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Lewis Hamilton devient le boss au grand dam d'Alonso
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Les observateurs commencent à se poser la question: et si Lewis Hamilton était le premier pilote à remporter le championnat du monde dès sa première participation?
Revenons un instant sur la course de ce dimanche à Indianapolis aux Etats-Unis.
Pour la seconde fois en deux courses Lewis Hamilton a signé la pole position devant son coéquipier Fernando Alonso chez MacLaren. Au départ l'anglais conservait sa première place et a irrésistiblement creusé un petit écart sur son coéquipier jusqu'au premier ravitaillement.
Que s'est-il passé avec les nouveaux pneus? Toujours est-il que l'espagnol a réduit à néant l'écart sur Lewis. Grâce à l'aide de certains retardataires qui n'ont pas été fair-play envers Lewis Hamilton, Fernando Alonso a été à deux doigts de doubler l'anglais sur la grande ligne droite. Avec un sang-froid digne d'un vieux briscard Lewis a contrecarré l'attaque, et n'a plus été inquiété.
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Au tour suivant on a vu Fernando Alonso faire un mouvement en direction de son écurie.
S'agissait-il d'un geste d'humeur? Voulait-il que l'écurie demande à Hamilton de le laisser passer étant donné qu'il (Alonso) devait s'arrêter au stand un peu plus tôt?
Toujours est-il que l'espagnol a encore une fois semblé perdre ses nerfs face à l'ascension inexorable de son jeune coéqupier.
D'un point de vue arithmétique Lewis Hamilton fait encore progresser ses résultats:
- Deuxième victoire consécutive, autant de victoires que son coéquipier
- Septième podium consécutif (le record pour un rookie)
- 10 points d'avance sur Alonso, 19 sur Massa et 26 sur Raikkonen |

Du point de vue psychologique Lewis Hamilton enfonce encore le clou et montre à ses adversaires, à commencer par son coéquipier qu'il ne craint personne, et surtout que lui (c'est le seul pilote de tête dans ce cas) ne commet aucune erreur en course.
Dans deux semaines la Formule 1 retrouve l'Europe, et donc des circuits que Lewis Hamilton connaît, il pourrait être moins désavantagé que lors des deux courses précédentes.
Fernando Alonso estime au contraire avoir souffert par le passé sur les pistes américaines et que l'Europe devrait lui sourire.
Qui a raison? Qui a tort, une chose est sûre, le rictus de l'espagnol sur le podium en disait long: le jeune Hamilton ne le fait plus du tout rigoler. |
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