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Un parti d'opposition abandonne les poursuites |

La scission dans les rangs du All Nigeria People's Party (ANPP-opposition) à propos de la plainte déposée par son candidat présidentiel contre l'élection du président Umaru Yar'Adua, s'est élargie avec le retrait du président de ce parti et candidat à la vice-présidence, Edwin Ume-Ezeoke.
Dans une volte-face qui va sûrement réjouir le président et ses partisans, M. Ume-Ezeoke a officiellement annoncé son retrait, mardi, de l'action en justice engagée par le porte-drapeau de l'ANPP, Muhammadu Buhari.
Cette décision a été annoncée devant le Tribunal pour l'élection présidentielle dans la capitale Abuja, par son conseil, Chimezie Ikeazor. Dans une motion déposée à cet effet, M. Ume-Ezeoke s'est déclaré autorisé par l'ANPP à se retirer de cette action judiciaire et à soutenir le président Yar'Adua.
Le président du tribunal, le juge James Ogebe a, en conséquence, retiré le nom de M. Ume-Ezeoke de la pétition de M. Buhari. L'ANPP s'était précédemment joint au gouvernement fédéral dirigé par le People's Democratic Party, dans le cadre du gouvernement d'unité nationale mis en place par ce dernier.
Le parti d'opposition s'est également retiré de l'action judiciaire, laissant M. Buhari, un ancien président militaire, la poursuivre seul.
Lundi, un autre parti d'opposition, Action Congress (AC) a annoncé que son candidat présidentiel, l'ancien vice-président Atiku Abubakar, continuera à contester en justice l'élection de M. Yar'Adua, largement considérée comme entachée par des fraudes massives. |
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Les journalistes béninois exigent la libération de Moussa Kaka |

Les associations professionnelles de la presse au Bénin exigent la libération "immédiate" du journaliste nigérien Moussa Kaka, correspondant de Radio France internationale (RFI) incarcéré à Niamey pour atteinte à la sûreté de l'Etat.
Dans un communiqué publié ce mardi à Cotonou, l'Union des professionnels des médias du Bénin (UPMB), le Conseil national du patronat de la presse et de l'audiovisuel du Bénin (CNPA-Bénin), l'Observatoire de la déontologie et d'éthique dans les médias (ODEM) et la Maison des médias déplorent l'arrestation de leur confrère et exigent sa "libération immédiate et sans condition".
Dans l'après-midi du 20 septembre dernier, rappelle-t-on, Moussa Kaka correspondant de RFI à Niamey a été arrêté dans les locaux de sa radio, "Saraounia", poursuivi par la justice de son pays pour atteinte à la sûreté de l'Etat, du fait de ses liens présumés avec la rébellion touarègue du nord du Niger.
Depuis son arrestation, Moussa Kaka a été tenu secret dans les locaux de la gendarmerie à Niamey, avant d'être incarcéré, lundi après-midi, à la prison civile de la capitale nigérienne. |
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