Loic Liber a eu plus de chance que les trois autres militaires visés par Mohamed Merah. Contrairement à ses trois collègues, il a survécu aux balles du "Tueur de Toulouse".
Selon Guadeloupe 1ère qui a joint le 17ème régiment de génie parachutiste de Montauban, Loic Liber est sorti du coma depuis le début de la semaine, comprend ce qu'on lui dit et peut communiquer par signes.
Cependant, on ne sait pas encore s'il restera paralysé suites aux tirs de Mohamed Merah qui l'ont touché à la gorge et à la moëlle épinière. Hospitalisé au CHU de Toulouse, et entouré de ses parents et de sa soeur, Loic Liber, 28 ans, était entré dans l'armée il y a cinq ans.
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La une du journal "Libération" 20 mars 2012 avec le nom des victimes de Mohamed Morah
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