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Le centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot au nord de Paris, le 19 janvier 2008. AFP/Archives
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C’est le lundi 4 août que les trois hommes ont été interpellés. Le quotidien [i Libération] révèle que les trois sans-papiers, travaillaient à l’extension du centre de rétention administrative de Mesnil-Amelot en Seine-et-Marne.
Deux d’entre eux, de nationalité turque, ont aussitôt été placés en rétention, de l’autre côté de la barrière du centre du mesnil-amelot, tout proche des pistes de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. Le premier a été libéré mercredi. L’autre Itikt Tuma, employé d’une agence d’intérim du Loiret, est toujours en rétention. Le troisième sans-papiers avait été laissé en liberté avec un arrêté de reconduite à la frontière.
Dans le journal [i Libération], Faouzi Lamdaoui, secrétaire général du PS à l’égalité, appelle Brice Hortefeux à "s’expliquer immédiatement sur l’emploi de ces étrangers en situation irrégulière sur un chantier public, dans des conditions illégales."
Mais pour l’heure, Le ministère de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Développement solidaire s’est refusé à tout commentaire.
Une fois agrandi, le centre de rétention de Mesnil-Amelot pourra recevoir jusqu’à 240 personnes.
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