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Un observateur de l'Onu tué, un autre blessé en RDC |
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désolé |
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01/06/2004 09:57 )
À / Belgium
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La situation à l'Est de la RDC est très préoccupante et doit interpeller tout un chacun. Les Banyamulenge se disent congolais mais se comportent comme les ennemis de la nation en tuant les innocents comme c'est le cas du magistrat abattu à son domicile. Peut on réclamer la nationalité avec les armes? Prions pour l'Afrique. |
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Agissons |
Mawa Trop (
01/06/2004 12:39 )
À Alkmaar / Netherlands
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En RDC nous avons 4 vice presidents .. Du jamais vu !!!Ces 4 vice presidents touchent comme salaire par personne 200.000 Dollars (par mois) Inroyable et honteux.. dans un pays ou un fonctonaire de l'etat ne gagne meme pas 20 dollars par mois et parfois devra attendre plusieurs mois pour recevoir sa misere ..
Revenons aux vice ministres avec l'argent qu'ils gagnent par mois ils sont en mesure d'acheter les armes et re-sponsoriser la rebellion..dáilleurs je suis sur qu'ils sont derierre le trouble actuel de Bukavu
il serait plus que temps aux Congolais de se mettre debout et defendre leur pays jusqu'au dernier souffle comme les Irakiens..
Oublions le ndobolo les papa wemba etc... prenons les chose au serieux ...'Pourtant l'ONU est present sur le sol Congolais mais pas de changement encore la une complicite Ca fait pleurer...
Souvenez-vous que Lumumba etait assassine en presence de l 'ONU et les gars faut pas dormir...
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L'ETERNEL NOUS A ECOUTE |
phelly kiwa (
01/06/2004 14:58 )
À Ellenwood / United States
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nous allons continuer a crie pour notre pays . qui sont les banyamulenges leur sort est pres a termine parceque nous sommes au temps de la fin ,toutes les promesses et la parole de la bible devront s'accomplir. la rdc sera pour son peuple et toutes leurs richesse mais rendons au bas de la croix d 'implorer le pardon de nos peche d'avoir elever la creature au lieu du createur DIEU lui meme .
ils partiront tous ,portons la joie a laplace de mawa |
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minutes de silence |
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02/06/2004 11:05 )
À / Belgium
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Le peuple congolais manque des dirigeants politiques, tout le monde cherche à faire gonfler son ventre au lieu du bien être de la population. Ce qui se passe à Bukavu en est une illustration, le général Mbuza Mabe a commbattu corps et âme pour la sauve garde de l'intégrité nationale pendant trois jours au risque de sa vie, mais qu'a-il reçu à la fin? L'humiliation,car il n'a pas reçu des renforts et les autres se sont organisés entre temps.Quel pays ou tout homme pour acceder au pouvoir prend les armes au nom d'un ethnie ? Désolé. Pensons à nos frères et soeurs qui croupissent en se moment à Bukavu sous les tirs ennemis et observons une minute de silence pour les innocents qui ont perdu leur vie pour une cause non connue. Que Dieu bénisse le Congo et qu'il nous accorde de bons dirigeants |
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02/06/2004 12:40 )
À Kriens / Switzerland
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C'est Triste que ce soit disant frère Banyamulenge ne veulent pas s'integrer aux autres Congolais!! Ils sont arrogant et en plus Naïfs! Ils peuvent aujourd'hui annexer Bukavu dans le Rwanda! mais pour combien de temps???aucun Pays au monde pourra reconnaitre cet Etat et aucun Congolais n'acceptera cette situation surtout les compatriote de l'Est .Et dans chaque guerre y a une revanche! est ce que le 00,5% des Banyamulenge peuvent tenir une guerre avec le 50 millions d'autres Congolais??? pour moi ils veulent une suicide collective! soit ils acceptent d'être Congolais à part entière ou ils retounent dans leurs mère Patrie et je suis sûr leur frère Kagame les acceuillira à bras ouvert ! Basta. KATAMAKO |
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A ne rien comprendre |
Kamatari (
02/06/2004 20:26 )
À Liège / Belgium
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Tant le texte de la rédaction de Grioo, soutiré de Reuters que les commentaires des lecteurs ne correspondent pas à ce qui se passe ou s'est passé sur le terrain.
D'une part, les reportages ont montré des habitants, dont les Banyamulenge, qui fuyaient la ville de Bukavu. De l'autre, on parle d'affrontements entre militaires de factions rivales. Ensuite, on lit que les observateurs militaires de la MONUC ont été attaqués par un groupe armé.
Plus loin, on lit l'histoire étrange de Mutebutsi. Pourquoi vouloir désarmer des militaires qui sont censés faire partie de l'armée nationale? Et pourquoi l'ONU doit en être l'agent et lancer un ultimatum à des militaires congolais?
Les commentaires de certains lecteurs interpèlent quand ils impliquent les Banyamulenge dans ce qui se passe à Bukavu!!! Est-ce parce qu'ils sont d'ethnie rwandaise et sont à 100% protestants ou bien on veut un pretexte pour aussi les exterminer? Une infime minorité dans cet océan de 50 millions, comment peuvent-ils faire peur?
Il y a aussi Mawa Trop qui y met du sien dans le langage trotskiste qui lui est propre et qui n'a rien à voir avec le sujet. Il est suivi par le pur style de l'extrême droite de Phelly dans une incantation messianique digne de l'abbé machin-chose.
Bref, nous assistons à un événement dont le compte-rendu ne nous explique rien du problème en cours.
Tout porte à croire que l'armée de Kinshasa voudrait déasrmer les rebelles à bon compte, avec l'aide de l'ONU, pour ensuite s'en débarasser définitivement.
Il ne faut pas rêver: ça n'ira pas et cela fait penser à ce qui se passe en Côte d'Ivoire. Au lieu de guérir le mal par la cause, on veut ignorer celle-ci: on n'est encore sorti de l'auberge ... surtout que les Harki -IneraHamwe sont dans le coin contrairement aux accords conclus en RSA. |
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OK AVEC TOI KAMATARI |
KODJO (
02/06/2004 20:54 )
À / France
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Tout à fait d'accord avec toi KAMATARI, je crois que les malheureux incultes qui se sont exprimés ne maîtrisent pas grand chose à l'actualité de la RDC ( j'en reviens ), il est vraiment simpliste de mêler les Banyamulenges qui ne representent qu'une mineure partie de la population aux maux que connaît la RDC. Je crois que la propagande anti-Banyamulenge assenée par feu KABILA porte toujours ces fruits chez les incultes |
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RAPPORT DES NATIONS UNIES |
ABDOUL (
02/06/2004 21:39 )
À / France
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Pour ceux qui souhaitent des infos moins sommaires sur ces évèvements, voir le rapport des NATIONS UNIES :
http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=8074&Cr=RDC&Cr1=Gu%E9henno |
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02/06/2004 21:44 )
À / France
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ONU - BUREAU POUR LA COORDINATION DES AFFAIRES HUMANITAIRES http://www.irinnews.org/FrenchReport.asp
RDC-RWANDA: Antoine Ghonda conduit une délégation au Rwanda
KINSHASA, le 28 mai (IRIN) - Le ministre des affaires étrangères congolais, Antoine Ghonda, s'est rendu vendredi matin à Kigali, la capitale rwandaise, pour rassurer le gouvernement rwandais que les affrontements de Bukavu dans la province congolaise du Sud-Kivu (est du pays) ne concernent que les Congolais, a déclaré vendredi à IRIN un officiel du ministère des affaires étrangères.
"Il est parti discuter avec les autorités de Kigali et leur signifier que les affrontements qui ont lieu à Bukavu sont une affaire purement militaire ne concernant que les Congolais," a déclaré Lolo Loasa, conseiller politique de M. Ghonda.
Le ministre congolais est accompagné de l'ambassadeur itinérant du président Joseph Kabila, Katumba Mwanke.
Sur le terrain à Bukavu, un calme relatif est revenu, a affirmé Sébastien Lapierre, porte-parole de la MONUC à Bukavu.
"La situation s'est un peu calmée par rapport à hier, mais il y a encore des tirs sporadiques et même des tirs de mortiers," a-t-il affirmé.
"Selon la Croix Rouge sept morts et six blessés ont été enregistrés parmi les civils. Le général Mbuza Mabe a informé la MONUC qu'il a eu 5 morts et 19 blessés de son côté. Nous n'avons pas de bilan pour le camp de Mutebusi," a ajouté M. Lapierre.
Des pillages ont été effectués dans quelques boutiques et résidences, a précisé M. Lapierre.
[FIN]
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CENTRES DES NOUVELLES DE L ONU |
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02/06/2004 21:45 )
À / France
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//www.un.org
La priorité : régler la question des Interahamwe en R.D. du Congo, déclare le chef du maintien de la paix de l'ONU
Jean-Marie Guéhenno
29 mai – Alors que des combats font s'opposer troupes gouvernementales et éléments armés dissidents à Bukavu, dans l'Est de la République démocratique du Congo (RDC), qu'un observateur militaire de l'ONU a été tué à 50 km de là, le responsable du maintien de la paix déclare que les deux priorités du pays sont d'intégrer l'armée et de régler « une fois pour toutes » la question des groupes rwandais ayant pris part au génocide de 1994 qui se trouvent encore en RDC.
Depuis mercredi dernier, le 26 mai, la ville de Bukavu (carte) est en proie aux combats qui, dans le centre ville et différents autres quartiers de cette commune du Sud-Kivu à l'Est de la RDC, opposent les troupes régulières de la 10e région militaire de l'armée nationale congolaise aux éléments armés du colonel Jules Mutebutsi, commandant adjoint de la 10e région militaire, suspendu de ses fonctions depuis mars dernier.
Un bilan provisoire fait état d'au moins cinq morts et 19 blessés dans les rangs des Forces Armées de la République du Congo (FARDC), de deux morts dans le camp du colonel Mutebutsi, et de 7 morts ainsi que 6 blessés parmi les civils. Des pillages ont eu lieu dans les boutiques du centre-ville, dans plusieurs résidences et la ville est sans électricité, indiquait un hier un communiqué de la Mission.
La MONUC s'efforce de contribuer au retour au calme en organisant des patrouilles et en prenant position en plusieurs endroits stratégiques de la ville pour éviter que les affrontements ne gagnent d'autres secteurs.
Par ailleurs, à 50 km au Nord de Bukavu, à Kalehe, un groupe non identifié de miliciens armés a menacé et attaqué des Observateurs militaires non armés, l'un d'eux ayant trouvé la mort au cours de l'agression, indique un autre communiqué de la MONUC.
Faisant le bilan aujourd'hui, lors d'une conférence de presse à Kinshasa, de sa visite dans le pays et dans les capitales de l'Ouganda et du Rwanda voisins, le Secrétaire général aux opérations de maintien de la paix de l'ONU, Jean-Marie Guéhenno a souligné que « les événements de Bukavu montraient à quel point il était urgent d'intégrer l'armée. »
« C'est une division qui est apparue au sein de l'armée congolaise. Il est important que les institutions de la transition règlent le plus rapidement possible cette division qui met en cause l'unité de l'armée congolaise » ce qui ne devrait jamais être le cas « dès lors qu'un gouvernement d'union nationale est en place », a-t-il affirmé, ajoutant que c'était aux Congolais de régler entre eux cette affaire et qu'il trouvait encourageant d'avoir rencontré « au plus haut niveau » la volonté de s'y atteler « dans l'unité » et « dans le souci de la réconciliation nationale. »
M. Guéhenno, qui a indiqué s'être rendu à Bukavu où « la MONUC appuyait les efforts » de retour au calme, n'en a pas moins fait observer que « la solution de fond était le rétablissement de l'unité de l'armée congolaise et que cela, c'était une question congolaise » qui mettait en jeu l'avenir de la transition. Il a ajouté ne pas douter que cette question soit rapidement réglée et qu'elle devait l'être « par les différentes composantes du gouvernement d'union nationale. »
Le grand défi qu'il s'agit de régler « une fois pour toutes », a-t-il ajouté, consiste à « mettre fin aux activités des groupes armés des ex-FAR et Interahamwe qui sont une menace pour la population civile du Congo » et « qui empoisonnent les relations régionales alors que la voie est ouverte à une politique de réconciliation régionale entre le Rwanda et la République Démocratique du Congo. »
« Je crois que la question du désarmement des ex-FAR et Interahamwe est effectivement une priorité. N'oublions pas que ce sont des génocidaires, a déclaré M. Guéhenno qui a précisé que ce désarmement « passait par une stratégie globale » qu'il était en train d'examiner dans ses aspects militaires et qu'il en avait « discuté avec le Représentant Spécial du Secrétaire Général de l'ONU, avec le commandant des forces, le général Iliya, avec le commandant de la Brigade du Kivu, le général Isberg et nous en examinons les modalités. »
Il a ajouté que cette stratégie globale « exigeait d'abord un engagement fort de la République Démocratique du Congo, qui était en première ligne sur cette affaire » et qu'il était « clair que les Forces armées congolaises avaient un rôle déterminant et décisif à jouer. Il a également précisé « que la logique du désarmement volontaire avait « déjà beaucoup donné » et qu'il fallait « augmenter la pression. »
On a tendance à raisonner en termes de désarmement volontaire ou forcé, a fait observer M. Guéhenno. « En réalité, les choses sont plus compliquées que cela. Parce qu'il y a moyen d'augmenter la pression militaire. Je vous rappelle que la MONUC a un mandat de protection de la population civile partout où elle est déployée. Quand les Interahamwe et ex-FAR entrent dans un village et martyrisent sa population, si la MONUC a la possibilité d'être sur place, elle a toute autorité pour agir comme il convient et mettre fin à ces exactions. » Il a ajouté qu'une fois l'armée complètement intégrée, elle serait « capable d'exercer et de lancer des opérations militaires sur les ex-FAR et les Interahamwe pour procéder effectivement, dans ce cas, à des opérations de désarmement forcé si c'est nécessaire. »
Il a également fait remarquer que la MONUC avait de son côté une « capacité […] considérablement renforcée » qui « augmentait ses options et réduisait les options des FDLR. »
« Cette stratégie militaire doit être complétée par une stratégie politique, a déclaré M. Guéhenno. « J'en ai parlé aussi bien au Président Kagame [du Rwanda] qu'au Président Kabila [de la RDC]. Je crois qu'il est très important que du côté du Rwanda, un message clair soit adressé sur le fait que les combattants qui déposent les armes, seront intégrés dans le processus de démobilisation et de réintégration au Rwanda. Il est très important, du côté des autorités congolaises, qu'un message fort soit adressé aux ex-FAR et Interahamwe, pour leur dire […] que la RDC ne tolérera plus sur son territoire la présence des groupes armés qui terrorisent la population et qui cassent la dynamique régionale de coopération. »
Le chef du maintien de la paix de l'ONU a insisté sur le fait que cette stratégie politique devait être complétée par une stratégie de communication. « Il faut faire passer le message sur le terrain, a-t-il indiqué. Notre analyse des choses est que beaucoup d'ex-FAR aujourd'hui hésitent. Ils sont retenus par les leaders qui ne veulent pas désarmer. Si nous arrivons à faire relâcher l'emprise de ces leaders sur leurs troupes, nous pouvons envisager de nouveaux flux de désarmement. »
« Donc, vous voyez, la stratégie qui réussira dans les Kivu c'est une stratégie intégrée qui a un volet militaire, qui a un volet politique et qui a un volet de communication. Je pense que c'est possible. Je pense que la pression doit augmenter. […]. A Pretoria, l'an dernier, il y a eu un accord pour faire, de façon décisive, avancer les choses dans les 12 mois qui suivaient. Les 12 mois arriveront à échéance à la fin de novembre de cette année » , a poursuivi Jean-Marie Guéhenno.
« Dans les mois qui viennent, il y a une fenêtre qui est ouverte pour le désarmement des ex-FAR et des Interahamwe, a-t-il ajouté. Il faut que des combattants qui sont dans la forêt depuis des années comprennent que le moment est venu de rendre les armes et la pression qui s'exerce sur eux va s'accroître dans les mois qui viennent. »
A propos des relations de la RDC avec le Rwanda et l'Ouganda, M. Guéhenno a déclaré qu'il y avait « une confiance à rétablir », ajoutant que « le rapprochement était plus avancé aujourd'hui entre l'Ouganda et la République Démocratique du Congo qu'entre le Rwanda et la RDC » mais que « des deux côtés, il y avait la volonté d'échanger des ambassadeurs et que l'Ouganda et le Gouvernement congolais s'étaient mis d'accord pour procéder à des vérifications conjointes avec la participation de la MONUC. »
« Il y a des allégations sur des problèmes aux frontières. Je pense qu'il faudra, en ce qui concerne les relations entre le Rwanda et la RDC, mettre en place des mécanismes similaires », a indiqué le Secrétaire général de l'ONU qui a affirmé qu'il était « très important que la pleine et entière souveraineté du Congo soit, bien entendu, toujours respectée par tous, c'est fondamental mais […] important aussi que chacun fasse les gestes qui permettront établir graduellement la confiance. Elle ne va pas se construire en un jour, c'est évident, […] c'est une œuvre de longue haleine » que l'on bâtit « patiemment par des institutions, par des contacts, par des relations diplomatiques, en discutant des problèmes, des problèmes de frontières, de passages des personnes, des marchandises etc. »
De façon générale, le séjour de Jean-Marie Guéhenno n'a pas entamé l'impression qu'il avait déjà exprimée peu de temps après son arrivée dans le pays, celle de « progrès remarquables » effectués en un an. « L'avantage de venir en République Démocratique du Congo environ tous les dix mois, c'est que ça permet de mesurer la tendance et donc, de ne pas se laisser impressionner, au-delà du nécessaire, par les à-coups », a indiqué M. Guéhenno.
« Il y aura des à-coups », a-t-il déclaré, revenant aux affrontements de Bukavu pour insister à nouveau sur l'importance de créer une armée nationale congolaise.
Il a dit souhaiter rendre hommage à cet égard aux troupes de l'ONU « pour ce qu'elles ont accompli en Ituri où la transformation est visible, où la population est maintenant, partout où la MONUC est déployée, dans une situation bien meilleure que celle qu'elle connaissait, il y a une année. »
M. Guéhenno a également rendu hommage « au peuple congolais et à sa maturité politique parce que la transition, avec ses à-coups et ses difficultés, fonctionne », soulignant le fait que l'on puisse « voir aujourd'hui dans une même ville, à Kinshasa donc, trois Vice-Présidents de trois Composantes différentes, cela n'était pas possible, il y a une année. En m'entretenant tout à l'heure avec le Président de l'Assemblée Nationale et du Sénat, j'ai pu voir le sérieux du travail parlementaire qui est accompli. J'ai pu constater que ces personnalités prennent à cœur l'échéance importante, essentielle et fondamentale pour le pays que sont les élections. »
« Je suis toujours frappé, quand je viens dans ce pays, de voir l'extraordinaire richesse, à la fois en ressources naturelles mais aussi humaines du pays. Comme me le disait un de mes interlocuteurs au cours de ce voyage, ''au Congo, nous sommes tous des minorités''. Ce qui devait être un facteur de tolérance. Personne ne doit penser pouvoir opprimer l'autre, et chacun doit respecter l'autre parce que chacun fait partie d'une minorité. Mais c'est la grande richesse d'un pays, cette diversité. »
Le Secrétaire général adjoint de l'ONU a fait observer que « les élections sont un moment de rassemblement » qui, si elles ne sont pas bien gérées, peuvent à l'inverse être un moment de division. Il a insisté pour que, dans les 12 mois qui viennent, tous ceux qui le peuvent, contribuent à cette entreprise d'éducation et de discussions publiques.
« Ce que j'ai toujours noté en venant au Congo, c'est que, malgré l'immensité et la grande diversité du pays, de Bunia à Matadi, de Bukavu a Lubumbashi ou à Kinshasa, chacun se sent congolais. C'est la grande force de ce pays d'avoir dans la diversité cette force nationale. Il faut maintenant que les élections soient l'occasion de manifester cette force, d'aller au-delà d'agendas particuliers, de voir l'intérêt national du pays. Vous avez un pays magnifique, un pays avec des ressources extraordinaires [...]. Je pense que les 12 mois qui viennent sont l'occasion de répondre à la communauté internationale, par un engagement fort », a déclaré M. Guéhenno.
« Vous allez montrer que le Congo se rassemble et devient le pôle de stabilité et de prospérité en Afrique centrale. Parce qu'avec un Congo prospère, c'est une partie essentielle de l'Afrique qui abordera l'avenir dans des conditions différentes. Ca sera le bien des Congolais, ça sera aussi le bien de toute l'Afrique», a-t-il ajouté.
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02/06/2004 21:59 )
À Kriens / Switzerland
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Mr Kamatari et Kodjo tournent à rond!! On parle bien des militaire dissident de deux faux généraux Kunda et mutelesi issues de la communauté Banyamulengi qui occupent la ville de Bukavu ,soit disant pour proteger les civiles Banyamulengi renseignez vous bien. Ensuite les militaires de deux généraux confondent tjs la frontière du Rwanda voisin et du Rdc comme si c'était un même pays. Personne ne dupe pour lire vos arguments! La guerre à l'Est du rdc commence toujours par les Banyamulenge! 1996,1998 et celle ci ! Les banyamulengi ne font pas peur mais sont trop arrogant et manipulateurs, ils se disent minoritaires!! or au congo(RDC) le 350 tributs sont aussi minoritaire!! KEBA! |
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Kamatari pro-rwandais !!!!!!!!!!!!!!! |
Mawa trop (
02/06/2004 23:13 )
À Alkmaar / Netherlands
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J'ai l'impression que Kamatari est un rwandais fan de Paul car a chaque qu'il ya une discution il defend paul mawa nayo..
Cette guerre durera meme 100 ans mais saches que la RDC sera et restera toujs le pays des congolais..
sans racune . |
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Que dit Jean-Marie Guehenno? |
Kamatari (
03/06/2004 11:00 )
À Mons / Belgium
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Chez le le chef du maintien de la paix de l'ONU, il y a plus d'intentions que des actes. Toutefois, il dmet que le problème actuel du Congo, de l'est en particulier, ces sont les troupes Interahmwe qui perturbent le processus de paix et qui sont par ailleurs la véritable cause de ce qui s'est passé au Congo. Le seul avantage de cette présence facheuse est qu'elle a contribué à culbuter Mobutu. Pour le reste, c'est une catastrophe que les Franco-européens ont créée dans la région.
De l'article ci-avant, on voit que la MONUC, comme sous d'autres cieux où l'ONU a opéré, est inefficace et aurait dû prévenir ce conflit de Bukavu.
D'une part, la MONUC a voulu désarmer les Banyamulenge et d'autre part, elle n'est pas parvenu à sécuriser la région. La preuve: les attaques contre les civils, notamment Banyamulenge. On voit que ces légionnaires de l'ONU n'ont aucune idée de ce qui se trame dans ce coin et s'en foutent, si on peut se permettre de le dire.
Il faut dire aussi, et cela n'est nul part exprimé, qu'on minimise l'historique et le facteur Mu/Ba Nyamurenge. Ceux-ci, pour ceux qui ne les connaissent pas, sont, au départ, un petit peuple de pasteurs pacifiques logé dans les montagnes de l'est du Congo. Leurs problèmes commencent avec l'arrivée des Belges en colonisateurs et à la recherche de la main-d'oeuvre gratuite. Les autorités belges se heurtent à ce petit peuple qui ne voulait pas travailler bénévolément ni aller faire du terrassement des routes, ni planter les choux des colons. Ceci leur a valu de ne pas être reconnus comme collectivité par les autorités coloniales. De ce fait, ils n'avaient aucune reconnaissance juridique d'autant qu'ils ne s'étaient pas convertis au catholicisme comme d'autres mais au protestantisme. Ceci est un fait marquant et véridique. Donc, pas d'écoles dont le monopôle est à l'Eglise catholique.
A l'avénement de l'indépendance, ils n'ont droit à aucune représentation politique ni administrative légale.
Mais avec la rébellion des années 60-65, les choses changent. Ils se font remarqués par leur importance stratégique en s'alliant d'abord aux rebelles contre le gouvernement de Tshombe et de Mobutu.
Ils changent ensuite de camp lorsque ces mêmes rebelles (venant d'autres communautés) s'attaquent à leur population et à leur bétail. Ils changent de camp et sauvent Mobutu d'une défaite dans la région du Kivu. Ils sont même intégrés dans l'armée et sont reconnus comme une collectivité et peuvent enfin étudier et avoir des postes assez élévés dans l'hiérarchie administrative du pays.
Pour des raisons clair-obscurs, ils ne pouvaient dépasser le grade de capitaine. Il est vrai que les places y étaient réservées et chères.
Le reste de leur histoire a fait le tour du monde, malgré eux.
Il faut dire aussi que leur histoire n'est pas unique surtout dans cette partie est du Congo quand on analyse le nombre de rebellions depuis la création ex-nihilo de ce pays nommé Congo par Stanley et Léopold II avec la bénédiction de la Conférence de Berlin.
Ceci montre bien que ceux qui veulent nous faire croire que le Rwanda est la cause de ce qui se passe au Congo se trompent ou veuler tromper l'opinion des gens.
Bien au contraire, le Rwanda et le Burundi en sont aussi victimes par proximité. |
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03/06/2004 14:51 )
À Kriens / Switzerland
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Mr Kamatari pouvez vous nous dire dans quel livre est écrit votre Histoire à dormir débout!! Dis nous clairement que veulent ce Banyamulengi ? Que ce qu'ils revendiquent ?A propos des Interahmwe c'est un problème Rwando-Rwandais "pourquoi n'est pas suivre l'exemple de la reconciliation à la Sud -Africaine,Burundaise ou à la Congolaise cà d faire une conférence National et ensuite un gouvernement d'union national au Rwanda ?"si je comprend bien Kagame a peur de perdre son pouvoir pcq c'est un Dictateur. Parlez de la catastrophe crée par les Franco-Européens est aberrant. Ensuite vous parlez de la pertubation du processus de paix par les Interahmwe! mais dans quel Pays le Rwanda ou la RDC?? est ce que Les Interhamwe sont des Phantômes qui attaquent le Rwanda magiquement la nuit sans que personne ne sache??? ou c'est une imagination typique du DICTATEU PAUL KAGAME. Arretez de nous distraires Mr Kamatari. KATAMAKO |
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faux fuyant |
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03/06/2004 15:01 )
À / Belgium
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Tous ceux qui soutiennent les banyamulenge sur ce site sont des anti-humains car si vous voyez ce qui se passe sur terrain vous n'en reviendrez pas. Un gd monsieur qui viole une fillette de 3 ans! le problème de ces frères n'est pas celui qu'on clame tout haut, le Congo a toujours été pacifique et acceuillant, ces frères sont venus du rwanda et leur sang est rwandais c'est pour cela qu'ils ont cette culture des armes et d'égorger les autres. S'ils sont congolais pourquoi massacrent ils les autres ethnie de Bukavu? avez vous déjà vu un fils né dans une maison et réclamer la paternité? à moins qu'il doute de son appartenance dans cette famille. C'est le cas de ces frères. Ils seront errants et vagabonds sur la terre pour tous les maux qu'ils ont apporté au Congo.Ils ne sont même pas croyants parceque la bible ne nous permet pas de faire du mal à autrui. Dieu a vu notre hospitalité et lui même fera justice. Qui vivra verra la fin de ces hommes et de leurs ambitions. au Congo il y'a d'autres petites ethnies comme les tembo, nyanga qui sont très minoritaires, les a-t -on vu menacé le pays? il y'a au Congo, les bemba de la RDC et ceux de la Zambie, les Congo de la RDC et ceux duCongo Brazza, y'at-il déjà eu des prolèmes entre nous?
Nos frères que cherchent ils? le vice président de la république est munyamulenge, eux mêmex les insurgés occupaient des hautes fonctions militaires , que cherche t-ils?
Jugez-en vous même. |
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A Katamako et à son disciple |
Kamatari (
03/06/2004 17:38 )
À Liège / Belgium
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Cet article parle du Congo et il s'agit bien de son processus de paix et aussi de celui de ses voisins. Ici, je me réfère à l'article venant des instances de l'ONU et que Abdoul et un autre lecteur ont eu l'amabilité de poster. La question revient aussi à se se demander pourquoi la Tanzanie ou l'Uganda et même la Zambie n'a pas le même problème avec le Rwanda ou ses voisins immédiats ou lointains. Qu'est-ce qui est correlatif quand on essaie de comprendre la crise de la région? Le problème n'est pas, loin de là, rwando-rwandais comme certains s'amusent en jouant aux rébus. Le problème est certenement africano-européen. J'ai voulu expliquer que l'ingérence des Franco-européens (les Danois et autres nordiques n'y sont pas associés par exemple) est la cause majeure des problèmes que nous essayons de comprendre. C'est clair et limpide sauf pour certains. Tant pis!!! J'espère que nos frères de l'Afrique de l'ouest ont quelques points d'acccord pour s'accrocher à notre causerie à bâtons rempus.
L'autre fait est que les Rwandais et les Barundi sont "difficiles" et ne veulent pas se soumettre aux dictats de ces étrangers.
L'explication est simple, les deux pays sont de véritables état-nations qui préexistent avant l'arrivée des Européens et ont une histoire commune. Ils n'ont pas été intégrés dans des entités plus larges par le contexte de l'histoire de l'Allemagne et de la leur. Le problème du Congo est tout autre. Même avec ce état de choses, des révoltes ont eu lieu comme surtout chez lzs Bangala et les Batetela, le peuple d'où vient Lumumba. A ce propos, qui, d'après ceux qui ont lu des livres d'histoire et connaissent celle du Congo, l'a lynché et l'a vitriolé? Qui fut heureux et fier de l'avoir hors du chemin? Pas les Rwandais ni les Barundi mais ... La suite au prochain numéro si nos deux compères n'ont rien voulu avouer.
Si quelqu'un croit que la RSA, le Burundi ou le Congo vivent une nouvelle vie de réconciliation, il se trompe énormément. Il ne faut jamais se fier aux apparences. La RSA vit sous perfusion verbale et anti-viral et peut sauter d'un moment à l'autre. Le Burundi n'est pas encore sorti de son conflit à génocide rampant. Le Congo? De quel Congo, puisque les deux sont dans la m.... jusqu'au cheveux.
Quant aux Banyamilenge, ils n'ont pas besoin d'être soutenus puiqu'ils savent que cela ne leur servira à rien du tout dans leurs problèmes. Je suppose qu'ils veulent vivre en paix chez eux et avec leurs voisins comme toujours. D'ailleurs, il suffirait de soutenir leur pays, le Congo, pour que, eux et leurs comptriotes se sentent mieux. Du moins, osons l'espérer.
Il serait intéressant que les deux racistes anti-banyamulenge nous instruisent un peu mieux sur ce qu'ils connaissent de ces Congolais à part. Où habitent-ils et combien sont-ils? Quelle est leur histoire (écrite ou non dans un livre)?
Parlant des autres tribus du Congo-Kinshasa, il faudra qu'ils nous expliquent pourquoi les Lunda ont chassé et massacré les Baluba qui habitaient le sud du Katanga. Katamako pourrait aussi nous expliquer d'où viennent les Banande ou Bandande... Sont-ils congolais d'origine ou seraient-ils de l'autre côté de la rivière, en Uganda. Le Tembo ou les Banyanga en sont-ils contents ou pas?
Et comment s'appèle le Munyamulenge qui est vice-président ? Il y aurait-il un 5e vice-president? |
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Oh que t'es bete kamatari |
Mawa trop (
03/06/2004 22:18 )
À Alkmaar / Netherlands
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tes rapports de l'ONU rien a foutre ..Moi j'ai pas confiance ni de l'ONU ni du rwanda..
cense de proteger Lumumba l'onu l'avait fait assassine ...Meerdier |
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(
03/06/2004 23:00 )
À Kriens / Switzerland
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Mr Kamatari je vous prie de bien suivre la radio monuc okapi www.monuc.org/rdc au lieu de nous racontés des salades ! quand l'armée du RDC dirigée par le général Mbuza Mabe etait dans la ville de Bukavu tout était calme, dès que la ville est tombée aux mains de cette bande des Rwando-Banyamulenge ( L'armée Rwandaise et Banyamulengi) y a des pillages , viol des femme , tuerie etc... Vous savez bien Mr Kamatari le problème du Katanga a été un coup monté par Mobutu c'est un cas isolé et en plus il ne faut pas ignoré l'hospitalité du Peuple Congolais, dans la ville de Kinshasa on compte au moins plus de 800milles Angolais qui vivent avec nous dans l'harmonie et bien integré ya pas des problèmes. Mais le Peuple Banyamulengi sont de nature complexé partout où ils iront y aura tjs des problèmes, je crois c'est un péché de Dieu!!! Rwanda, Burundi,Rdc, Ouganda etc......)l ya des Bakongo en Rdc, Angola, Congo-Brazza. Gabon. Cabinda dû à la colonisation et au tracée des frontières "Mais chacun aujourd'hui se sentent mieux chez lui, mais votre ami et frère Ruberwa vice-président du gouvernement de transition du RDC, se sent plus Rwandais que Congolais!!! Un poisson ne peut pas devenir crocodile vice versa. C'est simple les Banyamulenge ne veulent pas devenir Congolais à part entier mais des Rwandais au Congo. KATAMAKO |
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Inculture ou imposture |
Kamatari (
04/06/2004 09:31 )
À Berlaar / Belgium
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Les réponses ci-avant à ma réaction ne me satisfont pas car elles sont à côté de la plaque et sont des faux-fuyants lamentables ou des faux tout court.
Celui qui se prend pour intelligent, puisqu'il veut se mesure en disant que je suis bête, n'est même pas Congolais sinon, il est profondément inculte pour un patriote congolais: il ne sait même pas comment Lumumba est mort. Encore un qui est venu de Masina, a voyagé dans les soutes et a atterri directement à Roisy croyant se retrouver à 't Zaventem.
Donc, ses avis sont nuls et non avenus.
Katamako, non plus, ne sait rien des Banyamulenge, ni des Bandande et encore moins des problèmes tribaux du Congo. Il n'est pas non plus Congolais ou n'y a pas vévu s'il n'est pas un loup Franco-européen qui s'est glissé dans la bergerie de Grioo. Il confond Nguz Karl Bond et Mobutu qu'il traite d'un cas isolé. Il est fabuleux.
Son propos, dans un français approximatif, est décousu: il mêle Dieu avec les problèmes de viols, pillages, des peuples frontaliers, la biologie aquatique et bien d'autres considérations. Moi, je ne vois pas où il veut en venir.
Je ne vois aucune information utile, sur le sujet, dans son écrit. Dire que les Banyamulenge ne veulent pas devenir Congolais alors qu'ils le sont est une inconhérence majeure et un signe que Katamako ne connaît rien de l'histoire de "son" pays.
Bref, certains intervenants dans ce forum ne sont que des désinformateurs ou des affabulateurs.
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Honteux et désolant |
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07/06/2004 14:33 )
À / Belgium
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C'est vraiment honteux pour nous de discuter sur des choses sans fondement. j'ai comme l'impression que beaucoup d'entre vous ne sont jamais arrivés à l'est du pays pour voir comment nous sommes coloniser. L'histoire de balauba du shaba et ceux du Kasaï n'est pas à comparer avec celle que nous vivons actuellement. Là il yavait pas eu des viols ni de pillage, on nous demandait simplement de vider les lieux. Mais pour le cas de Bukavu, c'est une aggréssion soutenue par le rwanda. C'est très honteux pour nous de voir qu'un petit pays se joue de nous. |
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