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145 ans de prison pour trois anciens chefs rebelles sierra-léonais |
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Les dégâts de la guerre : la Sierra-Leone compte le plus d'amputés au monde
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sierra-leone.org/us staff |
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Trois anciens responsables du Conseil des forces armées révolutionnaires de Sierra Leone (AFRC) ont été condamnés à un total de peine de 145 années d'emprisonnement, par un tribunal spécial qui a siégé jeudi à Freetown.
Les chefs de la junte Alex Tamba Brima, Ibrahim Bazzy Kamara et Santigie Borbor Kanu, ont été chacun condamnés pour 11 chefs d'inculpation de crimes de guerre et crimes contre l'humanité. Le tribunal spécial des Nations unies a imposé une peine "globale" de 50 ans à Brima, 45 ans à Kamara et 50 ans à Kanu. Les trois condamnés commenceront à purger leurs peines à compter de la date du délibéré.
En annonçant les verdicts, le président du tribunal, le juge Julia Sebutinde, a noté que les trois chefs rebelles ont été retenus coupables des "crimes les plus haineux, les plus atroces et les plus violents jamais vus dans l'histoire de l'humanité".
"La cour, composée du juge Julia Sebutinde, du juge Richard Lussick et du juge Teresa Doherty, a examiné un certain nombre de circonstances aggravantes au moment de délibérer et n'a trouvé aucune circonstance atténuante qui plaiderait en faveur de peines plus faibles", a déclaré une source judiciaire à la PANA.
Il s'agit-là des premières condamnations infligées par le Tribunal spécial de l'ONU pour la Sierra Leone. Lundi, les avocats de la défense des trois accusés avaient réclamé des peines de prison plus courtes pour leurs clients, mais la partie poursuivante a soutenu que les accusés n'avaient montré aucun signe de remords pour tous ces crimes commis. |
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Des étudiants subsahariens protestent à Rabat contre les agressions |

Des étudiants (une centaine environ), originaires d'Afrique subsaharienne, ont organisé jeudi une marche à l'intérieur de la Cité universitaire internationale de Rabat pour protester contre les agressions physiques dont ils sont victimes de la part de voyous, rapporte jeudi soir la deuxième chaîne de télévision "2M".
Selon un délégué des étudiants, cité par la chaîne publique, il y a eu depuis le début de la rentrée universitaire en septembre dernier une vingtaine d'agressions physiques contre des étudiants subsahariens de la part de voyous qui rôdent aux alentours de la cité.
Samedi dernier, un étudiant malien, qui téléphonait dans une cabine téléphonique publique dans l'enceinte de la cité, a été agressé par deux jeunes qui lui ont mis un couteau sur la gorge et pris, sous la menace, son sac qui contenait son portable (232 euros) et une clé USB, précise la même source.
L'étudiant malien, qui se trouvait au Maroc depuis 1999 et dont le cou a été tailladé avec une machette, a été conduit aux urgences de l'hôpital Avicenne de Rabat, selon 2M. Les manifestatnts ont réclamé la mise en place d'un poste de Police devant la Cité pour dissuader les agresseurs.
Près de 10.000 Subsahariens poursuivent leurs études au Maroc, dont 7.500 reçoivent des bourses de la part du royaume alaouite. |
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