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Ségolène Royal au Brésil le 29 janvier
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Dans ce nouvel opus, que Bakchich a pu lire en exclusivité, l’ancienne candidate socialiste, pour mieux faire parler d’elle, s’essuie les pieds sur à peu près tout ce qui porte un costume-cravate et fait de la politique en France. A commencer par son ancien rival Sarko Ier, qualifié "d’imposteur, de menteur sans foi, ni loi" et moqué pour son "manque d’allure". Si ce n’est pas une attaque au physique, ça y ressemble quand même drôlement. Autre cible de ses attaques virulentes, ses petits camarades "éléphants" du PS.
Dans son manuscrit, Ségo fustige notamment Lionel Jospin pour sa petitesse d’esprit et dépeint un Jack Lang en "manipulateur geignard". Toujours pas remise de sa défaite face à Martine Aubry lors du congrès de Reims, la dame du Poitou se considère encore comme "majoritaire" au PS et ne voit pas qui peut se prétendre meilleur qu’elle pour les présidentielles de 2012. Toujours aussi délicatement modeste, la dame Ségo !
Dans ce nouvel l’ouvrage, titré Femme debout, l’ancienne candidate ne néglige pas non plus la touche fleur bleue. Revenant sur sa séparation avec François Hollande, parti roucouler dans les bras d’une jeune et jolie journaliste de Paris-Match, Madame Royal se console comme elle peut. L’échec de son couple serait à l’entendre "un mal pour un bien", et d’expliquer que la séparation aurait pu arriver plus tard, à un âge où elle aurait perdu l’espoir de "retrouver le bonheur" dans des bras masculins. Avis aux amateurs.
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