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Augmentation de la production d'uranium en Namibie |

La société Rio Tinto, filiale de Rossing Uranium mine, envisage d'augmenter sa production d'uranium, pour passer de 4 000 tonnes d'oxyde d'uranium par an à 4 500 tonnes à compter de 2008, dans le cadre d'une stratégie visant à tirer profit de la montée en flèche des prix de l'uranium sur le marché mondial.
La direction de la plus vielle société d'extraction minière de l'uranium en Namibie envisage également de prolonger ses opérations minières jusqu'à 2021, au lieu de 2016. Le groupe "Global resources", filiale de Rio Tinto détient 69 % des actions de Rossing, qui, au départ, devait cesser d'opérer entre 2007 et 2009.
Rossing a produit 3 617 tonnes d'uranium en 2006 et se fixe pour objectif une production de 4 000 tonnes en 2007. La compagnie projète également de produire 4 500 tonnes d'uranium par an à partir de 2008.
Un montant d'environ 112 millions de dollars américains a été investi pour prolonger la durée de vie des opérations de la société et porter son effectif qui est présentement de 1 100 employés à 1 300, d'ici à 2008.
Un programme de gestion par étapes est en cours d'exécution et comprend l'extension de la mine à ciel ouvert, l'installation d'une unité de triage radio-métrique, et la réouverture d'une usine d'acide.
Rossing ambitionne également de produire de l'électricité au niveau du site d'exploitation minière en utilisant la combustion de soufre, qui constitue une source d'énergie. |
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Le Nigeria importe pour 1,8 milliard USD de carburant par mois |
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http://www.informatik.uni-frankfurt.de/~sfb268/ |
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Le Nigeria, plus grand pays producteur de pétrole en Afrique, consacre environ 1,8 milliard de dollars par mois à l'importation de 100% du carburant de sa consommation, selon l'association des principaux distributeurs de pétrole du pays.
Dans un compte-rendu à une commission du Sénat dans la capitale Abuja, l'association a déclaré que les importations du Nigeria étaient passées de huit cargos par mois en 1990 à 30 cargos en 2007. Selon les détails du compte-rendu publiés jeudi par le quotidien privé Punch, l'association attribue cette situation au fait que les quatre raffineries du pays ne fonctionnent pas.
Cette incapacité de fonctionner des raffineries a été attribuée à la vandalisation des oléoducs approvisionnant deux d'entre elles en pétrole brut dans la ville pétrolière de Warri et la ville du nord de Kaduna et à la fermeture des deux raffineries dans la ville pétrolière de Port Harcourt en raison de conflits sociaux.
Les distributeurs soulignent que les importations massives surexploitent les infrastructures au niveau des cinq points de réception des produits, ce qui entraîne des retards dans le déchargement, occasionnant ainsi des hausses de frais s'élevant entre 600.000 et 1 million de dollars par cargo de trente tonnes.
Ils attribuent à ces coûts supplémentaires la forte hausse des prix du carburant dans le pays. |
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