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Titus Naikuni PDG de Kenya Airways et Mwai Kibaki, le président kenyan
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Près de quatre jours après la catastrophe, les causes de l'accident demeurent toujours inconnues.
Une boîte noire a été retrouvée sur le site de l'accident. Les autorités kenyanes ont demandé que les travaux ne se fassent ni dans un pays européen, ni aux Etats-Unis à cause de la rivalité Airbus Boeing. Les travaux sur la boîte devraient donc s'effectuer au Canada. La seconde boîte noire, qui enregistre les conversations dans le cockpit n'a pas encore été retrouvée.
Le directeur général de Kenya Airways attend que l'enquête soit menée, avant de se prononcer sur les causes de l'accident. Au Cameroun, certains journaux se sont demandés pourquoi l'épave avait été localisée aussi tardivement même si côté kenyan, le porte-parole du gouvernement a affirmé que les secours étaient très bien organisés et que l'épave n'aurait pas pu être retrouvée avant.
Selon les autorités camerounaises, les recherches se sont d'abord portées vers le sud sur la base de données satellites qui indiquaient que l'avion s'était retrouvé à 150 km au dessus forêts du sud du pays. Certains experts pensent que le pilote aurait tenté de revenir sur Douala après avoir détecté des difficultés.
Une quarantaine de corps, (souvent en état de décomposition près de 3 jours après le crash) auraient été retrouvés, mais seront dans tous les cas extrêment difficiles à identifier. Selon un psychologue camerounais, des membres des familles de victimes voulant voir les lieux de l'accident se évanouis sous le choc.
Le président kenyan Mwai Kibaki a décrété une journée de deuil national au Kenya.
des articles de la presse camerounaise
Une premier boôte noire retrouvée
La logistique surtout déployée pour les corps |