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Medhy Custos pendant l'interview
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Lorsque l’on voit la pochette de son disque ou ses clips il est facile de se faire une idée…fausse de Medhy. On pourrait l’imaginer superficiel, trop soucieux de son apparence, il n’en est rien. C’est avec beaucoup de simplicité et de chaleur qu’il s’est prêté au jeu des questions réponses.
Cela fait dix ans déjà que Medhy Custos a rejoint la grande famille des artistes, un peu « par hasard » comme il le dit lui-même. C’est la prestation ratée d’un ami lors d’un casting qui lui donne sa chance, il intègre un groupe de quartier, ce qui lui permet d’être repéré par Kwebee une formation un peu plus élaborée où il fera ses armes, avant de se lancer dans une carrière solo.
2002, est l’année de ses premiers succès « A jamais » et « Pé pa oubliyew ». Deux en plus tard « Serial Lover » son premier album solo est dans les bacs. Il remporte très vite un vif succès auprès du public, notamment avec « Franc jeu », très vite suivi de [i « Pour te retenir et « Comme si ». Des titres que l’on retrouve sur son deuxième album éponyme sorti en début d’année.
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Medhy Custos pendant l'interview
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Mais avant d’en arriver là, ce sont des participations à des projets collectifs tels qu’Allianstars et Dis moi Zouk, ainsi que des collaborations avec d’autres artistes parmi lesquels, Jocelyne Labylle et Jane Fostin, qui ont permis au jeune interprète de bâtir sa carrière musicale.
« Pas de Glace » son duo avec Jane Fostin, est le tube de l’été 2005 aux Antilles, il recevra en 2006, le Césaire du Meilleur Duo. Cette même année, Medhy remporte également le Césaire du Meilleur interprète masculin.
C’est fort de ces succès que Medhy Custos signe avec Warner et entre en studio fin 2006 pour concocter son dernier opus. Opus dans lequel se retrouvent quelques titres qui ont fait son succès. Une manière de retracer un peu les prémices de sa carrière.
C’est un album zouk dans les règles de l’art, où l’amour est l’un des thèmes récurrents, avec des textes qui émanent une petite touche mélancolique.
Interrogé à ce sujet, il répond par un adage « on reconnaît l’amour au bruit qu’il fait lorsqu’il claque la porte ». Les souffrances des amours douloureuses sont en quelque sorte sa matière première. Cela donne un album, très « love », exception faite de « Elles demandent » et son remix raggaeton.
Les afficionados du genre ne seront pas déçus.
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La vidéo de l'interview |
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