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Jonathan Goodluck refuse de déclarer ses biens |
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Jonathan Goodluck
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onlinenigeria.com |
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Le vice-président du Nigeria, Goodluck Jonathan, a tourné en dérision les appels tendant à l'inviter à faire de même que le président en faisant une déclaration de patrimoine, arguant que la loi ne l'y oblige pas.
"On me demande de rendre publique ma déclaration de code de conduite. J'ai cinq déclarations de patrimoine au bureau du code de conduite. Si la loi en dispose ainsi, je rendrai publique ma déclaration, mais dans le cas contraire je ne le ferai pas", tels sont ses propos tels que rapportés dimanche par la presse locale. "J'ai rendu publique ma déclaration de patrimoine cinq fois entre 1999 et l'année en cours (2007). Quiconque en doute peut le vérifier là où il faut", a-t-il ajouté.
Même si la constitution nigériane fait obligation à ceux exerçant une fonction officielle de faire une déclaration de patrimoine, cette obligation n'est pas contraignante. Cependant, le président Umaru Yar'Adua a procédé à la déclaration de son patrimoine, ce qui de l'avis des observateurs va crédibiliser davantage sa détermination à combattre la corruption dans le pays le plus populeux d'Afrique.
Dans sa déclaration, Yar'Adua a dit que son patrimoine se montait à environ 850 millions de naira en biens, valeurs et espèces (130 naira = 1 dollar des Etats-Unis, ce qui fait un patrimoine d'environ 5 millions d'euros pour Yar'Adua NDLR).
La pression exercée sur son vice-président l'invitant à lui emboîter le pas fait suite aux appels lancés par certains milieux à la commission de lutte contre la corruption, les crimes économiques et financiers (EFCC) l'invitant à ouvrir une enquête sur ses opérations financières lorsqu'il était gouverneur dans l'Etat de Bayelsa, riche en pétrole, entre décembre 2005 et le 29 mai 2007.
Le vice président a nié les allégations selon lesquelles il a mal géré les fonds de l'Etat ou laissé derrière de grosses dettes. |
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Un journaliste nigérian retrouvé mort dans son hôtel à Maiduguri |
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http://www.informatik.uni-frankfurt.de/~sfb268/ |
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Un journaliste nigérian a été retrouvé mort vendredi dans sa chambre d'hôtel, à Maiduguri, une ville du Nord-Est du Nigeria, aux termes de recherches frénétiques, a annoncé l'Agence de presse nigériane (NAN).
Samuel Famakinwa, rédacteur en chef adjoint du journal "ThisDay", a été retrouvé mort au Maiduguri International Hotel, après plus de 24 heures de recherche, selon la NAN. Il était arrivé à Maiduguri, capitale de l'Etat de Borno, en provenance de Lagos, à bord d'un vol de nuit, le 25 juillet, pour rendre visite au gouverneur de l'Etat de Borno, Ali Sherrif.
La cause du décès n'est pas encore connue, mais le Dr Garga Adamu, de l'hôpital de Maiduguri, qui a confirmé le décès, pense qu'il s'agit d'un arrêt cardiaque. Il a toutefois indiqué que seule une autopsie pourrait confirmer la cause de sa mort. Une équipe d'enquêteurs s'est déjà rendue à l'hôtel pour commencer les investigations sur cette affaire.
Personne n'était au courant du décès de Famakinwa plus de 24 heures après sa mort. Les recherches ont commencé après que ses proches ont commencé à s'inquiéter du fait qu'il ne répondait pas sur son téléphone portable. Après des recherches frénétiques, le vice-gouverneur de l'Etat et la Police se sont rendus à son hôtel. Ils ont démoli la porte de sa chambre où ils l'ont retrouvé mort sur son lit.
Le porte-parole du gouverneur de Borno, Usman Ciroma, a déclaré qu'il était en compagnie du défunt jusqu'aux environs de 23h 30, mercredi, au Lake Chad Club, à Maiduguri. C'est de là, qu'un chauffeur officiel du gouvernement a ramené Famakinwa à son hôtel. |
Un ex-gouverneur nigérian incarcéré recouvre la liberté |

L'ex-gouverneur nigérian condamné jeudi à deux ans d'emprisonnement pour corruption, a été remis en liberté, a- t-on appris samedi de source officielle. Diepreye Alamieyeseigha, qui a été destitué de son poste de gouverneur de l'Etat de Bayelsa, riche en pétrole, a été libéré de la prison d'Ikoyi, à Lagos, vendredi après-midi.
Le porte-parole de la prison, Ope Fatinikun, a expliqué que l'ex- gouvarneur, âgé de 55 ans, a été libéré "parce qu'il a fini de purger sa peine, à en juger par la décision, jeudi, de la Haute cour fédérale de Lagos". Alamieyeseigha était en détention depuis décembre 2005, suite à son arrestation par la Commission sur les crimes financiers et économiques (EFCC) pour corruption présumée.
Jeudi, il a commencé à discuter d'une transaction pénale et a été condamné une première fois pour six des 33 charges retenues contre lui. Le juge Mohammed Shuaibu l'a plus tard condamné à 12 ans de prison pour six chefs d'accusation, mais les peines ont été confondues et il ne devait purger que deux ans.
Bien qu'on s'attendait à ce que l'ex-gouverneur reste en prison pour deux ou trois semaines supplémentaires, afin qu'il puisse finir de purger sa peine, les autorités carcérales ont décidé de le libérer vendredi. Alamieyeseigha est le premier gouverneur d'un Etat du Nigeria à être écroué pour corruption depuis 1999, date à laquelle le Nigeria est retourné à un régime civil, après des années de dictature militaire. |

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