, a achevé, jeudi, une visite de travail de trois jours au Burundi.

L'ancien président mozambicain, invité du Conseil des églises du Burundi, a fait part, à l'issue de sa visite, d'un optimisme mesuré en ce qui concerne l'évolution sociopolitique "en dents de scie" qui caractérise le pays.

Il a fondé son optimisme sur une série de contacts en cours visant à ramener le pouvoir central de Bujumbura et le Parti pour la libération du peuple hutu/front national de libération (PALIPEHUTU- FNL) à la table des négociations pour un accord global et définitif, en vue de mettre fin à plus d'une décennie de la guerre civile dans ce petit pays d'Afrique centrale.

Une délégation d'évêques d'Afrique se trouve actuellement à Dar-es- Salaam, en Tanzanie, pour rencontrer le leader du dernier mouvement rebelle encore actif au Burundi, Agathon Rwasa, a fait savoir l'ancien chef d'Etat mozambicain lors d'une conférence de presse de fin de visite à Bujumbura.

La même délégation religieuse compte également rencontrer les autorités tanzaniennes qui hébergent les leaders en exil du PALIPEHUTU-FNL, a ajouté M. Chissano.

La Tanzanie assure, par ailleurs, la vice-présidence de l'Initiative régionale de paix pour le Burundi.

"Les actions en cours sont encourageantes", s'est réjoui Joachim Chissano, tout en se préoccupant de la hausse croissante de l'insécurité au Burundi où, par ailleurs, les armes circulent encore à grande échelle au sein des populations civiles.

La pauvreté généralisée qui découle de la longue guerre civile au Burundi a été une autre source d'inquiétude pour l'ancien président mozambicain, qui a eu à rencontrer différents acteurs politiques du pays, comme le chef de l'Etat, Pierre Nkurunziza, et certains de ses prédécesseurs.

L'ex- chef de l'Etat mozambicain a poursuivi, jeudi, sa mini tournée dans les Grands Lacs par l'Ouganda, qui assure la présidence de la mission diplomatique régionale de paix pour le Burundi.

Le Burundi se retire de la course pour la présidence de l'UA

Le gouvernement burundais a annoncé, mercredi, par voie de presse, qu'il retirait la candidature de Mme Antoinette Batumubwira, ministre des Relations extérieures, de la course pour la présidence de la commission de l'Union africaine (UA), au profit du chef de la diplomatie gabonaise, "le mieux placé", Jean Ping.

"Dès le début de la course à la présidence de la commission de l'UA, l'Afrique centrale avait deux candidatures : celle d'une femme, Mme Batumubwira du Burundi, et celle d'un homme, Jean ping du Gabon, dans le but de donner plus de chance à la région au cas où la tendance aurait porté sur un des deux genres ou sur d'autres considérations", peut-on lire dans un communiqué de presse du porte- parole du gouvernement burundais et ministre de la Communication, Mme Hafsa Mossi.

Après consultations, les chefs d'Etat et de gouvernement de la région d'Afrique centrale ont recommandé le retrait de la candidature de la ministre burundaise pour donner plus de chance au candidat gabonais, "le mieux placé", poursuit le communiqué.

A signaler qu'il ne reste que deux candidats en lice contre M. Jean Ping après la défection de la ministre burundaise des Relations extérieures.

Il s'agit de Abdulai osman Conteh, président de la Cour suprême de Bélize, en Amérique du Sud et ancien vice-président de la Sierra Leone, et de Inonge Mbikusita Lewanika, ambassadrice de la Zambie aux Etats-Unis.

Mais, pour l'heure, le ministre gabonais des Affaires étrangères semble être en meilleure position, puisque, outre l'Afrique centrale et de l'Ouest, il bénéficie du soutien des pays d'Afrique de l'Est et de celui des pays d'Afrique du Nord.

La question des élections à la Commission de l'UA sera tranchée par la Conférence des chefs d'Etat et de gouvernement, qui s'ouvre jeudi à Addis Abeba, en Ethiopie.

       
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