Inscrit le: 06 Mai 2005 Messages: 1655 Localisation: Au sein de mon Empire
Posté le: Ven 30 Déc 2005 13:14 Sujet du message: Les juifs ont peur de nous !!! [Tremblez Hokusu !!!]
Petit article des plus révélateurs sur la peur que notre peuple suscite envers les sémites depuis la plus haute antiquité :
Le Mensuel - avril 2005
Humeurs judéo-juives
Une extraordinaire libération de la parole antisémite
par Didier Buch
Dieudonné assume pleinement son nom de croisé. Beaucoup a déjà été écrit sur ce sujet et on ne reviendra pas sur le détail de “l’invraisemblable salmigondis intellectuel” (selon les termes de Michel Tubiana, président de la LDH française) qui lui tient lieu d’idéologie “nationale-noire”. Il faut cependant porter le regard sur ce que ce “discours” révèle. D’abord, chez l’inventeur lui-même, si légèrement masquée derrière un mince paravent “anti-sioniste” ou “anti-israélien”, une extraordinaire libération de la parole antisémite. Chez ses thuriféraires principaux, dans la communauté noire française, les précautions oratoires sont moins de mises. On peut le constater en visitant les sites internet “noirs” qui rendent compte des débats internes de cette communauté (comme www.africamaat.com).
L’antisémitisme se transmet, par transformations successives, d’une société à une autre. Dieudonné a formalisé le déplacement vers le monde noir. Dans le monde noir francophone du moins, ce qui inclut une grande partie de l’Afrique, puisque ces thèmes sont courants aux Etats-Unis. Après tant d’autres, voilà que la victime du complot, du pouvoir, de l’argent, du pouvoir corrupteur de l’argent et du sang juifs, est maintenant “Le Noir”. A chaque fois, il s’agit d’être la victime de la victime de sa stigmatisation.
Ces soutiens de première ligne partagent la même identité noire reconstruite sur le mode d’un nationalisme quasi-racialiste, radical et excluant les déviants. Tels Serge Bilé auteur de “Noirs dans les camps nazis” ou l’écrivaine Calixthe Beyala qui ont tous les deux condamné Dieudonné. La “motivation” semble ici relever au moins partiellement de ce qu’on appelle maintenant, sans trop interroger la pertinence du concept, “la concurrence des victimes”. D’autres catégories de sectateurs et ce point nous ramène en Belgique, ne voient rien à reprocher aux “salmigondis” ou, pire, s’y retrouvent. On peut envisager l’hypothèse d’un tel manque de culture qu’il suffise à expliquer l’incapacité à “lire” le “texte” de Dieudonné et à le replacer dans sa profondeur historique. On peut aussi envisager la permanence souterraine, dans les milieux progressistes et pro-palestiniens, d’un topo antisémite qui s’accommode fatalement fort bien dudit texte. Ainsi de l’article que la Libre Belgique a consacré au spectacle de Dieudonné présenté au théâtre de poche. Un article sobrement intitulé “Dieudonné, au nom de la liberté d’expression”. Aucune interrogation sur le discours. On se contente d’une affirmation : “Le théâtre de Poche n’est pas antisémite. Puisqu’il faut remettre les points sur les “i”, le directeur du théâtre bruxellois (R. Mahauden) s’y emploie”. Pour l’auteur de l’article, Dieudonné paye cher d’avoir “maladroitement plaisanté sur l’axe américano-sioniste”. R. Mahauden, nous dit-on, “persiste et signe : “ce n’est pas parce que je m’insurge contre la politique de Sharon que je peux être suspecté d’antisémitisme. On entretient des amalgames comme celui-là...”. L’argument de l’amalgame permet, une fois de plus, de noyer l’interrogation.
On pourrait considérer que le refus, légitime en soi, de la politique israélienne en amène certains à s’aveugler sur des propos qualifiés de “maladroits” par la Libre. Mais le procédé est trop visible et les propos trop forts que pour admettre cette justification. Une frange non-quantifiable des courants progressistes n’est simplement pas imperméable à certains thèmes antisémites. Celui du “peuple “élu”, précédemment abordé dans cette rubrique, et sur lequel Dieudonné surfe allègrement (voir l’introduction de son spectacle “Mes excuses”), apparaît comme particulièrement central dans ce topo. On pourra, dans tout cela, voir une trace de ce que, chez beaucoup, la condamnation d’Israël, surtout exacerbée et monomaniaque, tient finalement d’alibi inconscient (de moins en moins ?) et confortable à un retour du refoulé dont elle est alors l’expression.
Un texte, en défense de Dieudonné, paru sur le site “Investigation” du journaliste ptbiste Michel Collon illustre cette concomitance des discours. L’introduction en est déjà révélatrice : “Même parmi ceux qui soutiennent la libération du peuple palestinien, certains finissent par douter. Tant d’accusations dans les médias ! “Pas de fumée sans feu”. A croire que dans l’attitude à prendre face à des propos antisémites, la question palestinienne doive intervenir en premier.
Collon, dont les analyses semblent lues avec intérêt dans les milieux journalistiques et qui est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le thème des médias, entend “exposer les stratégies secrètes et réfuter les médiamensonges”. Une affirmation certes insuffisante que pour se laisser aller à constater que leur auteur est un adepte des théories du complot. Par ailleurs et ironiquement, cette formule, prise telle quelle, pourrait très bien figurer en exergue du site pro-israélien Belsef ou du mensuel Contact J.
Quoi qu’il en soit, la contribution de Collon au débat constitue probablement le pseudopode belge le plus saisissant de ce dossier. Dans “Antisémite, Dieudonné ?”, qui ne semble avoir provoqué aucune condamnation publique, alors que ce texte a été largement diffusé, on lit ceci qui a finalement peu à voir avec l’affaire initiale. “En fait, il existe dans nos pays un puissant lobby sioniste au service d’Israël. [...], sa stratégie consiste à traiter les critiques d’antisémites. Tout l’effort de ce lobby est de semer la confusion entre trois notions bien différentes : juif, israélien, sioniste”.
Ce thème n’apparaîtra pas comme étranger aux lecteurs de ce mensuel. Ces trois notions ne sont certes pas équivalentes. On touche cependant, là aussi, au “syndrome” d’un amalgame (ici inversé) qui présente, au regard immédiat, deux travers. Il faut d’une part, prendre en compte, une fois pour toutes, qu’une majorité évidente du monde juif se reconnaît comme “sioniste” au sens large du terme et considère pour le moins le sionisme comme un élément central de l’identité juive contemporaine. Prétendre le contraire est peut-être politiquement correct mais tout aussi sociologiquement inexact. D’autre part, et c’est une conséquence de la première considération, quid de ceux qui “confondent” la première et la troisième de ces notions ? Sont-ils de “mauvais” Juifs, c’est-à-dire des “Juifs qui ne conviennent pas” face aux “bons” Juifs non ou anti-sionistes qui, eux, ne “confondent” pas ?
Parler de “lobby” est inexact et déplacé dans le cadre européen. Le terme renvoie également par trop à la “théorie du complot”. Il n’ y a en effet de lobby qu’invisible et surpuissant. On pourrait cependant admettre, en faisant abstraction de ce qui précède, que des institutions juives communautaires soutiennent, la plupart du temps aveuglément, les politiques d’Israël. Mais ce “lobby” devant reposer sur quelque assise, cette considération est en contradiction avec l’appel de Collon à ne pas “confondre”.
Mais tout cela tient, dans ce cas-ci du moins, de la réflexion gratuite. Collon, en effet, confond allègrement les “notions” dans leur définition même. Pour le critique des mensonges médiatiques, “un sioniste est celui qui justifie l’occupation de la Palestine par un Etat raciste et veut toujours chasser les habitants d’origine au nom d’une théorie du “peuple élu par Dieu il y a deux mille ans”. Quant au “juif” (sans majuscule), il est “celui qui croit à cette religion”. Et donc, en toute logique, à cette “théorie du peuple élu”, fondement, pour Collon, de l’Etat raciste israélien.
Qu’une pensée aussi primaire trouve, sous l’apparence d’un journalisme d’opposition, à s’exposer sans retenue est déjà singulier en soi. Mais c’est aussi, chez ce membre actif d’un parti officiellement marxiste, simplement, catastrophiquement, la répétition de l’antisémitisme le plus antique et le plus christologique (et donc projectif : l’Eglise, vraie Israël et élue de D. ne pouvant supporter d’autre élu). Reste une question à laquelle ne répond pas, pour le moment, Collon : que fait-on de ces Juifs ontologiquement racistes ? Et vis-à-vis desquels on a donc raison d’être raciste. Reste aussi à se poser la question plus vaste du regard que la société d’insertion porte réellement sur les Juifs.
Hokusu : "Roi bergers" en Medou Neter, envahisseurs sémites de Kamita plus connus sous leur noms grécisé de "Hyksos" (circa 1700 av. le messie leucoderme)
Hotep, Soundjata _________________ La vérité rougit l'oeil, mais ne saurait le transpercer
Pour la Renaissance du Gondwana
Dernière édition par Soundjata Kéita le Dim 05 Fév 2006 07:40; édité 1 fois
Inscrit le: 06 Mai 2005 Messages: 1655 Localisation: Au sein de mon Empire
Posté le: Ven 30 Déc 2005 13:15 Sujet du message:
Attaquons nous maintenant à la problématique dont le présent article s'avère des plus révélateurs.
Prenez-donc la peine de lire la partie que j'ai mis en gras, et de mesurer la gravité des propos qui sont tenus à notre encontre.
Beaucoup de kamites seraient immétiatement atteint de paralysie sous couvert que ces propos sortent de la bouche d'un juif, qui en plus, prétend ainsi relayer l'opinion de sa communauté en parlant ouvertement "d'humeur juive" voir carrément "judéo-juive" (sic) :
Citation:
Le Mensuel - avril 2005
Humeurs judéo-juives
Une extraordinaire libération de la parole antisémite
par Didier Buch
Dieudonné assume pleinement son nom de croisé. Beaucoup a déjà été écrit sur ce sujet et on ne reviendra pas sur le détail de “l’invraisemblable salmigondis intellectuel” (selon les termes de Michel Tubiana, président de la LDH française) qui lui tient lieu d’idéologie “nationale-noire”. Il faut cependant porter le regard sur ce que ce “discours” révèle. D’abord, chez l’inventeur lui-même, si légèrement masquée derrière un mince paravent “anti-sioniste” ou “anti-israélien”, une extraordinaire libération de la parole antisémite. Chez ses thuriféraires principaux, dans la communauté noire française, les précautions oratoires sont moins de mises. On peut le constater en visitant les sites internet “noirs” qui rendent compte des débats internes de cette communauté (comme www.africamaat.com).
L’antisémitisme se transmet, par transformations successives, d’une société à une autre. Dieudonné a formalisé le déplacement vers le monde noir. Dans le monde noir francophone du moins, ce qui inclut une grande partie de l’Afrique, puisque ces thèmes sont courants aux Etats-Unis. Après tant d’autres, voilà que la victime du complot, du pouvoir, de l’argent, du pouvoir corrupteur de l’argent et du sang juifs, est maintenant “Le Noir”. A chaque fois, il s’agit d’être la victime de la victime de sa stigmatisation.
Ces soutiens de première ligne partagent la même identité noire reconstruite sur le mode d’un nationalisme quasi-racialiste, radical et excluant les déviants. Tels Serge Bilé auteur de “Noirs dans les camps nazis” ou l’écrivaine Calixthe Beyala qui ont tous les deux condamné Dieudonné.
Cette réaction, au delà du caractère ouvertement injurieux envers notre communauté, n'est que le reflet de la sempiternelle condéscendance de l'intelligencia juive à prendre ouvertement les noirs pour des crétins congénitaux. Et ce sans jamais prendre pour autant la peine, s'interroger elle-même sérieusement sur la nature des relations judéo-kamitiques depuis l'Antiquité, d'où le terme Hyksos, qui rappelle qui se fout le plus de la gueule de l'autre dans l'affaire.
Exemple récents :
- L'avis d'un rabbin sur une radio juive française http://grioo.com/forum/viewtopic.php?t=3784
- Le mépris affiché de Miss Lévy et Paul Nahon à propos de la médiatisations des catastrophes touchant notre peuple :
http://www.grioo.com/forum/viewtopic.php?t=3651
- les propos de Finkelkraut "les antillais filent un mauvais coton idéologiques"
- le kabbale anti-dieudo qui aura obligé "le lobby qui n'existe pas" a déployer toute sa puissance de feu.
- et dernièrement, la magnifique démonstration de confusion mentale d'un Claude Askolovitch.
Il est en effet de bon ton depuis "l'affaire Dieudonné", de soupsonner les noirs d'être antisémites, alors qu'ils suffit de rappeler les choses suivantes pour comprendre l'absurdité de pareilles accusations :
- l'antisémitisme n'est qu'une négrophobie déguisé selon Hitler lui-même (cf réflexion rapporter de Mein Kampf dans le livre "Noirs dans les Camps Nazi), eu égard les origines mêmes de ce peuple issu je vous le rappelle, du métissage entre le peuple kamite antique et des pasteurs nomades leucodermes.
- que les noirs n'ont jamais persécuté les juifs, aussi bien à l'époque pharaonique (voir topic : http://www.grioo.com/forum/viewtopic.php?t=3918), que durant la seconde guerre mondiale, bien au contraire, on aurait tendance, notemment chez les juifs, à oublier que les Noirs furent au contraire des réjouissance, qu'ils furent aussi et surtout résistants, ou bien que Haiti a ouvert ses consulats européens pour accueillir en masse tout juif se sentant menacé par le régime nazi.
- qu'à l'inverse le peuple juif fut le premier peuple à avoir inauguré la négrophobie officielle, via l'ancien testament : malédiction de Cham, caractère pré-adamique du peuple noir, faire passer les Egyptiens anciens pour des esclavagistes paganistes en leur promettant moultes punitions divines (7 plaies divines et cie)
- que par conséquent, cette vision du nègre, via le christiannisme et l'Islam, ces deux surenchères abrahamiques, servira de justification à l'esclavage des noirs, via les traites arabes et chrétiennes transatlantiques ; bref la chosification totale de notre peuple via bulle papale, théories scientifico-religieuses.
- que les juifs n'étaient pas les derniers à s'être assis sur leurs valeurs morales pour pratiquer la traite négrière, à l'instar des chrétiens et des musulmans : voir topic suivant : http://www.grioo.com/forum/viewtopic.php?p=44086#44086
- de rappeler que les premiers juifs étaient des nègres de Kamita, et que leur décendant restés nègres, les falashas sont encore traités comme de la merde par leur propre coreligionnaires blancs en Israël, où ils sont mis en première ligne sur le front palestinien.
Pour en savoir plus sur le sujet :
- http://www.grioo.com/forum/viewtopic.php?t=3606&highlight= (discussion sur les origines nègres des juifs) ;
- http://www.grioo.com/forum/viewtopic.php?t=3858&highlight= (situations des noirs en Israël)
- ou bien encore lire le livre de Tidian Ndiaye "Falashas, Nègres errant du peuple juif".
Et malgré tout cela, jamais le peuple noir n'aura jamais exigé quoiquesoit de la part des juifs en guise de réparations, juste qu'ils nous foutent définitivement la paix.
Mais à l'inverse, ces derniers cherchent désespéremment à chercher l'ennemie antisémite qui se tapirait parmis nous, toujours qu'ils sont à renier la part de négritude ancestrale qui se lit encore sur leur visage.
Aussi, et c'est une constante partout les élites juives et noires partagent un même espace, les premières n'ont pas leur pareils pour accuser les secondes d'antisémites, et surtout de venir se mêler de leurs affaires.
Ainsi, tous les leaders de la communauté africaine-américaine fait l'objet d'une véritable campagne de diffamation via de puissants lobbies tel que la très mal nommé "Anti-diffamation League".
Au dernier colloque Menaibuc, Ama Mazama nous parlait d'un projet d'école afrocentrique, et outre toutes les difficultés, on aura noté plusieurs manifestations de lobbies juifs locaux afin que cette école ne voit jamias le jour. Le comble dans un pays qui ne comptent plus les écoles religieuses juives et autres Univeristés hébraïques.
En effet, toute attitude "pro-noire" ou "afrocentriste" équivaut à une attitude ostensiblement "anti-juive" de la part de la même clique de parano qui ne supportent pas l'éveil irresistible du peuple noir.
Il est en effet curieux, alors que les élites juives dénoncent à juste titre le caractère antisémite des élites et des masses blanches aussi bien en Europe qu'aux Etats-Unis, ces derniers ne peuvent curieusement s'empêcher de copier le comportement des seconds lorsque les élites noirs ont le malheur de dénoncer la négrophobie de ces mêmes élites et masses leucodermes.
La raison en est très simple : les Juifs savent pertimemment que plus les Noirs se conscientisent et découvrent leur véritable histoire, plus ils se rendent compte de la supercherie en découvrant les origines bibliques de la négrophobie instititionnelle, l'ingratitude historique de leurs ancêtres hyksos ayant usurper le pouvoir de pharaon ainsi que le rôle singulier des juifs durant le Yovodah.
Ainsi, ces derniers devenant alors les ennemies objectifs du peuple noir, au côté de leur codermes chrétiens et musulmans, les jifs ne pourraient-ils plus compter sur notre peuple pour les soutenir dans leur lutte exclusive et légitime contre l'antisémitisme.
Or justement, avec ce comportement plus qu'ambigü de "nègres blancs" ou de "mulâtres", ils ne font hélas qu'attiser une haine qu'ils tentent désespéremment de dissiper.
Alors, contrairement à ce que certains s'imaginent, il n'est ici question de se focaliser sur un peuple, encore moins de fantasmer sur un ennemi invisible, qui en effet, aura justement passablement souffert de cette même suprémacie blanche dont nous sommes encore victimes. Mais lorsque notre peuple fait l'objet d'attaque singulière de la même de ce même peuple, nous nous devions d'interroger notre histoire commune pour appréhender le présent et préparer l'avenir afin de se prémunir de ce type d'attaques bas de plafond, d'où qu'elles puissent provenir.
Et de la même manière que les peuples n'ont pas d'amis, il est important de faire le bilan des relations bonnes et mauvaises entre le peuple juif et le peuple noir avant de prétendre à une quelconque durable "amitié judéo-noir" que certains souhaiteraient nous vendre, et qui ne saurait faire l'économie de pareille expertise.
Aussi, faut-il avoir le courage d'appeler un chat, un chat.
Un juif négrophobe est un juif négrophobe et non pas un raciste blanc qui serait "accessoirement" de confession juive.
Dans ce débat, nous n'avions tout à gagner et rien à perdre.
Aussi, n'avons-nous pas à avoir de complexe, nous n'avons déporté personne, ni persecuté quelquepeuple que ce soit.
Mais le colon nous a tellement bien formaté la cervelle que nous trouvons le moyen de partager sa mauvaise conscience de bourreau envers le peuple juif.
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