
« Aucune côte, aucun bassin n’est durablement à l’abri. Même si les fréquences peuvent être faibles, les conséquences peuvent être particulièrement dramatiques.»
C’est ce qu’à déclaré le sénateur PS Roland Courteau lors de sa présentation de son rapport, ce matin (mardi 18 novembre) rédigé à la demande de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques.
Depuis le début du 20ème siècle, 911 tsunamis ont ravagés des territoires situés aux abords de l’océan Pacifique (77%), de l’océan Atlantique (10%), de la mer Méditerranée (9%) et de l’océan Indien (4%).
Ce rapport aurait inspiré la mise en place d’un Centre National d’alerte aux tsunamis pour la Méditerranée, l’Atlantique Nord-Est, les Antilles et l’Océans Indien (correspondants à des zones françaises).
Même s’il existe un dispositif en place en Polynésie Française, nul doute qu’il reste encore à faire concernant les Antilles et l’Ile de la Réunion.
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