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Joseph Kabila et son épouse Olive accueillent le premier ministre canadien Stephen Harper le 13 octobre 2012 en présence d'Abdou Diouf
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Près d’une trentaine de chefs d’Etats et de gouvernement participent au XIVème sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) qui s’est ouvert ce samedi à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo (RDC). Parmi les chefs d’Etat et de gouvernement présents à ce sommet, qui a pour thème principal «Francophonie : enjeux économiques et environnementaux face à la gouvernance mondiale», figurent le Béninois Yayi Boni, président en exercice de l’Union africaine (UA), le Burundais Pierre NKurinziza, le Tunisien Moncef Marzouki, l’Ivoirien Alassane Ouattara, le Canadien Stephen Harper et le Français François Hollande.
Sont également présents au sommet, le Nigérien Issoufou Mahamadou, le Togolais Faure Gnassingbé, le Camerounais Paul Biya, le Haïtien Michel Martely, le Congolais Denis Sassou N’Guesso, le Burkinabé Blaise Compaoré, le Centrafricain François Bozizé et le Guinéen Alpha Condé.
En revanche, on note parmi les grands absents, le Marocain Mohamed VI, le Djiboutien Ismaël Omar Guelleh, l’Equato-guinéen Teodoro Obiang N’Guéma, le Mauritanien Mohamed Abdel Aziz et le Rwandais Paul Kagamé.
Les présidents par intérim du Mali Diancounda Traoré, celui de la Guinée-Bissau Manuel Serifo Nhamadjo et leur homologue malgache, Andy Rajoelina, sont également absents du Sommet en raison de la suspension de leurs pays respectifs des instances de la Francophonie. |
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Joseph Kabila accueille ses hôtes lors d'un discours le 13 octobre 2012 à Kinshasa
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Les chefs d’Etat et de gouvernements devraient entrer dans l’après-midi dans le vif des travaux avec un tour d’horizon à huis-clos des crises dans l’espace francophone, de la Côte d’Ivoire à la RC Congo, en passant par Madagascar, la Guinée et la Guinée-Bissau. S’exprimant à l’ouverture du Sommet, le président Hollande a appelé ses pairs à aider le Mali à reconquérir son intégrité territoriale par une intervention militaire menée sous l’égide de l’Union africaine (UA), de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) avec l’aval du Conseil de sécurité des Nations unies.
«Nous devons tout mettre en œuvre pour que les terroristes soient combattus, défaits et chassés du nord du Mali. Je salue à cet égard le vote hier au Conseil de sécurité d’une résolution qui ouvre la voie à une intervention militaire africaine pour libérer le nord du Mali», a-t-il assuré.
Le sommet devrait ensuite se pencher sur les enjeux économiques dans l’espace francophone, en s’appuyant sur les recommandations de la Rencontre internationale de la Francophonie économique (RIFE) organisée en juillet dernier à Québec et sur les réflexions issus du Forum francophone des affaires qui s’est tenu à Kinshasa, en prélude au sommet. |
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François Hollande au sommet de la francophonie à Kinshasa
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Alors qu’elle a réalisé 864 milliards de dollars d’échanges en 2011, la Francophonie économique peine encore à être visible et audible. Les travaux à huis-clos porteront également sur la place de langue française, les questions d’éducation et d’enseignement dans l’espace francophone. «La majorité de nos membres sont des pays en développement. Il est donc important que nous abordions des questions centrales d’enseignement de la langue française, d’éducation et de formation», a expliqué M. Ousmane Paye, conseiller spécial du secrétaire général de l’OIF, Abdou Diouf.
A cours de ce sommet qui se tient pour la première fois en Afrique centrale, les chefs d’Etat et de gouvernement devraient examiner la place et le rôle de l’Afrique dans la Francophonie. Près de 80% des 700 millions de Francophones du monde seront africains en 2050, selon une étude récente qui souligne par ailleurs que l’Afrique est la seule région du monde où le français enregistre une nette progression.
« Née en Afrique, la Francophonie a son destin lié à celui de ce vaste et grand continent », a déclaré M. Diouf à l’ouverture de a rencontre qui s’achèvera dimanche par l’adoption d’un document dit «Déclaration de Kinshasa». |
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