Pour le Docteur Robert Strecker comme pour d'autres scientifiques, levirus du sida est un virus créé par l'homme grâce àdes techniques de génie génétique et introduitdélibérément et aussi par accident, parmi certainescouches choisies de la population, dans le cadre d'une expérimentationsecrète de guerre biologique scientifique. Une énormeconspiration du silence organisée par les scientifiques en place et legouvernement américain a permis de tenir le public dans l'ignorance deces faits.

Strecker affirme que ni l'épidémie du sida ni ce virus totalementinconnu il y a encore 15 ans ne sont des "accidents de la nature", mais aucontraire, des "armes biologiques" dirigées contre un certain publicsans méfiance. « Le virus du sida est si différent depar sa structure de tout autre virus connu qu'il ne peut absolument pas avoirété formé par notre mère, la Nature ».Pour lui, aucun doute, les virologues et les immunologistes ont su, dèsle départ, ce qu'est réellement le virus du sida. Toujours selonStrecker, le virus du sida aurait été introduit,délibérément ou/et par accident, dans les vaccinsutilisés en 1978 lors de la campagne de vaccination expérimentalecontre l'hépatite B des homosexuels de Manhattan (New-York).

Pourquoi l'Afrique centrale est-elle un terrain privilégié pourle sida ?

Comment expliquer la contamination de la population noire africaine hétérosexuelle ?

Une campagne de vaccination en Afrique centrale patronnée par l'Organisation Mondiale de la Santé serait-elle en rapport avec l'apparition du sida dans cette partiedu monde ?

Le Docteur Cantwell dénonce la collusion d'intérêts entrevirologues spécialistes du sida, épidémiologistes auservice soit du Service de la Santé Publique des USA, soit des plusprestigieuses institutions médicales du pays, et les plus puissantesentreprises pharmaceutiques. C'est, selon lui, cette "maffia" qui dirige lalutte contre le sida, source d'IMMENSES PROFITS.

Il faut savoir que la campagne de vaccination expérimentale contrel'hépatite B avait été placée sousl'autorité du Docteur Wolf Szmuness, d'origine polonaise, forméen Union Soviétique et expulsé de Pologne en 1968. Il est devenuprofesseur d'épidémiologie à l'Université deColumbia (USA), mais Szmuness n'en était pas moins resté enrapport étroit avec le Ministère de la Santé àMoscou ainsi qu'avec l'Académie de Médecine de Russie. Quellesignification attribuer à ce fait ? Il ne faut pas oublierqu'à l'échelon le plus élevé, les États-Uniset la Russie sont deux pays RACISTES.

Imbus de l'idée de la supériorité de la race blanche, lesida serait une aubaine, ayant le pouvoir d'éliminer d'importantesfractions de populations non-blanches (indésirables), tiers-mondistes,surtout en Afrique noire.

Pour cette campagne de vaccination expérimentale, Szmuness aporté son choix sur les homosexuels. Sur environ dix mille sujetsexaminés, un groupe final de 1083 a été retenu pourparticiper à la première vaccination contre l'hépatite Bqui s'est déroulée au Centre du Sang de la ville de New-York,à Manhattan, au cours du mois de Novembre 1978. Dès 1979, lespremiers cas de "cancer gay" sont apparus parmi les vaccinés deManhattan.

Une deuxième campagne été pratiquée entre le moisde Mars 1980 et le mois d'Octobre 1981 dans les villes de San Fracisco, LosAngelès, Denver, St-Louis et Chicago. Le premier cas de sidadiagnostiqué chez un homosexuel de San Francisco l'a étéà l'automne 1980.

Pourquoi l'épidémie de sida s'est-elle déclarée sirapidement, quelques mois à peine après lavaccination ?Parce que la dose de virus inoculée étaitbeaucoup plus importante que celle qui est reçue par les voiesordinaires, c'est-à-dire par transmission sexuelle. Ainsi lapériode d'incubation était fortement réduite.

Évidemment, les CDC (Centres de contrôle des maladies) et Szmunessont affirmé qu'il n'y avait aucun rapport entre l'apparition del'épidémie de sida et la vaccination expérimentale deshomosexuels. Mais en 1986, Cladd Stevens (qui avait succédéà Szmuness, décédé d'un cancer en 1982)reconnaissait que la majorité des homosexuels qui avaientété soumis à la vaccination expérimentale contrel'hépatite B étaient infectés par le virus du sida.

6,6% des sujets vaccinés étaient devenus séropositifsentre Novembre 1978 et Octobre 1979. En 1981, ce pourcentage étaitpassé à 20%, en 1984 à 40%. En 1993, ils sont pratiquementtous morts du sida !

Alors, comment le sida est-il apparu en Afrique ? La théorie"officielle" des experts américains selon laquelle le sida serait une"maladie de brousse" et l'Afrique, le berceau du sida est un purMENSONGE !

En réalité, c'est dans les grandes villes quel'épidémie fait le plus de ravages, de préférenceparmi la classe instruite, active sexuellement et appartenant au grouped'âge de 20 à 60 ans.

Selon un autre mensonge des "experts" américains,l'épidémie du sida serait due à la "promiscuité".C'est FAUX ! Les archives médicales des hôpitauxgérés par des Belges et des Français en Afrique centralemontrent que le sida n'est devenu courant qu'après 1980,c'est-à-dire approximativement au même moment qu'enAmérique et en Europe. Les Africains sont nombreux àdéplorer que les experts américains les tiennent pourresponsables de l'apparition du sida; ils trouvent à cette accusation unrelent raciste.

Bien que les secrets de ce désastre dont la responsabilité esttotalement humaine soient bien gardés, Strecker affirme que le sida aété introduit en Afrique par des vaccinations contaminéesorganisées par l'O.M.S. ce qui n'a rien d'étonnant. Cet organismequi se veut à vocation humanitaire, teste bien souvent des nouveauxmédicaments sur des populations dont les pays riches n'ont que faire.

Le fait est qu'aujourd'hui le sida touche tout le monde et que maintenant quele fléau s'est échappé de la boîte, plus personne nesait comment l'arrêter...

Selon les prévisions les plus modérées, on pense que 100 millions de personnes mourront du sida d'ici l'an 2000.