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Barack Obama avec Yayi Boni, Alpha Condé, Alassane Ouattara et Mahamadou Issoufou à la Maison-Blanche
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getty |
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Lors de sa rencontre vendredi (29/7/11) avec les quatre chefs d’Etat africains (Yayi Boni, Alassane Ouattara, Alpha Condé et Mahamadou Issoufou) invités de la Maison-Blanche, Barack Obama a noté que ces derniers étaient issus d’élections démocratiques et équitables. Les discussions entre le président américain et ses hôtes ont porté sur des problèmes allant de la sécurité au contre-terrorisme en passant par le commerce ou la famine dans la corne de l’Afrique.
Les discussions n’étaient pas ouvertes aux médias même si le résumé de la rencontre a été fourni par un communiqué de la Maison-Blanche et que Barack Obama s’est exprimé. Pour le président américain, il était important de maintenir la date de la rencontre avec ses homologues africains malgré la crise politique à Washington portant sur le relèvement du plafond de la dette publique américaine (un accord a finalement été trouvé).
Le président américain a souligné que les progrès démocratiques étaient vitaux pour une Afrique stable, prospère et juste. Il aussi souligné que chacun des présidents reçus à la Maison-Blanche avait montré ses capacités de persistance face à d’énormes défis. |
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Selon Barack Obama et ses hôtes, la période actuelle est une période de grande opportunité et de progrès significatif pour le continent.
«Politiquement, la majorité des pays africains s’orientent vers la démocratie et économiquement, l’Afrique est l’une des régions du monde dont le taux de croissance est le plus élevé». Les discussions ont également porté sur la promotion du commerce entre les pays représentés et les Etats-Unis, mais aussi sur la promotion du commerce intra-africain, « qui nécessite des investissements en infrastructures dans ces pays ».
Les chefs d’Etat africains et leur homologue américain ont également discuté de la façon dont ils pouvaient tirer avantage de ces progrès politiques et économiques et s’attaquer aux problèmes clés de sécurité auxquels l’Afrique est toujours confrontée. |
Le président américain a aussi répété un message qu’il avait fait passer lors de sa visite à Accra : L’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts, mais d’institutions fortes. Pour Barack Obama, si l’Afrique a de quoi être fière des énormes progrès effectués au cours des cinquante dernières années, elle doit aussi reconnaître que beaucoup d’opportunités ont été manquées pendant toute cette période.
En ce qui concerne le développement économique, Barack Obama et ses hôtes ont dit être d’accord sur le fait qu’on ne pouvait pas continuer à promouvoir une approche qui entretenait la dépendance, mais plutôt une approche qui permettait la promotion de façon durable du développement et des capacités dans chacun des pays cités, à travers le commerce, les investissements, le développement du capital humain, et la formation [universitaire] de la jeunesse.
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