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Titus Naikuni, PDG de Kenya Airways sur le lieu du crash
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nationmedia.com |
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Pour la première fois depuis le crash du Boeing de Kenya Airways, survenu samedi matin à Douala, un journal local évoque, ce mercredi, la thèse du sabotage.
Dans son édition de ce jour, le quotidien privé "Le Messager", un des quotidiens les plus lus au Cameroun, agite la piste du terrorisme international, laissant entendre que des "islamistes kenyans ont pu saboter l'appareil pour se venger de l'arrestation au Kenya et l'extradition vers les Etats-Unis de membres d'Al-Qaeda".
Le journal rappelle que des islamistes kenyans avaient alors juré de s'attaquer à certains symboles.
Par ailleurs, le journal se fait l'écho de rumeurs selon lesquelles des témoins auraient aperçu des flammes à l'arrière de l'appareil au moment du décollage.
En outre, selon certaines informations non confirmées, l'équipage du Boeing kenyan aurait décidé de décoller contre l'avis de la Tour de contrôle, ce qui incite le journal à justifier ce comportement par la menace d'un kamikaze, d'autres compagnies (Air France, CAMAIR et Royal Air Maroc) ayant, sous les mêmes ordres de la Tour, différé leurs vols.
On rappelle que l'accident du Boeing 737-800 de Kenya Airways qui reliait Abidjan (Côte d'Ivoire) à Nairobi(Kenya), via Douala, a entraîné la mort des 105 passagers et des 9 membres de l'équipage. |