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Retour à l'article: La nouvelle farce de Laurent Gbagbo.
  La nouvelle farce de Laurent Gbagbo.
Il récuse la nouvelle médiation et rejette toute négociation.
 
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La nouvelle farce de Laurent Gbagbo.

Nombre de messages
:  25
Pages:  1  2 > >> 

  Encore plus con ce Gbagbo!
Drums ( 21/09/2005 12:00 )
À La Seyne-sur-mer / France

Rien à rajouter. Ceux qui nous gouvernent sont toujours plus cons lorsqu'ils accèdent au pouvoir. Dans l'opposition, ils ont des idées géniales, ensuite plus rien. Pauvre AFRIQUE!
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  quel titre fantaisiste
loulou ( 21/09/2005 12:43 )
À / France

la rebellion a été reconnue comme élément perturbateur refusant de désarmer, telle est la position de la médiation mbéki,
alors que les sanctions doivent être appliquées, on souhaite recommencer une nouvelle négociation,
il est normal que le président ivoirien refuse cette mascarade,
par contre grioo et monsieur bertrand bougha, votre titre est tout simplement patétique,
la nouvelle farce, c'est vous,
lorsque les bandes armées du nord, ont souhaité recusé la médiation sud africaine, je n'ai jamais lu de titre, "la nouvelle farce des rebelles"
je ne vous félicite pas
--une africaine, non ivoirienne, mais assez consciente
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  Le nigeria achater par la france
africain ( 21/09/2005 13:11 )
À / Burkina Faso

C'est une honte pour le nigeria de se laisser manipuler par la france.
tout le monde veux le depart de bagbo mais si bagbo s'en va des millions de bagbo naitrons.
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  Obasanjo manipulé par la France
Prout ( 21/09/2005 13:41 )
À Paris / France

Tu vois des complots partout, toi aussi ?? Un peu faiblard comme argumentation.
Que tous ceux qui ont cherché des solutions au conflit ivoirien en ait marre, çà se comprend.
Pas besoin de voir pour autant la France partout, çà devient lourd.+
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  A lire ATTENTIVEMENT
Afroman ( 21/09/2005 14:35 )
À Born / Netherlands

LISEZ un peut le message en anglais du président SUD AFRICAIN !!

(L'agence france presse AFP ) a délibérement falsifié ce texte .
c'est alarmant !
Pour ceux qui ne seraient pas encore convaincu du rôle de la Fransse dans les différentes crise que traversent nos pays.
C'est le VRAIS journal des milles colline , avec RFI
AFRICAINS REVEILLEZ-VOUS

Mbeki stays put as I Coast mediator




Wed, 21 Sep 2005



President Thabo Mbeki has not been asked to step down from his
role as peace mediator in the Ivory Coast peace talks, the
Presidency said on Tuesday night.








"There is no truth to the reports in some newspapers, apparently
sourced from French news agencies, that the African Union and
United Nations Security Council have decided to ask President Mbeki
to step down from the peace mediation in Cote d'Ivoire (Ivory
Coast)," spokesperson Murphy Morobe said in a statement.




He said sections of the French media were victims of a
"misinformation campaign" conducted by forces bent on preventing
peace in the region.



"The South African government is nevertheless mindful of the
fact that there are significant interests at stake and that there
would be elements who feel threatened by peace breaking out in the
region, especially a peace brokered by-and-large by Africans
themselves."

Le programme de gouvernement de se monsieur se nomme "la renaissance "
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( 21/09/2005 17:19 )
À / Russian Federation

bravo MR le president de la Cote d'ivoire, ces rebelles ne sont que les peroquets de la franSSe

bien sur que la franSSe ne cherche qu'a exploiter le moindre probleme

la preuve : le togo avec le fils a papa qu'elle est soutien avec l'aide de ce president du nigeia a genou devant l'eternel SS anti noir qu'est chirac
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( 21/09/2005 17:35 )
À Kassel / Germany

Pourquoi ce titre lamentable,ne pouvait on pas se contenter de nous conter les faits au lieu d´afficher aussi ouvertement sa position.
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  Titre lamentable
Nzila ( 21/09/2005 18:21 )
À / France

Que veut-on de plus de la part de Gbagbo ? Il a négocié, il a joué le jeu, souvent contre son camp, il a suivi à la lettre les recommandations du médiateur Mbeki. Qu'a fait la rébellion ? Quels gestes a-t-elle faits pour aller aux élections ? Aucun. Que Gbagbo ne veuille plus négocier est justifié. Les autres veulent des négociations éternelles pour le tourner en bourrique jusqu'à la date du 30 octobre et lui dire après de déguerpir. La ficelle est trop grossière. L'Afrique doit avancer, Gbagbo tiens bon. Beaucoup d'Africains sincères sont derrière toi.
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( 21/09/2005 21:40 )
À New York / United States

merde, merde de politique africaine. Quand apprendrons-nous?
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( 21/09/2005 22:09 )
À Strasbourg / France

Vite Général DOUE pour mettre de l'ordre, dans ce boxon.
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  Laurent Gbagbo : “Je ne vais plus à d’autres négociations”
Bruno Anderson ( 21/09/2005 22:27 )
À Paris / France

Laurent Gbagbo : “Je ne vais plus à d’autres négociations”

Notre Voie - 9/20/2005 7:29:53 PM

Le peuple tchama (Ebrié) d’Abobo-Baoulé s’est offert un splendide palais dit de l’Unité d’un coût de 250 millions de FCFA. Au cours de son inauguration, hier, le chef de l’Etat a dit ses vérités à la classe politique ivoirienne.

Le président Laurent Gbagbo, en saluant, hier, l’œuvre d’envergure qu’est le Palais de l’Unité construit par les Ebrié d’Abobo-Baoulé, a souligné que “la richesse se trouve dans l’organisation”.
Pour lui, il n’y a pas de communauté pauvre, mais tout est une question de volonté. “Nous sommes dans un monde de rigueur. alors ne désespérez pas. il faut toujours travailler pour obtenir ce dont on a besoin”, a soutenu le chef de l’Etat répondant aux jeunes et aux femmes dont les porte-parole, M. Danho Bernard et Mme Konan Joséphine, ont d’abord présenté leurs acquis, avant d’égrener le chapelet de leurs doléances.
Le président Gbagbo a surtout félicité les cadres et fils d’Abobo-Baoulé pour leur esprit de solidarité et communautaire qui leur a permis de construire un palais qui fait leur fierté.
Abordant le volet politique de l’actualité, Laurent Gbagbo a condamné le règlement des différends par les prises d’armes “pour régler un problème. Quelle que soit la nature de celui-ci, on ne prend pas les armes. Ni les agni, ni les Guébié ne l’ont fait face ou contre Houphouet. Avant 2002, personne n’a pris les armes contre la Côte d’Ivoire. Et pourtant”.
Il a indiqué, en substance, que tout peut se faire dans la négociation. C’est pourquoi il a soutenu qu’il a accepté d’appliquer à cause de la paix l’accord de Marcoussis, dont il n’a jamais été signataire. Il a condamné surtout les manigances des leaders politiques qui sont versatiles à tout point de vue. “Malgré mes efforts en signant et en acceptant des conditions incohérentes, le désarmement n’a pas eu lieu, alors que les signatures ont été posées par tous les leaders sur les documents. A partir d’aujourd’hui, moi, je ne vais plus faire de négociation. Car la condition pour aller aux élections, c’est le désarmement”.
Dépité par le comportement de ses adversaires, le président Laurent Gbagbo a dit que jouer à la duplicité n’honore pas l’homme. Aussi a-t-il invité les acteurs politiques à jouer franc-jeu. “Que ceux qui ont donné leur parole devant Thabo Mbeki et qui ont posé leur signature sur les documents appliquent les décisions prises de commun accord. Moi, mon rôle, c’est d’appliquer la Constitution. Et, depuis 1990, je l’applique. Quand des gens m’ont demandé de créer une table ronde que j’ai réfutée”. Il a continué pour asséner : “Je ne suis pas d’accord qu’on donne le pays à quelqu’un qui n’a pas de légitimité. Les conférences nationales sont des raccourcis pour des gens qui ont de belles paroles, mais qui ne connaissent rien au pays et qui ne le méritent pas”, a-t-il soutenu dans un tonnerre d’applaudissements.
Selon lui, il reste à faire le point avec le président Mbeki dans peu de temps à Yamoussoukro. Pour cela, il a écrit à celui-ci en même temps qu’à M. Pierre Schori, le représentant de Kofi Annan en Côte d’Ivoire, pour aviser, car il est attaché à la Constitution, la boussole du pays. “Mon rôle est de protéger chaque Ivoirien, même ceux qui sont contre moi. Je ne suis donc pas prêt à tripatouiller la Constitution. Il ne faut pas volontairement ignorer la Constitution. Quand le texte est clair, on ne l’interprète pas”, a-t-il fait remarquer.
A ceux qui parlent de l’après 30 octobre, il rappelle que le mandat du président de la République prend fin quand le nouvel élu prête serment. “Il n’y a donc pas de vide juridique après le 30 octobre. C’est d’ailleurs une date qui n’est pas inscrite dans la Constitution. Sinon ceux qui parlent me donnent huit jours cadeau, parce que j’ai été élu le 22 octobre 2000 et j’ai prêté serment le 25 du même mois. Il ne faut donc pas écouter ces frères qui ont de faux amis. J’appelle les ivoiriens à se rassembler et à prendre leur destin en main. J’invite les ivoiriens à ouvrir les yeux pour voir et ouvrir les oreilles pour entendre. Car celui qui reçoit les rebelles d’un autre pays dans le sien, c’est qu’il n’aime pas ce pays. Il faut s’en méfier. Ce qui est sûr, la crise finira bientôt. Et nous n’en sortirons uniquement que par les élections. Il ne faut surtout pas écouter les faux amis, puisque les solutions à nos problèmes sont entre nos mains et elles passent par les lois de la Côte d’Ivoire”, a-t-il conclu.


Bruno Anderson


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  Gbagbo défie la mafia françafricaine - Analyse
( 21/09/2005 22:28 )
À Paris / France

Gbagbo défie la mafia françafricaine - Analyse

Le Courrier d'Abidjan - 9/20/2005 6:41:40 PM



Le président ivoirien, dans sa dernière lettre à Kofi Annan, gêne les manœuvres d’un petit groupe de chefs d’Etat qui, défiant les règles de base des institutions africaines, sont prêts à tout pour appuyer la coalition franco-rebelle.


Assurément, la dernière lettre du président Laurent Gbagbo à Kofi Annan, secrétaire général de l’ONU, restera dans les annales de la diplomatie africaine. A travers ce courrier, le chef de l’Etat ivoirien pousse un grand «ras-le-bol» face aux manœuvres des nageurs en eaux troubles qui ont pris en otage la résolution de la crise ivoirienne.
Mais au-delà de l’aspect émotionnel, Gbagbo pose deux grands actes politiques et diplomatiques. Il dénonce un scandale, et il tue un tabou.

Le scandale : quand des chefs d’Etat africains publient de faux documents

Cela faisait plusieurs jours que des rumeurs éparses circulaient sur le «transfert» du dossier ivoirien à la CEDEAO. Chose curieuse, ces rumeurs n’étaient pas confirmées par le communiqué officiel de la rencontre Obasanjo-Mbeki, publié par les services du secrétaire général de l’ONU. Communiqué qui confirmait le statut de médiateur de Mbeki et préconisait une plus large coopération entre le Conseil de sécurité de l’ONU, l’Union africaine et la CEDEAO. En bref, pas de quoi fouetter un chat. Mais d’où provenaient donc les différentes «sources» de la presse pro-rebelle et d’une partie de la presse française ?
En réalité, à New York, dans les locaux de l’ONU, s’est organisée une réunion informelle de trois chefs d’Etat africains, qui se sont débrouillés pour inviter leurs pairs assez tard pour qu’ils ne puissent pas être présents, et ont aussitôt transformé leur réunion en sommet du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine. Lequel Conseil est doté de quinze membres : le Gabon, l’Ethiopie, l’Algérie, l’Afrique du Sud, le Nigeria, le Cameroun, le Congo, le Kenya, le Soudan, la Libye, le Lesotho, le Mozambique, le Ghana, le Sénégal et le Togo. En dehors du président en exercice de l’UA et du médiateur de la crise ivoirienne (le mandant et le mandaté), un seul chef d’Etat africain membre du CPS (visiblement Abdoulaye Wade, ce que certaines sources contestent) était présent à cette réunion. Le quorum était donc loin d’être atteint. C’est d’autant plus étrange que d’autres présidents de pays membres du CPS étaient présents à New York et n’ont pas participé à la réunion. Parmi eux, entre autres, les présidents camerounais et congolais…
Pis, la «résolution» ne porte pas l’en-tête du CPS, mais il émane de la Mission permanente d’Observation de l’UA auprès de l’ONU. Le document a donc tout l’air d’un faux.
Cette logique du faux fait suite au sommet d’Abuja, organisé en novembre 2004 par un groupe de cinq amis, se trouvant être chefs d’Etat africains, qui s’est autoproclamé sommet de l’UA et a pondu une déclaration demandant des sanctions contre la Côte d’Ivoire de Laurent Gbagbo. Le sommet avait été commandé par la France, qui voulait contrecarrer les résistances chinoises et russes au Conseil de Sécurité des Nations Unies, en brandissant une caution africaine. Cette fois-ci, la réunion a été demandée par la France qui veut contourner le rapport du médiateur sud-africain en vue de faire une résolution sur la Côte d’Ivoire, qui ne prescrira pas la seule chose prévue par les accords et non réalisée : le désarmement des rebelles.

Le tabou : l’implication de pays membres de la CEDEAO dans le conflit

La France espère obtenir de la CEDEAO ce qu’elle ne peut avoir de manière unanime de l’Union africaine, où les pays de «l’autre Afrique» siègent et ne permettraient pas n’importe quoi : une approbation du projet de transition imaginé par Paris mais porté par la rébellion. Paris cherche également à écarter Thabo Mbeki de la réunion qui balisera le terrain pour une future réunion du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine. Ou comment utiliser l’Union africaine à la carte… La France est d’autant plus confiante dans la CEDEAO qu’y figurent des Etats, tels le Burkina Faso et le Mali, qu’elle a mandatés pour déstabiliser la Côte d’Ivoire. Elle a en outre de nombreux pays vassaux au sein de l’organisation ouest-africaine. C’est cette imposture – qui voit Blaise Compaoré par exemple participer à des sommets, notamment à Accra II et à Accra III, comme bienveillant médiateur – que le président Gbagbo dénonce. Il met ainsi sur la place publique une crise qui couve au sein de l’organisation depuis le 19 septembre 2002 : en dépit des textes fondateurs qui interdisent formellement, entre autres, à un pays de servir de base arrière à des actions de déstabilisation, le club des chefs d’Etat ouest-africains a laissé faire sans rien dire le Burkina Faso, le Mali et dans une certaine mesure, le Sénégal d’Abdoulaye Wade. Le conflit est désormais ouvert, et pourrait se solder, au pire des cas, par une sortie de la Côte d’Ivoire de la CEDEAO. Comment traiter du cas d’un pays qui n’est plus membre ? Pour la première fois, Abidjan lève le ton de manière franche et officielle face aux manœuvres de l’ombre de capitales voisines. Les autres pays membres auront-ils le cran d’aller au clash ? Les prochains jours nous le diront.



Par Sylvie Kouamé

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  La lettre du président Gbagbo à Kofi Annan
Djibril Thiam le Kamer Amer ( 21/09/2005 22:30 )
À Paris / France







La lettre du président Gbagbo à Kofi Annan

Presidence - 9/19/2005 11:45:24 PM

Abidjan, le 19 septembre 2005

Monsieur le Secrétaire général,

J’ai l’honneur d’appeler votre haute attention sur les faits suivants :

J’ai pris connaissance, le 17 septembre 2005, d’un communiqué émanant de la Mission Permanente d’Observation de l’Union Africaine auprès des Nations Unies, intitulé « Communiqué de la 38ème réunion du Conseil de Paix et de Sécurité ».

Ce texte fait mention d’une réunion du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union
Africaine qui se serait tenue le 14 septembre 2005, à New York, au niveau des Chefs d’Etat et de gouvernement, avec un seul point à l’ordre du jour : la situation en Côte d’Ivoire.

Ce communiqué appelle de ma part les remarques suivantes :

1. Sur la forme, il s’agit d’une séance de travail convoquée par le Président de l’Union Africaine, en vue d’être informé sur l’évolution du processus de paix en Côte d’Ivoire. Il ne s’agit donc pas d’une réunion formelle du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine, justifiant la publication d’une résolution engageant l’ensemble de l’Organisation.

Au demeurant, outre le Médiateur et le Président de l’Union Africaine, un seul Chef d’Etat était présent à cette réunion. Les autres Chefs d’Etat, y compris ceux présents à New York, se sont fait représenter, en raison du fait d’avoir été informés au pied levé quelques heures seulement avant la tenue de la réunion.

2. Sur le fond, je suis surpris que ce communiqué renvoie dos à dos les parties ivoiriennes qui n’auraient pas montré de volonté politique pour appliquer les accords, alors que le rapport du Médiateur, qui a travaillé pendant onze (11) mois sur le dossier, indique clairement le point de blocage, constitué par le refus de désarmer de la rébellion. Ayant pour ma part appliqué les accords dans leurs moindres détails, je trouve ce communiqué subjectif et hors de propos.

3. Toujours sur le fond, le communiqué souligne la nécessité de réexaminer la situation en Côte d’Ivoire avant le 30 octobre 2005 et demande à la CEDEAO de faire une évaluation et de soumettre un rapport au Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine qui prendra des décisions.

A ce sujet, je voudrais vous exprimer, Monsieur le Secrétaire général, mon rejet par avance d’une saisine de la CEDEAO sur la Côte d’Ivoire en raison de l’implication directe de certains pays membres de cette organisation dans le conflit ivoirien.

Par ailleurs, je considère que nous sommes à la fin du processus entamé à Linas-Marcoussis et j’ai, en ce qui me concerne, honoré tous mes engagements. Le Médiateur a présenté un rapport au Conseil de sécurité des Nations Unies, le 31 août 2005. Il revient donc à l’Organisation des Nations Unies, qui est engagée en Côte d’Ivoire à tous les niveaux, de prendre ses responsabilités pour le retour de la paix en Côte d’Ivoire, conformément aux accords de Pretoria.

Au surplus, la juridiction de la CEDEAO concernant la connaissance de la crise ivoirienne ne peut être à nouveau retenue car c’est bien après l’échec de cette organisation sous-régionale que la communauté internationale s’est saisie de l’affaire par la convocation de la table ronde de Linas-Marcoussis. Tout nouvel arrangement unilatéral de la CEDEAO constituerait un retour en arrière et une menace très grave pour la paix, la réconciliation nationale en Côte d’Ivoire.


Veuillez agréer, Monsieur le Secrétaire général, l’assurance de ma très haute considération.


Laurent Gbagbo


SEM Kofi Annan
Secrétaire général
Organisation des Nations Unies
New York


Ampliations :

 Monsieur le Président du Conseil de sécurité de l’ONU
 Monsieur le Président de l’Union Africaine
 Monsieur le Président de la Commission de l’Union Africaine

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  Kamer amer
( 21/09/2005 23:59 )
À Strasbourg / France

On n'est pret a vous payer pour récupérer PAUL BIYA, et on vous donne GBAGBO contre de l'argent pour debarasser le peuple Ivoirien de ce boulanger, ce gars est capable de rouler sa propre maman dans la farine.
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  fédéralisme ???
Kmer ( 22/09/2005 09:45 )
À / Satellite Provider

Ce que je vais dire ne plaîra pas, même si dans la tête de plusieurs diplomates, l'idée fait son chemin. Le fédéralisme pendant une vingtaine d'années, si les ivoiriens le désirent, peut être une solution de la CI. Un même pays, pour garder les frontières et deux états, deux premiers ministres ou gouverneurs élus, un président au rôle réduit comme dans une démocratie parlementaire (Israél, Allemagne...), comme ça, chacun reste "patron" chez soi, ce qui calmera les à rpiori les uns et les autres et le pays reste entier, ce qui est essentiel. Pourquoi cette proposition, il y a aucune chance qu'un président élu aujourd'hui en CI soit reconnu dans tout le pays. Le processus devrait être accepté par la classe politique, les textes préparés par l'actuelle assemblée, la révision des listes se fera dans ce contexte et les candidats choisiront de se présenter dans la zone de leur choix., le tout hypersuivi par l'UA et surtout l'ONU.
Il faut que la paix revienne en CI. La question de la transition serait assurée par un administrateur de l'ONU pendant 4à 5 ans. Il faudrait augmenter le nombre de casque bleus, et désarmer tout le monde et surtout, exiger et obtenir la coopération des pays voisins.
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  Grioo ne dérivez pas
ricobye ( 22/09/2005 10:30 )
À / Russian Federation

Incroyable qu'un site d'information comme grionn puisse afficher un tel titre alors que la réalité est tout autre. Je pense que ce monsieur a fait beaucoup en acceptant Marcoussis pour son pays. Avant de debatre sur ce sujet, prenez la peine de lire ces accords. Aucun pays africain meme le cameroun ne pourra accepter de tels accords. Les pays occidentaux, n'en parlons pas...
Que le processus de desrmement bloc c'est normal car on ne peut demander à une rebelion du jour au lendemain de mettre une croix sur toutes ces richesses et de revenir à la case depart...la pauvreté. Soyons serieux.
Personne n'aime la pauvreté. Le depart de se président du pouvoir ne changera helas rien à la situation de ce pays...
On en reparlera dans 5ans
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  Malsain comme démarche Monsieur BOUGHA
Jean-Jacques Dikongué ( 22/09/2005 12:57 )
À Gennevillers / France

Monsieur BOUGHA,
Je trouve comme surement certains l'ont déjà évoqué, le titre de cet article assez déloyal et empreint d'ironie et de mépris.
Il me semble que vous devriez relayer l'information et non nous donner vos impressions personnelles auxquel cas, publiez votre sujet dans la rubrique "opinion".
Il me semble que le président MBEKI en tant que médiateur de la crise a donné ses conclusions dans cette affaire et qui sont de l'ordre à démontrer que Monsieur GBAGBO est loin d'être le farceur que vous dépeingnez.
Je ne comprends pas comment vous avez l'audace de sortir des énormités comme celles qui caractérisent le titre de cet article.
Contentez-vous de nous donner l'information telle que vous la recevez avec objectivité (j'ose croire que c'est vortre préoccupation majeure) et vos états d'âme, nous pouvons toujours en discuter si vous vous désolidarisez de votre habit de journaliste (ce que j'ose croire que vous êtes).
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  ??? GRIOO VENDU ???
afrocombattant ( 22/09/2005 13:51 )
À / France

Cher Jean-Jacques Dikongué ,

je suis parfaitement d'accord avec toi.
Il semble clair que gioo roule pour les réseaux mafieux de la françafrique.
Récemment, dans le cas du Togo, ils avaient fait pareil pour aider cette mafia a consolider et perpetuer son emprise sur cet autre victime de pays.
On commence bien à comprendre.
Que faire ? => DES SITES ALTERNATIFS PLUS FORT QUE CE GRIOT peroquet de la françafrique.
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  C'est vous la farce du journalisme.
Objectif Afrique Libre ( 22/09/2005 15:23 )
À Ottawa / Canada

Non la Grioo vous venez de vous ridiculiser TO-TA-LE-MENT... en affichant ce partie pris FLA-GRANT.

Gbagbo est bien le seul a avoir fait des concessions, et ce malgre sa roublardise.

1) Il a meme ete jusqu'a accepter des rebelles dans son gouvernement.

2) A accepter tous les changements de loi, tous les candidats aux elections etc.

A tel point que Mbeki, le mediateur officiel, a affirme il y a peu que "Gbagbo a fait sa part".

A cela, les rebelles ont ete les premiers a refuser de continuer la negociation. Et la Grioo disait quoi??? Grioo ne parlait pas de farce.

Mais la reaction de Gbagbo est des plus normale. Il "a fait sa part" et on le nargue. Et la Grioo parle de farce.

La farce c'est plutot la reaction de l'ONU qui est prompt a pointer Gbagbo lorsque ce dernier derape... et a accuser les "acteurs de la crise" en general lorsque ce sont les rebelles qui bloque le processus de paix (ce qui est d'ailleurs plus souvent le cas)...

Apres ca, comment ne pas parler de partie pris de la part de Annan??? Et on nous dira que nous sommes parano.. A d'autres s'il vous plait.

La farce c'est vous aussi Bertrand Bougha... Vous n'etes pas digne du journalisme... Honteux... Vraiment... Et je pese mes mots.
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  La blague de Gbagbo ?
Kolo ( 22/09/2005 18:30 )
À Boisbriand / Canada

c'est vous même grioo qui êtes une farce ,ouais !
Le ridicule ne tue vraiment pas va ,violà pkoi des médias comme Grioo vivront longtemps .
Force est de reconnaître que nous Africains sommes experts quand vient le temps de taper sur les seuls Grands Africains qui comptent.

Nous avons été les premiers a vilipender Lumumba ( pour ceux qui dans les biblio. ont lu certains médias AFricains de ce temps , les similitudes sont flagrantes )
quand Sankhara de son vivant etait débout pour l'Afrique , les mêmes médias Africains furent encore les premiers a lui taper dessus et ca jusqu'à son assassinat .

On se gausse de leur vivant , pendant qu'ils combattent pour nous ,on leur crache dessus , on aide le colon a les assassiné puis ... quelques années plus tard on pleure sur les sites ou dans les livres minables comme des démeurés pour regretter leurs precieuses abscences , c'est ca la farce ! .

Nous agissons de la même manière avec Gbagbo aujourd'hui , comme nous sommes intelligents ! y a pasw à dire .
On arrive comme grioo a le ridiculiser parcequ'il se bat pour faire changer les choses .

Pauvres Africains , pauvres médias Africains ! aucune fierté , aucune contenance , désinformés et tout honteux , la farce c'est pas Gbagbo qui la fait , c'est vous Grioo .

La farce c'est le fait de taper sur le seul de leaders africains qui veut le bien-être de son peuple au prix de sa vie , les farceurs c'est vous Grioo , pas Gbagbo , lui au moins est sur le terrain et fait ce dont beaucoup d'entre nous aspirent, càd quitter dans les griffes du colon pour enfin se dévélopper durablement .

La farce c'est pas Gbagbo c'est vous , vous qui n'avez pas encore compris pkoi un site comme le vôtre existe !
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