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Assistance du PAM aux réfugiés centrafricains installés au Cameroun |

Le bureau du Programme alimentaire mondial (PAM) au Cameroun va apporter une assistance alimentaire d'urgence d'un montant d'environ 2,5 millions de dollars US aux réfugiés centrafricains installés dans le pays, a appris la PANA ce mercredi à Yaoundé.
La lettre d'entente entre le gouvernement camerounais et la PAM pour la mise en œuvre du projet "Assistance alimentaire d'urgence aux réfugiés centrafricains" signée ce mercredi va permettre d'apporter des produits alimentaires aux 30.000 réfugiés centrafricains installés dans les provinces de l'Adamaoua et de l'Est pendant les six prochains mois.
Le montant de cette assistance d'environ 2,5 millions de dollars US devant servi à l'achat de 3.000 tonnes de produits alimentaires a été collecté par le PAM auprès de ses bailleurs fonds, a indiqué Boubacar Diop, directeur régional de la Logistique de cette institution.
Il faut rappeler que les réfugiés centrafricains fuyant les conflits dans leur pays se sont installés le long de la frontière avec le Cameroun depuis 2005. |
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Début de la campagne cacaoyère au Cameroun |

La campagne cacaoyère 2007/2008 a été ouverte mercredi sur l'ensemble du territoire camerounais et devrait être close le 31 août, a déclaré à la PANA le ministre du Commerce Luc Magloire Mbarga Atangana.
Selon le ministre, la campagne doit être placée sous le respect des textes, la promotion de la qualité et la rentabilité de la filière, afin de préserver et conforter les résultats déjà satisfaisants.
Il a estimé que les tandances observées dans la filière-cacao ces trois dernières années poussent à l'optimisme. La production est en hausse constante et la décote qui frappait les produits au lendemain de la libéralisation tend à disparaître.
Pour M. Claude Biyaga, producteur de cacao, le paysan camerounais a du mal à s'en sortir, car la libéralisation a mis fin à l'encadrement des pouvoirs publics et les planteurs très souvent confrontés aux problèmes liés à l'achat des intrants et survie de la famille sont obligés de brader leur recolte au premier venu.
Quant à Paul Mbouémé, membre d'un groupement pour la défense des cacaoculteurs, il souligne que les paysans qui rencontrent des difficultés aujourd'hui sont ceux qui veulent évoluer en solitaire. "Lorsqu'on est membre d'une association, on obtient de l'aide en période difficile, ce qui évite de vendre son cacao à n'importe qui", ajoute-t-il. |
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